Publications

Les publications de l'ITC sont centrées sur le secteur privé des pays en développement dont elles font entendre la voix en faveur d’un commerce durable. Nous offrons des conseils aux responsables des politiques commerciales, aux organisations d’appui aux entreprises et aux petites entreprises. Nos rapports présentent des perspectives qui permettront de rendre le commerce plus inclusif, plus vert, numérique et compétitif.

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Nouveau rapport sur le commerce : Améliorer la sécurité alimentaire dans les pays les moins avancés
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(Doha/Genève/New York) Le commerce peut contribuer à rendre les denrées alimentaires plus accessibles et plus abordables dans les pays les moins avancés (PMA), où plus de 60 % des personnes sont confrontées à l'insécurité alimentaire – deux fois plus que dans les pays en développement, et six fois plus que dans les pays développés.

Dans le contexte actuel d'instabilités mondiales croissantes, un nouveau rapport du Centre du commerce international (ITC) et de la principale agence des Nations Unies au service des pays les plus vulnérables, dont les PMA, met en évidence les options de politique commerciale qui permettraient d’appuyer ces pays dans leurs efforts de développement durable, un développement mené par le commerce et résilient face aux crises.

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l’ITC, et Rabab Fatima, Haute-Représentante du Bureau pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, ont annoncé aujourd’hui le lancement d’une publication intitulée Rapport sur le commerce des PMA 2023 : Améliorer la sécurité alimentaire (pour le moment en langue anglaise uniquement). Cette annonce intervient à l’occasion de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5) – une conférence qui se tient tous les dix ans, et dont l’édition 2023 est organisée à Doha, au Qatar.

Pour Mme Coke-Hamilton, « Les pays les moins avancés dépendent toujours d’exportations principalement constituées de produits de base, presque deux fois plus que les autres pays en développement. Il en résulte qu’ils demeurent plus vulnérables aux instabilités mondiales. En tant que communauté mondiale, il est de notre devoir de faire plus, et de faire mieux. Ce rapport élaboré conjointement avec le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés met en lumière les actions politiques concrètes que nous pouvons mener et qui feront la différence pour eux. »

De son côté, Mme Fatima a expliqué que « La vulnérabilité des pays les moins avancés aux chocs externes affecte les ménages pauvres, en particulier dans les zones rurales, ce qui les place en situation d’insécurité alimentaire. Cette situation a également un impact sur la paix et la sécurité mondiales. Le rapport dont nous annonçons aujourd’hui la publication met en lumière le rôle crucial que le commerce peut jouer dans le renforcement de la sécurité alimentaire. »

Le rapport met en avant deux grands volets de politiques commerciales susceptibles d'aider les pays les moins avancés à renforcer leur résilience : l'amélioration de l'accès aux marchés pour les importations alimentaires, et l'exploitation de sources alternatives d'approvisionnement alimentaire.

 

Améliorer l'accès aux marchés pour assurer la sécurité alimentaire
 

Les pays les moins avancés imposent actuellement un droit de douane de 17 % sur les importations alimentaires, tandis que les pays en développement et les pays développés ne prélèvent respectivement que 15 % et 8 %.

Les enquêtes de l'ITC menées entre 2010 et 2022 dans 17 pays parmi les moins avancés montrent que les obstacles réglementaires et procéduraux peuvent compliquer les importations alimentaires. Plus de la moitié (57 %) de tous les importateurs de produits alimentaires interrogés dans les PMA ont déclaré être affectés par des mesures non tarifaires, contre respectivement 34 % et 11 % dans les pays en développement et développés.

Dans les PMA, les difficultés auxquelles sont confrontés les importateurs de produits alimentaires sont liées aux évaluations douanières, aux surtaxes douanières et aux frais de manutention ou de stockage des marchandises. Les importateurs de PMA tels que la République-Unie de Tanzanie, l'Éthiopie et le Bangladesh rapportent que leurs plus grandes difficultés sont liées aux procédures qu'ils doivent suivre pour se conformer aux réglementations, plutôt qu'aux réglementations elles-mêmes. La résolution de ces difficultés permettra de réduire les retards et les coûts, et surtout aidera à acheminer plus rapidement les articles essentiels là où ils sont le plus nécessaires.

Les initiatives d'intégration régionale, telles que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), jouent un rôle primordial pour exonérer le commerce intrarégional de droits de douane, harmoniser les réglementations et rationaliser les procédures.

 

Exploiter de nouvelles sources d'approvisionnement alimentaire

 

En moyenne, les PMA importent leurs denrées alimentaires de 77 fournisseurs distincts. Les pays en développement et les pays développés comptent pour leur part respectivement 117 et 163 partenaires pour leur approvisionnement alimentaire. Pour certains produits essentiels, tels que le riz ou les huiles végétales, près des quatre cinquièmes des importations totales des PMA sont concentrées par seulement un fournisseur, parfois deux.

Les politiques visant à améliorer les liens entre le commerce et la sécurité alimentaire doivent donc se concentrer sur des facteurs tels que la diversification des fournisseurs et le renforcement des chaînes de valeur agroalimentaires régionales, ce qui permettrait aux PME d'accroître leur résilience face aux instabilités mondiales.
 

Renforcer le commerce des PMA grâce à des partenariats mondiaux
 

Les procédures d'importation défavorables, la dépendance à l'égard d'une poignée de fournisseurs et l'absence de chaînes de valeur régionales ne sont que les aspects d'un problème plus large : les pays les moins avancés ne représentent qu'environ 1 % du commerce mondial, malgré l'objectif de doubler leur part dans les exportations mondiales d'ici à 2020.

Le commerce, lorsqu'il est bien géré, peut être un outil efficace pour s'attaquer aux causes profondes des obstacles qui freinent les pays les moins avancés. Les investissements dans le renforcement des capacités des petites entreprises – qui représentent 95 % des emplois dans les PMA – à vendre sur les marchés régionaux et internationaux peut stimuler un développement mené par le commerce.

Le commerce joue donc un rôle essentiel pour les PMA, comme le souligne le Programme d'action de Doha. Ce Programme est conçu pour aider les PMA à trouver la voie qui leur permettra d'atteindre les objectifs de développement durable.

Le rapport conjoint lancé aujourd'hui est accompagné d'un site internet gratuit, le LDC Trade Tracker, qui permet de suivre les tendances et les modèles plus larges du commerce des PMA grâce à des graphiques interactifs et téléchargeables. Pour de plus amples informations sur le rapport, consultez la page internet ITC@LDC5.

 

 

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre des objectifs de développement durable des Nations Unies. Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

À propos du Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement – Le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement a été créé en 2001 pour appuyer 91 États membres vulnérables. Les 46 pays les moins avancés (PMA), les 32 pays en développement sans littoral (PDSL) et les 38 petits États insulaires en développement (PEID) sont confrontés à des défis qui leur sont propres pour atteindre le développement durable et les objectifs convenus au niveau international. Dirigé par la Haute Représentante, le Bureau mobilise l'appui international et plaide en faveur de ces trois groupes de pays vulnérables. Il s'efforce de sensibiliser au potentiel économique, social et environnemental qui existe dans ces pays et veille à ce que les besoins pressants des 1,1 milliard de personnes qui y vivent demeurent en tête de l'agenda international.

 

Contacts médias

Susanna Pak
Chargée des communications stratégiques
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Responsable du plaidoyer et de la sensibilisation
Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement
Courriel : conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
Tél. : +1 917 328 8316

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Nuevo informe comercial: Mejorar la seguridad alimentaria en los países menos adelantados
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(Doha/Ginebra/Nueva York) El comercio puede aumentar la disponibilidad y asequibilidad de los alimentos en los países menos adelantados (PMA), donde más del 60 % de la población se enfrenta a la inseguridad alimentaria, el doble que en los países en desarrollo y seis veces más que en los países desarrollados.

En un contexto de creciente inestabilidad mundial, un nuevo informe del Centro de Comercio Internacional (ITC) y de la principal agencia de las Naciones Unidas de apoyo a los países menos adelantados destaca las opciones de política comercial para ayudarles a trabajar hacia un desarrollo sostenible impulsado por el comercio, frente a las crisis.

La Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, y Rabab Fatima, Alta Representante para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo Sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (ONU-OARPPP), presentaron en Doha, Qatar, el informe LDC Trade Report 2023: Improving Food Security hoy durante la 5ª Conferencia de las Naciones Unidas sobre los Países Menos Adelantados (LDC5), una conferencia que se celebra una vez cada diez años.

La Sra. Coke-Hamilton declaró: «Los países menos adelantados siguen dependiendo de las exportaciones de productos básicos casi el doble que otros países en desarrollo, y siguen siendo más vulnerables a las inestabilidades mundiales. Como comunidad mundial, tenemos que hacer más, y tenemos que hacerlo mejor. Este informe conjunto con la OARPPP destaca las acciones políticas concretas que podemos poner en marcha para cambiar su situación».

La Sra. Fátima añadió: «La vulnerabilidad de los países menos adelantados a los impactos externos afecta a los hogares pobres, especialmente en las zonas rurales, y provoca inseguridad alimentaria. Esto repercute en última instancia en la paz y la seguridad mundiales. El informe que estamos aquí presentando arroja luz sobre el papel crucial que puede desempeñar el comercio en el fortalecimiento de la seguridad alimentaria».

El informe destaca los siguientes dos grupos principales de políticas comerciales para ayudar a los países menos adelantados a reforzar su capacidad de resiliencia: mejorar el acceso a los mercados de importación de alimentos y aprovechar fuentes alternativas de suministro de alimentos.

Mejorar el acceso a los mercados para la seguridad alimentaria

 

Los países menos adelantados imponen actualmente un arancel del 17% a las importaciones de alimentos, mientras que los países en desarrollo y desarrollados gravan con un 15% y un 8%, respectivamente.

Las encuestas realizadas por el ITC en 17 países menos adelantados entre 2010 y 2022 muestran que los obstáculos normativos y de procedimiento pueden complicar las importaciones de alimentos. Más de la mitad (57 %) de todos los importadores de alimentos entrevistados en los PMA declararon verse afectados por las medidas no arancelarias, frente al 34 % y el 11 % en los países en desarrollo y desarrollados, respectivamente.

Los importadores de alimentos de los PMA se enfrentan a retos relacionados con las valoraciones aduaneras, los recargos aduaneros y las tasas de manipulación o almacenamiento de mercancías. Las empresas importadoras de los PMA en países como la República Unida de Tanzanía, Etiopía y Bangladesh informaron de que sus mayores dificultades estaban relacionadas con los procedimientos que deben seguir para cumplir la normativa, más que con la normativa en sí. Afrontar estos retos reducirá los retrasos y los costes y ayudará a canalizar rápidamente los artículos esenciales hacia donde más se necesitan.

Las iniciativas de integración como la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) tienen un importante papel que desempeñar para que el comercio intrarregional esté libre de impuestos, se armonicen las normativas y se agilicen los procedimientos. 

 

Explorar nuevas fuentes de suministro de alimentos

 

Mientras que de media los PMA importan alimentos de 77 proveedores distintos, los países en desarrollo y desarrollados se abastecen de 117 y 163. En el caso de determinados productos, como el arroz o los aceites vegetales, casi cuatro quintas partes del total de las importaciones de los PMA proceden de uno o dos únicos proveedores.

Las políticas destinadas a mejorar los vínculos entre el comercio y la seguridad alimentaria tendrían en cuenta factores como la diversificación de proveedores y el fortalecimiento de las cadenas de valor agroalimentarias regionales para aumentar la resiliencia ante las inestabilidades mundiales.

 

Reforzar el comercio de los PMA mediante asociaciones mundiales

 

Los procedimientos de importación desfavorables, la dependencia de unos pocos proveedores y la falta de cadenas de valor regionales forman parte de un problema más amplio: los países menos adelantados sólo representan alrededor del 1 % del comercio mundial, a pesar del objetivo de duplicar su cuota de exportaciones mundiales para 2020.

El comercio, si se gestiona bien, puede ser una herramienta para abordar las causas profundas de los obstáculos que frenan a los países menos adelantados. Invertir en el desarrollo de la capacidad de las pequeñas empresas, que representan el 95 % de los empleos en los PMA, para vender en los mercados regionales e internacionales puede impulsar el desarrollo impulsado por el comercio.

El comercio desempeña un papel clave para los PMA, como se destaca en el Programa de Acción de Doha. El Programa de Acción de Doha está diseñado para ayudar a los PMA a volver a la senda de la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible.

Este informe conjunto va acompañado de un sitio web gratuito, el LDC Trade Tracker, que permite el seguimiento de las tendencias y patrones más amplios del comercio de los PMA a través de gráficos interactivos y descargables. Si desea más información sobre el informe, visite la página web del ITC en la LDC5.

 

Acerca del Centro de Comercio Internacional: El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las microempresas y a las pequeñas y medianas empresas radicadas en los países en desarrollo para que sean más competitivas en los mercados mundiales, y contribuye así a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas. Para más información, visite www.intracen.org. Siga al ITC en Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

Acerca de la Oficina del Alto Representante de las Naciones Unidas para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo - La OARPPP se creó en 2001 y presta servicio a 91 Estados miembros vulnerables. Los 46 Países Menos Adelantados (PMA), los 32 Países en Desarrollo sin Litoral (PDSL) y los 38 Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (PEID) se enfrentan a sus propios retos para alcanzar el desarrollo sostenible y los objetivos acordados por la comunidad internacional. Dirigida por la Alta Representante, la UN-OARPPP moviliza el apoyo internacional y aboga en favor de los tres grupos de países vulnerables. La oficina trabaja para concienciar sobre el potencial económico, social y medioambiental que existe en estos países y garantizar que las acuciantes necesidades de los 1100 millones de personas que viven en ellos, sigan ocupando un lugar destacado en la agenda internacional.

 

Contactos para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
ITC
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Teléfono: +41 22 730 0651
Teléfono celular: +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Jefe de Promoción y Divulgación
UN-OARPPP
E: conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
T: +1 917 328 8316

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Créer un écosystème numérique pour les entreprises africaines
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Il est crucial de promouvoir la technologie auprès des jeunes entreprises africaines afin de créer des économies inclusives et durables. Voici comment y parvenir.

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L'Afrique recèle un immense potentiel de croissance économique et de développement. Sa jeune population est un atout essentiel pour créer des économies inclusives et durables à travers tout le continent, et la technologie numérique est un moyen de libérer ce potentiel.

 

La construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines implique d'adopter une approche à multiples facettes et de collaborer avec diverses parties prenantes, notamment les gouvernements, les partenaires de développement, le secteur privé, les investisseurs et les entrepreneurs.

Ennovate, Tanzanie
Formation pratique dans le cadre du programme Digify Tech 2022 à Ennovate Ventures

Mettre la technologie au service des personnes et les personnes au service de la technologie

En tant qu'entrepreneur technologique en Afrique, j'ai été témoin de la transformation numérique qui façonne la manière dont les gens vivent, interagissent et effectuent des transactions sur les marchés à travers le continent, ce qui m'a encouragé à m'engager dans différents aspects de cette transformation.

L'adoption d'une économie numérique sur les marchés africains présente d'importants avantages, notamment la facilitation des transactions commerciales, la démocratisation de l'accès aux talents, aux financements et aux marchés, l'attraction des investissements et la création d'emplois. Mon travail chez Ennovate Ventures s'est concentré sur la création d'emplois décents pour les jeunes en Tanzanie et dans d'autres pays d'Afrique de l'Est.

Nous avons mis en œuvre toute une série de programmes qui visent à promouvoir l'entrepreneuriat numérique, tels que les programmes Building et Digify Tech proposés par Ennovate Ventures, en partenariat avec le projet Fast Track Tech du Centre du commerce international.

Ennovate Tanzania
Ennovate Tanzania

Dans le cadre de l'initiative Digify Tech, nous avons créé plus de 1 200 emplois directs et plus de 5 000 emplois indirects au cours des trois dernières années, et nous avons formé 1 257 travailleurs indépendants du secteur numérique à l'UI/UX, au marketing digital, à la création de contenu, et plus encore.

Toutefois, en dépit de notre succès, des défis majeurs subsistent : l'Afrique doit intensifier ses efforts pour élaborer des politiques favorables à la technologie, améliorer l'infrastructure numérique, développer les talents, combler les déficits de financement et résoudre les problèmes de confiance afin d'accélérer l'adoption de solutions numériques.

Les besoins pour un entrepreneuriat numérique prospère

Au cours de la conférence LDC5 de Doha, le secteur privé, les agences gouvernementales, les partenaires du développement et les jeunes leaders africains ont discuté de la manière dont les jeunes peuvent jouer un rôle de premier plan dans le développement numérique.

En collaboration avec le Centre du commerce international, nous avons partagé des exemples de réussite dans le développement de l'entrepreneuriat numérique au sein des communautés par le biais de formations, de forums de promotion du numérique, de plateformes dédiées aux travailleurs de plateformes (gig work) et de programmes d'éducation.

Voici les interventions qui, selon moi, peuvent renforcer les capacités des jeunes et créer un environnement propice à l'entrepreneuriat numérique :

  1. Infrastructure : La première étape dans la construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines est de créer des infrastructures qui fournissent une connectivité internet fiable, un accès à des équipements abordables et une fourniture électrique adéquate.
  2. Éducation au numérique : Une autre façon de créer une demande pour les travailleurs de plateformes est d'éduquer les propriétaires d'entreprises sur les avantages de la technologie numérique et de fournir une formation sur divers outils.
  3. Financement : Les gouvernements et les investisseurs privés peuvent fournir un financement et un appui cruciaux aux start-up prometteuses de l'industrie technologique.
  4. Réglementation : Les gouvernements doivent mettre en place des politiques et des réglementations claires et propices qui encouragent l'innovation tout en protégeant la propriété intellectuelle par des incitations fiscales, la protection des brevets, ainsi que la recherche et le développement.

Une collaboration stratégique à long terme

Les agences de développement peuvent également jouer un rôle essentiel dans la création des emplois numériques de demain.

À cette fin, elles devraient axer leur travail sur les interventions suivantes :

  • Se concentrer sur le développement des compétences numériques des jeunes ;
  • Travailler avec les organisations d'appui aux entreprises pour encourager l'entrepreneuriat des jeunes et ainsi favoriser l'accélération numérique ;
  • Promouvoir l'accès au financement ;
  • Collaborer avec le secteur privé pour améliorer l'infrastructure numérique, par exemple en subventionnant la connectivité internet, en créant des laboratoires numériques et en proposant des solutions logicielles ; et
  • Appuyer les réformes politiques pour créer un environnement commercial numérique propice.


La collaboration stratégique entre tous les partenaires doit commencer dès le lancement des projets et se poursuivre jusqu'à leur mise en œuvre. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons faire progresser l'économie numérique de l'Afrique et encourager l'esprit d'entreprise chez les jeunes.

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Francis Omorojie, Fondateur, Ennovate Ventures, République-Unie de Tanzanie
Creación de un ecosistema digital para las empresas de toda África
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¿Cómo promover la tecnología para que las jóvenes empresas africanas creen economías inclusivas y sostenibles? A continuación, le explicamos cómo. 

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África tiene un inmenso potencial de crecimiento económico y desarrollo. Su población joven es un activo fundamental para crear economías inclusivas y sostenibles en todo el continente y la tecnología digital puede ayudar a liberar ese potencial.

 

Para poder construir un ecosistema digital para las empresas en África es necesario disponer de un enfoque multidimensional en el que colaboren las partes interesadas, como el gobierno, los socios de desarrollo, el sector privado, los inversores y los empresarios.

Ennovate Tanzania
Formación práctica en el Digify Tech Programme de 2022 en Ennovate Ventures

Acercar la tecnología a la gente y la gente a la tecnología

Como emprendedor tecnológico en África, he participado y he sido testigo de las diferentes fases de la transformación digital que han moldeado la forma de vivir de las personas, así como sus interacciones y sus transacciones en los mercados de todo el continente.

Entre las ventajas clave de la adopción de una economía digital en los mercados africanos figuran la facilitación de las transacciones comerciales, la democratización del acceso al talento, las finanzas y los mercados, la atracción de inversiones y la creación de empleo. Mi trabajo en Ennovate Ventures se ha centrado en la creación de oportunidades de empleo digno para los jóvenes en la República Unida de Tanzanía y en otros países de África Oriental. 

Hemos puesto en marcha varios de programas que promueven el emprendimiento digital, como los Ennovate Tech Venture Building o Digify Tech, en colaboración con el proyecto FastTrackTech del Centro de Comercio Internacional.

Ennovate Tanzania
Ennovate Tanzania

A través de la iniciativa Digify Tech, hemos creado más de 1200 empleos directos y más de 5000 empleos indirectos en los últimos tres años y hemos formado a 1257 trabajadores autónomos digitales en los campos de la UI/UX, el marketing digital y la creación de contenidos, entre otros.

Pero a pesar de nuestro éxito, tenemos varios retos por delante: África necesita dar un paso al frente y desarrollar políticas que sean favorables para la tecnología, mejorar la infraestructura digital, hacer crecer el talento, abordar las lagunas de financiación y los problemas de confianza para acelerar la adopción de soluciones digitales.

¿Qué se necesita para que prospere el emprendimiento digital?

Durante la LDC5, celebrada en Doha, el sector privado, las agencias gubernamentales, los socios para el desarrollo y los líderes jóvenes de África debatieron sobre cómo la juventud puede desempeñar un papel clave en el desarrollo digital.

En colaboración con el Centro de Comercio Internacional, compartimos historias de éxito sobre el desarrollo del emprendimiento digital en las comunidades a través de la formación en diferentes habilidades, los foros digitales de defensa, la puesta en marcha de plataformas centradas en los trabajos para trabajadores autónomos y la educación.

Estas son las intervenciones que creo que pueden mejorar las capacidades de los jóvenes y proporcionar un entorno en el que pueda prosperar el emprendimiento digital:

  1. Infraestructura: el primer paso para construir un ecosistema tecnológico digital para las empresas en África es la creación de una infraestructura que proporcione una conectividad fiable a Internet, el acceso a dispositivos digitales asequibles y un suministro eléctrico adecuado.
  2. Educación digital: otra forma de aumentar la demanda de «trabajos por encargo» es educar a los propietarios de empresas sobre los beneficios de la tecnología y proporcionarles formación sobre las diversas herramientas.
  3. Financiación: los gobiernos y los inversores privados pueden proporcionar financiación y apoyo, que son cruciales para las nuevas empresas emergentes del sector tecnológico.
  4. Regulación: los gobiernos deben establecer políticas y normativas claras y favorables que promuevan la innovación y, al mismo tiempo, protejan la propiedad intelectual a través de los incentivos fiscales, la protección de patentes y la investigación y el desarrollo.

La colaboración estratégica contribuye de forma considerable

Las agencias de desarrollo también pueden desempeñar un papel fundamental en la creación de empleos digitales para el futuro.

Sus intervenciones deberían cumplir con lo siguiente:

  • Centrarse en el desarrollo de las competencias digitales de los jóvenes.
  • Trabajar con las organizaciones de apoyo empresarial para fomentar el emprendimiento de los jóvenes y la aceleración digital.
  • Promover el acceso a la financiación.
  • Colaborar con el sector privado para mejorar la infraestructura digital, por ejemplo subvencionando la conexión a Internet, abriendo laboratorios digitales y ofreciendo soluciones de software.
  • Apoyar las reformas normativas para alcanzar un entorno empresarial digital propicio.

 

La colaboración estratégica entre todos los socios debe comenzar al principio y mantenerse hasta la puesta en marcha. Sólo así podremos hacer avanzar la economía digital de África y apoyar el emprendimiento de los jóvenes.

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Francis Omorojie, Fundador, Ennovate Ventures, República Unida de Tanzanía

Une enquête auprès de 600 exportateurs et importateurs en Tunisie révèle que 80% d’entre eux font face à des problèmes relatifs aux mesures non tarifaires, créant des coûts additionnels pour les entreprises.Les entreprises tunisiennes rencontrent des difficultés relatives à la mise en...

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This case study of a Chinese solar panel producer investigates the role of services in manufacturing value chains, and highlights the effect of government policies on photovoltaic industry development and international trade flows. Up to 40 types of services are required to manufacture solar panels,...

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While more than 40% of existing trade strategies identify trade integration and regionalism as crucial policy areas, less than 3% of the strategies are regional. Nor do they fully build on diversification opportunities in services and manufacturing.This is one of many trends in trade strategies,...

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