Publications

Les publications de l'ITC sont centrées sur le secteur privé des pays en développement dont elles font entendre la voix en faveur d’un commerce durable. Nous offrons des conseils aux responsables des politiques commerciales, aux organisations d’appui aux entreprises et aux petites entreprises. Nos rapports présentent des perspectives qui permettront de rendre le commerce plus inclusif, plus vert, numérique et compétitif.

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Les entreprises africaines apprennent à exploiter la ZLECAf
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La Zone de libre-échange continentale africaine offre un meilleur accès aux marchés régionaux. De nouveaux ateliers de l'ITC expliquent aux entreprises africaines comment elles peuvent y accéder.

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Les entreprises africaines qui cherchent à exporter au sein de la nouvelle Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) se posent probablement de nombreuses questions. Une nouvelle série d'ateliers organisés dans cinq pays entre septembre et décembre 2022 a permis d’expliquer la manière dont elles peuvent naviguer dans le nouvel environnement commercial et identifier les marchés du continent les plus pertinents.

Organisés par l'Académie du commerce pour les PME, la section de l'ITC chargée des solutions d'apprentissage, ces ateliers ont été élaborés en partenariat avec Afreximbank et mis en œuvre avec des partenaires locaux, à savoir :

  • Le Département du commerce, de l'industrie et de la concurrence (DTIC, Afrique du Sud) ;
  • L'Agence du réseau commercial du Kenya (KenTrade) ;
  • L'Association marocaine des Exportateurs (ASMEX, Maroc) ;
  • Le Centre tunisien de promotion des exportations (CEPEX, Tunisie) ; et
  • Le Centre égyptien de formation au commerce extérieur (FTTC, Égypte).


Les sessions ont été conçues pour être interactives et fournir aux participants des connaissances pratiques, notamment :

  • Identifier les opportunités de marché en Afrique ;
  • Se préparer pour être prêt à exporter ;
  • Comprendre les documents requis pour exporter et la manière de les utiliser ;
  • Sélectionner un ou plusieurs marchés africains présentant des opportunités viables pour ses produits ;
  • Choisir entre différentes options pour pénétrer le ou les marchés sélectionnés ; et
  • Identifier les différentes options de financement du commerce disponibles pour l'entreprise.

En outre, les ateliers ont été élaborés en utilisant le nouveau concept d'atelier technologiquement amélioré de l'Académie du commerce pour les PME : la méthodologie d'atelier numérique. De fait, les ateliers comprennent à présent des présentations digitales interactives, des vidéos, des exercices, des guides pour les formateurs, des cahiers d'exercices pour les apprenants, ainsi que des documents en ligne pour faciliter l'organisation et le déroulement des ateliers sur le plan administratif.

Dans le cadre du programme de formation intitulé « Exporter au sein de la ZLECAf », chacun de ces ateliers doit comprendre un module de formation des formateurs. Ainsi, un total de 102 formateurs locaux ont appris à mener eux-mêmes ces sessions en utilisant la méthodologie d'atelier numérique. Non seulement les partenaires locaux ont ainsi pu pleinement s'approprier le contenu de la formation, mais cette stratégie a également permis d'étendre les sessions de formation au-delà des cinq villes initialement sélectionnées, à savoir Johannesburg, Nairobi, Casablanca, Le Caire et Tunis.

Chaque atelier s'est déroulé sur quatre jours. Au cours des deux premiers jours, les nouveaux formateurs se sont familiarisés avec la méthodologie de l'atelier numérique, ainsi qu'avec la façon d'animer et de planifier leur session. À cette fin, ils avaient accès aux ressources disponibles sur la plateforme de formation en ligne Exporter au sein de la ZLECAf (à ce jour, en version anglaise uniquement). Au cours des deux jours suivants, les formateurs ont mis en pratique leurs nouvelles connaissances en animant de véritables sessions, pour le bénéfice de participants invités, pour la plupart des petites et moyennes entreprises (PME) locales. Ainsi, quelque 142 PME ont d'emblée pu être formées.

Les ateliers ont été dirigés et supervisés par les maîtres formateurs et experts techniques Guillaume Lamothe, Ilyas Choubaili, Rania Habib et Dorothy Tuma, avec l'appui de la coordinatrice du programme de formation Dorina Dobre.

« Le but de l'atelier était, d'une part, de former un premier lot de PME, et d'autre part, d'équiper les futurs formateurs des moyens adéquats de dispenser le contenu », a déclaré Mme Dobre. « La présence de l''ITC se poursuivra pour faciliter l'accès des participants à la formation en ligne et pour aider les formateurs à renforcer leur capacité d'animation. »

À propos du programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf

Le programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf est le résultat d'un partenariat entre l'ITC et Afreximbank. Il combine des éléments en ligne et hors ligne pour enseigner aux exportateurs africains actuels et potentiels les principes fondamentaux du commerce intra-africain. Il les accompagne également dans l'exploration des opportunités générées par la ZLECAf.

À propos de l'Académie du commerce pour les PME de l'ITC

L'Académie du commerce pour les PME est la section qui rassemble les solutions de formation de l'ITC. Cette plateforme publique d'apprentissage, unique en son genre, propose plus de 100 cours en ligne gratuits sur une grande variété de sujets liés au commerce. Disponible à la fois en français, en anglais, en espagnol et en arabe, elle compte plus de 100 000 inscriptions par an, provenant de plus de 190 pays. En outre, elle fournit une variété de solutions d'apprentissage clés en main en appui aux projets d'assistance technique liés au commerce de l'ITC. L'éventail de ces solutions s'étend des produits entièrement en ligne, tels que les cours d'apprentissage en ligne, les espaces d'apprentissage virtuels et les ateliers virtuels, jusqu'aux formations individuelles grâce aux outils technologiques, telles que les ateliers numériques et à support numérique.

À propos de One Trade Africa

L'objectif du programme One Trade Africa est d'autonomiser les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), les femmes et les jeunes entrepreneurs africains, d'améliorer leurs opérations, et de leur permettre d'accéder aux nouvelles opportunités commerciales transformatrices amenées par l'instauration de la ZLECAf. À cette fin, le programme adopte un modèle de prestation à trois volets, pour aider les MPME africaines à être compétitives, à se relier et à évoluer, et ce selon trois niveaux, de l'entreprise, de l'écosystème commercial et des politiques. L'ITC offre aux MPME africaines des formations, des conseils et un accompagnement afin de renforcer leurs capacités, de les aider à pénétrer de nouveaux marchés plus lucratifs, ce qui ultimement permettra de créer des emplois.

Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Hossam Mostafa
Ultrakem
Égypte
Égypte
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Chokri Selmi
Société d'élevage
Tunisie
Tunisie
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Chepkirui Rose
Département d'État pour le développement du commerce et des entreprises
Kenya
Kenya
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Karim el Haoud
Programme suisse de promotion des importations (SIPPO)
Maroc
Maroc
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ITC Actualités
Stimuler le commerce du textile à travers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
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Les outils en ligne peuvent aider les pays de l'Accord d'Agadir à développer leurs entreprises de textile et d'habillement, tout en améliorant la coopération dans la région.

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Une meilleure coopération dans le secteur du textile et de l'habillement peut aider l'Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie à exploiter de nouvelles opportunités commerciales. À cette fin, ces pays doivent œuvrer de concert pour lever les barrières commerciales, sur la base de données fiables pour éclairer leurs décisions.

En marge de la foire internationale Destination Africa, le plus grand salon du textile et de l'habillement du continent, le Centre du commerce international (ITC) a réuni des représentants gouvernementaux et du secteur, ainsi que des institutions d'appui aux entreprises des quatre pays. Au cours de l'atelier d'une journée qui s'est tenu le 21 novembre au Caire, l'ITC a présenté les résultats préliminaires d'une enquête commerciale menée par son équipe Trade Market Intelligence. Cette enquête visait à identifier les mesures qui permettront d'assouplir les restrictions et de stimuler le commerce afin de développer les opportunités commerciales et de renforcer la coopération entre les pays signataires de l'Accord arabo-méditerranéen de libre-échange d'Agadir.

L'atelier a été organisé dans le cadre du Programme mondial pour le textile et l'habillement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (GTEX/MENATEX) de l'ITC. L'objectif était d'explorer les moyens de promouvoir l'Afrique du Nord en tant que fournisseur mondial de vêtements et de textiles.

Les réunions régionales comme celle-ci sont l'occasion de partager les connaissances au sein du secteur, d'identifier de meilleurs liens en matière d'approvisionnement et de marché, et de promouvoir collectivement l'Accord d'Agadir auprès des pays non-membres.

L'atelier a été l'occasion de montrer la manière d'identifier les opportunités commerciales intra-régionales en utilisant les outils d'analyse des marchés de l'ITC ainsi que le bureau d'assistance commerciale d'Euromed. Ce dernier fournit des informations sur le commerce pour 10 pays méditerranéens et les 27 États membres de l'Union européenne.

La formation a permis aux participants de s'inscrire sur la plateforme d'Euromed, d'apprendre grâce à des démonstrations et des exercices en direct, et de comprendre comment utiliser la dernière version de l'outil en ligne.

« La démonstration en direct du bureau d'assistance commerciale d'Euromed a montré qu'il était possible d'obtenir des informations commerciales précieuses pouvant aider à améliorer la transparence dans la région », a déclaré Mohamed Tared Issa, un responsable de l'ITC chargé de recherches sur les barrières commerciales.

« Ce fut un réel plaisir de présenter les résultats préliminaires de l'enquête de l'ITC sur les obstacles au commerce dans les pays de l'Accord d'Agadir », a-t-il poursuivit. « La formation d'une journée a favorisé des discussions animées sur la manière de surmonter les défis identifiés qui entravent l'intégration régionale ».

Ihab Qadri, le nouveau directeur du Syndicat du textile et de l'habillement de Jordanie, a expliqué avoir profité de l'atelier pour nouer des liens avec des pairs de la région, ce qui lui a permis de mieux comprendre comment coopérer plus efficacement avec chaque pays.

Les discussions ont également permis de révéler le potentiel inexploité des liens entre les marchés régionaux et des échanges commerciaux, ainsi que de l'échange de connaissances techniques.

Le programme de l'ITC a facilité la mise en relation du Centre égyptien de la mode et du design (FDC) avec le Centre jordanien de création de vêtements et de services de formation (GSC). Les deux organismes ont ainsi pu explorer les possibilités de collaboration, et une mission commerciale jordanienne s'est rendue en Égypte pour tisser des liens entre les petites entreprises des deux pays.

À propos du programme

 

Le Programme mondial pour le textile et l'habillement (GTEX) appuie les petites entreprises et les organisations d'appui aux entreprises travaillant dans l'industrie du textile et de l'habillement dans les pays en développement afin d'accroître leur compétitivité à l'exportation.

Le programme GTEX est financé par le Secrétariat d'État à l'économie (SECO) de la Confédération suisse et se concentre sur cinq pays prioritaires (Égypte, Maroc, Kirghizistan, Tadjikistan et Tunisie).

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ITC Actualités
Les entrepreneures marocaines prêtes à exporter grâce à la gestion de la qualité
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Des femmes entrepreneures marocaines participent à un atelier de l'ITC sur la gestion de la qualité afin d'améliorer leurs produits, et se préparent ainsi à exporter.

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Le projet SheTrades du Centre du commerce international (ITC) a organisé au Maroc un atelier de quatre jours, du 9 au 12 mai 2022, sur la gestion de la qualité pour 20 femmes entrepreneures du secteur des aliments transformés. Les entreprises et coopératives participantes ont pu renforcer leurs capacités, notamment en développant l’implantation de leurs produits sur les marchés locaux et en se préparant à l’exportation.

Naoual Ennouhi, Présidente de la coopérative Flora et l'une des participantes à l'atelier, a expliqué : « J'ai amélioré mes connaissances sur la certification ; j'ai appris à mettre en place le processus de gestion de l'entreprise pour garantir le respect des normes de qualité et de sécurité de mes produits ; et je sais maintenant comment mettre en œuvre ce même processus dans la gestion quotidienne de la coopérative que je préside. »

Afin de pouvoir prodiguer des conseils sur mesure, les participantes ont été réparties en deux groupes, en fonction de leur niveau de certification. Le premier groupe s'est d’abord concentré sur les exigences réglementaires en matière de qualité et de sécurité de leurs produits alimentaires, puis sur la manière d'obtenir l'autorisation sanitaire et l'agrément nécessaires à l'exportation.

Le deuxième groupe s'est concentré sur la manière dont le processus de production d'une entreprise pouvait garantir le respect des normes de qualité de leurs produits. La formation a également couvert la manière dont les processus peuvent aider à gérer tous les risques liés à la qualité et à la sécurité des aliments.

À la suite de l'atelier, toutes les participantes ont eu l'occasion d'évaluer leur expérience de formation. Les résultats seront utilisés pour améliorer le prochain atelier.

À propos du projet

L'atelier a été organisé dans le cadre du projet SheTrades Maroc de l’ITC, qui vise à accroître la participation au commerce des entreprises marocaines détenues par des femmes par l'amélioration de leur compétitivité et le renforcement de leurs liens avec les marchés. Le projet vise en outre à permettre aux femmes marocaines de bénéficier économiquement de leur participation aux chaînes de valeur des aliments transformés.

Cet atelier a été organisé par l'ITC, et est financé par la Société islamique internationale de financement du commerce et par la Banque islamique de développement.

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ITC Actualités
Des entreprises marocaines dirigées par des femmes concluent des accords au SIAL
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Au plus grand salon professionnel de l'alimentation et des boissons du Canada, des entreprises marocaines dirigées par des femmes ont pu promouvoir leurs produits sur le marché nord-américain et générer de nouvelles opportunités d'investissement.

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À l’occasion du Salon international de l’alimentation (SIAL) du Canada, huit entreprises marocaines dirigées par des femmes (Terre Brune, Spiruline Nadia, Frelug, Flora, Mogador, Sagroma, Coopérative Sanad et Bionoor Cosmetics), ont pu présenter leurs produits, notamment de l'argan, de l'huile d'olive, des vinaigres de figues de barbarie, des olives et des épices. Leur présence résulte de l’association entre le projet SheTrades Maroc du Centre du commerce international (ITC) et le Bureau de promotion du commerce (TFO) du Canada, avec l’appui de la Société islamique internationale de financement du commerce (ITFC) et de la Banque islamique de développement (BID).

Kristin Marinacci, Directrice de programme à TFO Canada, explique : « Compte tenu des défis auxquels nous avons été confrontés avec la pandémie de COVID-19, appuyer ces entreprises détenues par des femmes pour qu'elles participent à cette édition du SIAL Canada marque une étape importante dans la création de liens commerciaux avec des importateurs canadiens. Aider ces entrepreneures dans leurs stratégies d'entrée sur le marché est une contribution essentielle à la croissance économique inclusive et durable du Maroc. »

Organisé chaque année à Montréal, le SIAL est le plus grand salon professionnel de l'alimentation et des boissons au Canada, avec plus de 1 200 exposants nationaux et internationaux provenant de 50 pays, et plus de 25 000 visiteurs et potentiels acheteurs du Canada, des États-Unis et de 60 autres pays.

De nombreux événements parallèles ont permis aux entreprises dirigées par des femmes d'entrer en contact avec des acheteurs et des importateurs locaux, et de participer à des réunions interentreprises (B2B). En outre, une visite du marché a été organisée à leur intention, afin de les aider à mieux comprendre les habitudes des consommateurs locaux et les réseaux de distribution.

En préalable à la visite du salon, l'équipe SheTrades Maroc de l'ITC a formé ces entreprises sur les exigences et les normes légales indispensables pour pénétrer le marché nord-américain.

« Le fait que l’appui à l'entreprenariat féminin est non seulement bénéfique pour l'économie d'un pays, mais également nécessaire pour garantir un avenir juste et durable, est de plus en plus reconnu », déclare Lilia Hachem Naas, Cheffe du Bureau Moyen-Orient et Afrique du Nord à l’ITC. « SheTrades Maroc a un impact positif sur les communautés locales et mène la défense de l'entrepreneuriat féminin. »

Nasser Al-Thekair, Directeur général pour le développement du commerce et des affaires à l'ITFC, conclut : « Nous pensons que cette opportunité ouvrira de nombreuses nouvelles portes aux entrepreneures, car elles pourront non seulement comprendre les marchés d'un point de vue global, mais aussi échanger des idées avec des milliers de leurs pairs et clients. Nous nous attendons à voir un retour massif sur cet investissement, ainsi qu'une croissance à la fois pour les femmes entrepreneures et leurs communautés respectives. »

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ITC Actualités
Varias empresas marroquíes dirigidas por mujeres logran acuerdos comerciales en el SIAL
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Varias empresas marroquíes dirigidas por mujeres promocionaron sus productos para el mercado norteamericano en la mayor feria de alimentación y bebidas de Canadá, con el objetivo de generar nuevas oportunidades de inversión.

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El proyecto SheTrades Marruecos del Centro de Comercio Internacional unió sus fuerzas con la Trade Facilitation Office (Oficina de Facilitación del Comercio, TFO) de Canadá, gracias al apoyo de la Corporación Islámica Internacional para la Financiación del Comercio (ITFC) y el Banco Islámico de Desarrollo (IsDB), para llevar a ocho empresas marroquíes propiedad de mujeres (Terre Brune, Spiruline Nadia, Frelug, Flora, Mogador, Sagroma, Coopérative Sanad y Bionoor Cosmetics), a la feria comercial canadiense Le Salon International de l'Alimentation (SIAL). Las emprendedoras mostraron sus productos, entre los que se incluían el argán, el aceite de oliva, los vinagres de higo chumbo, las aceitunas y diversas especias.

Kristin Marinacci, Directora de Programas de la TFO de Canadá, afirmó: «Dado el contexto en el que nos encontramos por la COVID-19, apoyar a estas empresas propiedad de mujeres para que participen en el SIAL de Canadá de este año ha sido un paso importante para crear posibles vínculos comerciales con importadores canadienses. Ayudar a estas emprendedoras con sus estrategias de entrada en el mercado es una contribución vital al crecimiento económico inclusivo y sostenible de Marruecos».

El SIAL, que se celebra anualmente en Montreal, es la mayor feria de alimentación y bebidas de Canadá, y cuenta con más de 1200 expositores nacionales e internacionales procedentes de 50 países y recibe a más de 25.000 compradores de Canadá, los Estados Unidos de América y otros 60 países. 

Asimismo, se celebraron numerosos actos paralelos que facilitaron a las empresas dirigidas por mujeres entablar contactos comerciales con compradores e importadores locales, así como participar en reuniones entre empresas (B2B). Además, realizaron una visita a un mercado con el objetivo de conocer mejor los hábitos de los consumidores locales y las redes de distribución.

Antes de la feria, el equipo de SheTrades Marruecos del ITC formó a las empresas dirigidas por mujeres sobre los requisitos legales y las normas para entrar en el mercado norteamericano.

«Cada vez se reconoce más que apoyar el emprendimiento de las mujeres no sólo es beneficioso para la economía de un país, sino que también es necesario para garantizar un futuro justo y sostenible», afirma Lilia Hachem Naas, Jefa de la Oficina para la región de Oriente Medio y Norte de África del Centro de Comercio Internacional, «SheTrades Marruecos tiene un impacto positivo en las comunidades locales y toma la iniciativa en la defensa del emprendimiento de las mujeres».

Nasser Al-Thekair, Director General de Comercio y Desarrollo Empresarial del ITFC, añade: «Creemos que esta oportunidad abrirá muchas puertas nuevas a las emprendedoras, porque no sólo entenderán los mercados desde una perspectiva mundial, sino que también podrán intercambiar ideas con miles de sus homólogos y clientes. Sin duda, esperamos ver un retorno masivo de esta inversión, así como un crecimiento tanto para las mujeres emprendedoras como para sus respectivas comunidades».

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ITC Noticias
WTO Eighth Ministerial Conference opens with emphasis on positive and warnings of dangers of stagnation (en)
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The World Trade Organization (WTO)’s Eighth Ministerial Conference is highlighting Russia's accession anda ground-breaking deal that opens up government-procurement contracts worth as much as $100 billion to more foreign competition, as two significant and positive steps in the multilateral trading system. International Trade Centre (ITC) Executive Director Patricia R. Francis noted in her opening speech at the Ministerial that the multilateral system has kept intact its powers of attraction. 

The three-day meeting in Geneva, which began on 15 December, began with leaders saying the only way forward on the Doha Development Agenda is a change in the way negotiations are conducted. WTO Director-General Pascal Lamy urged major governments to show leadership, muster the political courage to act together to open trade and to make the interests and needs of poor countries their top priority. 


"I don't think we can any longer bury our head in the sand," Mr. Lamy told ministers at the opening session. "We need to understand the root causes" for not getting a deal. "How do we move forward? This should be done step by step, gradually moving forward parts of the DDA that have been agreed and finding solutions to the parts where differences remain." 


The decade-old Doha talks have snagged as industrialized countries demand more access to markets in developing nations and amid disagreements about protection for farmers in wealthy economies. While no Doha negotiations will take place at the meeting, ministers have discussed the trade round, which will be put off until 2013, after the U.S. presidential election. 


The chairman of the WTO's General Council plans to issue a document asking ministers to provide "political guidance" on the Doha round, the multilateral trading system and the WTO, and trade and development.           


"By popular opinion, there is a lack of political will to move the multilateral trading system forward," ITC Executive Director Patricia Francis said at the opening session. "Yet as the world is changing at an ever-increasing speed, the dynamics necessitate a new way of responding to alleviate mistrust and to build consensus on trade policy initiatives which deliver results for our development objectives." 

 

The Doha round has provided significant contributions to the trade and development agenda, said ITC Executive Director Patricia R. Francis in her opening speech at the World Trade Organization (WTO)’s Eighth Ministerial Conference. Ms. Francis noted that Aid for Trade now accounts for about a third of global aid commitments that include the WTO initiative of the Enhanced Integrated Framework for least-developed countries. 

 

"While the International Trade Centre certainly does not cover the full spectrum of the aid for trade agenda, we have been the force pushing for the inclusion of the voice of the private sector and women in the debate," she said.
             

Anabel Gonzalez, Costa Rica's Minister of Foreign Trade, said during the plenary session on 16 December that a pragmatic approach is needed. The WTO should move ahead in areas that benefit all members, such as trade facilitation, and examine other ways to make progress, including a plurilateral approach.  

 

Ministers also warned that as economies stumble amid Europe's sovereign-debt crisis, the global outlook is leading to a rise in protectionism. A group of 20 developing nations issued a statement expressing "serious concern over the increase of protectionism in agricultural trade." Chinese Commerce Minister Chen Deming said he expects "trends towards protectionism were expected to grow in 2012." 


The bright points of the conference, ministers said, is that the WTO will welcome three new members -- Russia, Samoa and Montenegro -- and the successful conclusion of a revised Government Procurement Agreement on 15 December.  ITC has provided assistance to Samoa during its accession process, and Ms. Francis will speak during the accession ceremony. 


 

 “Even in a very difficult and deteriorating macro-economic environment, with a bit of will, plus goodwill and hard work, things can get done,” Mr. Lamy told a news conference. 

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ITC Noticias

Los Premios de la Red Mundial de Organizaciones de Promoción del Comercio 2020 reconocieron a las agencias nacionales de promoción comercial por sus programas innovadores para el apoyo a las pequeñas y medianas empresas.

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Les Prix Mondiaux du réseau des Organisations de promotion du commerce 2020 ont récompensé des agences nationales de promotion du commerce pour des programmes innovants de soutien aux petites et moyennes entreprises.

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Lo orgánico lo cambia todo
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La producción sostenible de extractos medicinales y aromáticos de Nepal tiene un gran potencial de venta en Europa y América, pero este mercado especializado viene acompañado de retos y riesgos.

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A Swapnil Jain se le ve ilusión en los ojos cuando contempla las tierras altas del Parque nacional de Bardiya cerca de su hogar, Nepalgunj, al Oeste de Nepal. Sus ojos nos cuentan una historia de esperanza; una historia de tradición; una historia profunda de pertenencia y de conexión con el entorno. Espera recibir mejores noticias por parte del gobierno, del que confía en que levante el confinamiento del país cualquier día de estos. Una vez esto ocurra, los agricultores con los que trabaja volverán a los bosques y las llanuras altas, sus empleados volverán a sus puestos de trabajo en la planta de procesamiento y su empresa volverá entonces a producir aceites esenciales.

Swapnil es el Director de Bahubali Herbal Essence and Extracts Pvt. Ltd., el principal procesador, proveedor y exportador de este producto de especialidad de Nepal.

En 1996, su padre y su tío pusieron en marcha el negocio con el objetivo de la conservación y el abastecimiento sostenible de plantas medicinales y aromáticas de las tierras altas y bajas del Himalaya. Swapnil es uno de los ocho miembros de la familia de dos generaciones diferentes que participan activamente en el negocio.

La familia cree firmemente que Nepal es el mejor lugar del mundo en el que recolectar plantas medicinales y aromáticas ya que su situación y altitud únicas garantizan un entorno natural virgen.

Nepal organic oils
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Tenemos sumo cuidado durante las fases del abastecimiento, cultivo y destilación de nuestros aceites y hierbas para ser sostenibles. Pero hay muchos retos por delante.
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Un nicho de mercado con un gran potencial y riesgos

Las plantas y los extractos medicinales son productos de exportación con una importancia cada vez mayor para muchos países en desarrollo.

A medida que la población envejece y crece la preferencia de los consumidores por productos naturales para la salud, las plantas medicinales representan un nicho que los exportadores de muchos de los países menos adelantados quieren desarrollar para la producción y el comercio de exportación sostenibles.

Se estima que el mercado mundial de fármacos derivados de plantas crezca en 2022 hasta los 39.600 millones de dólares de EE. UU., con una tasa de crecimiento compuesto anual del 6,1% para el periodo 2017-2022.

Swapnil confiesa que en Nepal, país formado en más de un 80% por regiones montañosas, el empleo es escaso y la migración omnipresente.

Junto con la ganadería y los productos agrarios, la recolección de hierbas en los bosques se ha convertido en una fuente de ingresos alternativa para los habitantes de estas áreas remotas que no tienen la necesidad de emigrar para encontrar trabajo.

"Si los agricultores y los recolectores de hierbas no pueden trabajar, emigrarán hacia los países del Golfo para encontrar un trabajo. Esto tendría consecuencias devastadoras para mi negocio.

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18 mars 2022
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Y no solo eso. A lo largo de los años, la recolección sostenible de especies de flora y fauna salvajes ha despertado una preocupación cada vez mayor.

La empresa ha sido muy rigurosa en cuanto a asegurarse de que los recolectores conozcan la manera correcta de tratar las frágiles plantas.

Swapnil agradece que el gobierno haya establecido una regulación para la preservación de la flora, que indica que el 60% puede recolectarse y el 40% debe dejarse en el campo.

El Director, de 29 años, explica que la colaboración con el Grupo de usuarios de bosques comunitarios para la recolección de las plantas y el hecho de ser el responsable de la gestión sostenible del bosque ha ayudado enormemente.

La formación y educación de agricultores para que no usen pesticidas, para que traten las plantas con cuidado y para que preserven el bosque ha sido una de las principales prioridades de la empresa.

"Tenemos que evitar la destrucción del bosque. Sin los conocimientos necesarios, los recolectores pueden arrancar las raíces enteras de las plantas, y con ello favorecer la deforestación de nuestra región."

La colaboración ha proporcionado una fuente extra de ingresos y empleo a los agricultores y les ha ayudado a mejorar sus habilidades cultivando plantas medicinales y aromáticas.

Tengo la esperanza de conseguir la certificación orgánica de nuestros productos. Con ella, tendríamos un mejor acceso al mercado de la Unión Europea y los EE. UU.
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Debido a la COVID-19, aún no hemos tenido la oportunidad de obtener oficialmente nuestra validación orgánica.
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Ser una empresa verde y sostenible te abre más puertas. Pero la COVID-19 se ha interpuesto en nuestro camino.

La empresa está comprometida con el suministro de aceites esenciales puros y de calidad.

Bahubali cuenta con seis unidades de destilación con una capacidad de entre 1000 a 24.000 kilos, y vende el 5% de los aceites destilados a exportadores nacionales, mientras que el resto lo exporta a India, Europa y los EE. UU.

La obtención de la certificación orgánica es una inversión en sí misma. Una inversión que es muy difícil debido a los efectos económicos de la pandemia.

Tal y como Swapnil nos explica, no hay oficinas de certificación en Nepal, por lo que nadie puede viajar hasta el país para examinar los procesos de fabricación y recolección.

A pesar de la reducción de su capacidad de producción en un 50%, la empresa familiar mantuvo a todos sus trabajadores, pero su lucha por la supervivencia está aún vigente, ya que la recolección de las plantas es estacional.

"Por suerte, aún hay demanda de nuestros productos, por lo que solo esperamos a que la situación mejore para poder volver a producir a tiempo completo."

Bahubali Herbal Essence and Extracts Pvt. Ltd. forma parte del centro GreenToCompete en Nepal del Centro de Comercio Internacional, que ayuda a que las empresas adopten prácticas empresariales ecológicas a la vez que aumentan su presencia en el mercado. El proyecto está financiado por la Unión Europea, junto con otros proyectos del ITC en Nepal, como el Programa de Comercio e Inversión.

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Evelyn Seltier, Centro de Comercio Internacional
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