Publications

Les publications de l'ITC sont centrées sur le secteur privé des pays en développement dont elles font entendre la voix en faveur d’un commerce durable. Nous offrons des conseils aux responsables des politiques commerciales, aux organisations d’appui aux entreprises et aux petites entreprises. Nos rapports présentent des perspectives qui permettront de rendre le commerce plus inclusif, plus vert, numérique et compétitif.

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L'ITC et la Commission de l'UA signent un accord pour libérer le commerce intra-africain
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Le Centre du commerce international et la Commission de l'Union africaine ont signé un protocole d'accord visant à promouvoir le commerce inclusif, par l’intégration des petites entreprises dans les économies régionales d’Afrique pour qu’elles tirent parti du potentiel d'un commerce intra-africain accru, et à promouvoir le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés par le biais de l'Observatoire africain du commerce.

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(Addis-Abeba/Genève) – La Commission de l'Union africaine (UA) et le Centre du commerce international (ITC) ont signé un protocole d'accord au siège de l'Union africaine à Addis-Abeba, en Éthiopie, pour marquer le prochain chapitre d'un partenariat de longue haleine. En œuvrant de concert, ces organisations entendent favoriser le commerce inclusif en Afrique en intégrant les petites entreprises dans les économies régionales et en promouvant le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés à travers l'Afrique par le biais de l'Observatoire africain du commerce (ATO).

L'accord renouvelé répond aux changements de l'économie mondiale et au processus d'intégration régionale en cours en Afrique, dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Il réaffirme le dévouement, la vision commune et les efforts conjoints de l'Union africaine et de l'agence des Nations Unies dédiée au développement des petites entreprises.

Les principaux domaines mis en évidence dans ce cadre de coopération comprennent l'avancement de l'Observatoire africain du commerce, un outil en ligne développé par l'ITC qui fournit aux décideurs politiques et aux entreprises des données commerciales en temps réel ; la promotion des principales chaînes de valeur continentales en vue de renforcer le développement industriel ; l'intégration des petites entreprises dans les processus commerciaux régionaux afin de leur permettre de tirer parti de la ZLECAf ; et l'intégration de l'autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs pour un commerce inclusif.

S.E. l'Ambassadeur Albert Muchanga, Commissaire chargé du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM), a déclaré à cette occasion : « Ce protocole d'accord consolide les relations étroites qui existent déjà entre nos deux institutions. Il catalysera la mise en œuvre de la stratégie de l'Union africaine en faveur des PME, l'opérationnalisation de l'ATO, la protection de la propriété intellectuelle, ainsi que la promotion du développement du secteur privé en Afrique. »

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a pour sa part expliqué : « Avec ce nouvel accord, nos deux institutions intensifient leur collaboration pour concrétiser notre vision commune d'une Afrique interconnectée, industrielle et inclusive. Ensemble, nous continuerons à doter les petites entreprises des informations et des compétences dont elles ont besoin pour s'intégrer dans les chaînes de valeur régionales et continentales – et obtenir la visibilité indispensable grâce à un label Made in Africa – afin qu'elles puissent générer davantage de revenus et des emplois de qualité, et ainsi transformer les sociétés. »

L'Assemblée des chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine a établi l'Accélération de la mise en œuvre de la ZLECAf comme thème de l'année 2023. Cette année, la Commission de l'UA et l'ITC formeront les petites entreprises participant à la foire commerciale intra-africaine et au sommet de l'UA sur les femmes dans le secteur de la transformation – qui se tiendra au Caire, en Égypte, en novembre –, sur la manière d'être compétitives et de réaliser des transactions sur le marché africain. La base de données de l'ATO sera élargie et les entreprises recevront une formation sur la manière d'utiliser cet outil pour développer leurs activités. L'ITC appuiera également l'UA dans l'opérationnalisation complète de son Réseau des entreprises d'Afrique afin de renforcer l'écosystème commercial global du continent et de faciliter les échanges commerciaux entre les entreprises.

 

 

Note aux éditeurs

 

À propos de la Commission de l'Union africaine et de son Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM)

Le Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) est l'un des portefeuilles de la Commission de l'Union africaine qui doit contribuer à la réalisation de l'intégration économique de l'Afrique et faire du continent un partenaire industriel et commercial compétitif dans l'économie mondiale. Le DCIM est chargé de promouvoir le développement économique, la création d'emplois et l'industrialisation sur l'ensemble du continent africain. L'objectif principal du département est de développer des politiques, des stratégies et des programmes qui favorisent le commerce et les investissements intra-africains, et attirer les investissements étrangers directs.

Pour de plus amples informations, visitez son site internet : https://au.int/fr/commerce-et-industrie

À propos de l'ATO

L'Assemblée/AU/Dec.394 (XVIII) du 18 mai 2012 sur la dynamisation du commerce intra-africain et l'accélération de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) a adopté l'architecture de la ZLECAf et prévoit la création d'un Observatoire africain du commerce (ATO) au sein du Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) de la Commission de l'UA. L'ATO sera le principal dépositaire de données et d'informations qualitatives et quantitatives sur le commerce africain. Il fournira à la communauté des affaires et aux décideurs politiques des informations commerciales et des renseignements sur le marché.

Pour de plus amples informations, visitez son site dédié : https://ato.africa/fr

À propos du Centre du commerce international

Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. 

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À propos du programme One Trade Africa

Le programme One Trade Africa de l'ITC vise à permettre aux petites entreprises de tirer parti des opportunités commerciales transformatrices générées par la ZLECAf pour se développer, et en particulier pour que les jeunes et les femmes entrepreneurs puissent devenir économiquement autonomes. Son modèle de prestation en trois volets aide les petites entreprises africaines à renforcer leur compétitivité, à se connecter et à changer aux niveaux à la fois de l'entreprise, de l'écosystème commercial et de la politique. L'ITC offre des formations, des conseils et un accompagnement pour renforcer leurs capacités, les relier à de nouveaux marchés plus lucratifs, et leur permettre de créer des emplois.


Contacts médias

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique 
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux 
Commission de l'Union africaine
Courriel : Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Addis-Abeba | Éthiopie

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El ITC y la CUA firman un acuerdo para empoderar a las pequeñas empresas y desbloquear el comercio intraafricano
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El Centro de Comercio Internacional y la Comisión de la Unión Africana firmaron un memorando de entendimiento para promover el comercio inclusivo por medio de la integración de las pequeñas empresas en la economía regional africana y el aprovechamiento del potencial de un mayor comercio intraafricano, y para promover el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado a través del Observatorio del Comercio Africano.

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(Adís Abeba/Ginebra) - La Comisión de la Unión Africana (CUA) y el Centro de Comercio Internacional (ITC) firmaron un memorando de entendimiento en la sede de la Unión Africana en Adís Abeba, Etiopía, que marca el siguiente capítulo de su asociación. Ambas organizaciones fomentarán de forma conjunta el comercio inclusivo en África por medio de la incorporación de las pequeñas empresas a la economía regional, y promoverán el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado en toda África a través del Observatorio del Comercio Africano (OCA).

El acuerdo renovado responde a los cambios de la economía mundial y al proceso de integración regional en curso en África, respaldado por la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA). Además, reafirma la dedicación, la visión compartida y los esfuerzos conjuntos de la Unión Africana y la principal agencia de la ONU dedicada al desarrollo de las pequeñas empresas.

Entre las áreas clave destacadas del marco de cooperación destacan el avance del Observatorio del Comercio Africano, una herramienta en línea desarrollada por el ITC que proporciona datos comerciales en tiempo real a los encargados de formular políticas y a las empresas; la promoción de las cadenas de valor continentales clave para reforzar el desarrollo industrial; la integración de las pequeñas empresas en el proceso comercial regional para que puedan beneficiarse de la AfCFTA; y la integración del empoderamiento económico de las mujeres y los jóvenes emprendedores para un comercio inclusivo.

S.E. el Embajador Albert Muchanga, Comisario de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM), declaró: «El Memorando de Entendimiento consolida la sólida relación que ya existe entre las dos instituciones y catalizará la puesta en marcha de la Estrategia de la Unión Africana para las PYME, la puesta en marcha del OCA, la protección de la propiedad intelectual y la promoción del desarrollo del sector privado en África».

Pamela Coke-Hamilton, Directora Ejecutiva del ITC, declaró: «Con este nuevo acuerdo, nuestras dos instituciones intensifican su colaboración para hacer realidad nuestra visión común de una África interconectada, industrial e integradora. Juntos, seguiremos proporcionando a las pequeñas empresas la información y las competencias que necesitan para poder integrarse en las cadenas de valor regionales y continentales y obtener la visibilidad que necesitan a través de una etiqueta Made in Africa (Hecho en África), con el objetivo último de que puedan generar más beneficios, crear empleos de calidad y transformar las sociedades».

La Asamblea de Jefes de Estado y de Gobierno de la Unión Africana declaró la «Aceleración de la puesta en marcha de la AfCFTA» como el tema del año 2023. Este año, la CUA y el ITC formarán a las pequeñas empresas que asistan a la Feria Comercial Intraafricana y a la Cumbre de la UA sobre la Mujer en la Transformación, que se celebrará en El Cairo (Egipto) en noviembre, sobre cómo competir y realizar transacciones comerciales en el mercado africano. Se ampliará, además, la base de datos del OCA y se formará a las empresas en la utilización de esta herramienta para hacer crecer sus negocios. El ITC también apoyará a la UA para que pueda alcanzarse la plena operatividad de su Red Enterprise Africa y reforzar así el ecosistema empresarial general del continente, con el fin de facilitar el comercio para las empresas.

 

 

Notas para el editor:

Acerca de la Comisión de la Unión Africana y su Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM)

El Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) es una de las carteras de la Comisión de la Unión Africana que contribuye a la consecución de la integración económica de África y a convertir al continente en un socio industrial y comercial competitivo en la economía mundial. El ETTIM se encarga de promover el desarrollo económico, la creación de empleo y la industrialización en todo el continente africano. Su principal objetivo es el desarrollo de políticas, estrategias y programas que promuevan el comercio y las inversiones intraafricanas, así como la atracción de la inversión directa extranjera.

Para más información, visite https://au.int/en/ettim

Acerca del OCA

La Assembly/AU/Dec.394 (XVIII) del 18 de mayo de 2012 sobre el impulso del comercio intraafricano y la aceleración de la puesta en marcha de la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) adoptó la arquitectura de la AfCFTA e incluyó la creación de un Observatorio del Comercio Africano en el Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) de la CUA. El OCA servirá como el principal repositorio de información y datos cualitativos y cuantitativos sobre el comercio africano y proporcionará a la comunidad empresarial y a los encargados de formular políticas información comercial e inteligencia de mercado.

Para más información, visite https://ato.africa/en

Sobre el ITC

El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Para más información, visite www.intracen.org.

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Acerca de One Trade Africa

El programa del ITC One Trade Africa trabaja para capacitar, empoderar y mejorar a las pequeñas empresas africanas, a las mujeres y a los jóvenes emprendedores para que puedan acceder a las oportunidades empresariales transformadoras creadas por la AfCFTA. El programa adopta un modelo de ejecución triple que apoya a las pequeñas empresas africanas para que compitan, se conecten entre sí y cambien a nivel empresarial, de ecosistema empresarial y de políticas. El ITC ofrece formación, asesoramiento y orientación para desarrollar sus capacidades, conectarlas con mercados nuevos y más lucrativos y crear puestos de trabajo.

 

Contacto para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Teléfono: +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales 
Comisión de la Unión Africana
Correo electrónico: Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Adís Abeba | Etiopía

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La fève fait son chemin : Exporter vers l'Union européenne
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Une marque de chocolat des Philippines, opérant de l'arbre à la tablette, fait profiter sa communauté de son succès sur les marchés européens.

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En 2013, alors qu'elle terminait son cursus universitaire à Chicago, Kelly Go a dégusté un chocolat artisanal américain fait à partir de cacao d'origine philippine – et elle y a pris goût !

À partir de là, ses aspirations professionnelles se sont précisées. Son diplôme en poche, elle a voulu en apprendre davantage sur cet artisanat. Elle s'est donc inscrite à l'école Cordon Bleu à Paris pour suivre une formation en arts culinaires, ce qui lui a permis de développer ses connaissances et ses compétences dans le domaine du commerce alimentaire.

 

L'amour de la cuisine, de la culture et du chocolat l'a ensuite emmené en Allemagne où elle a approfondi son expertise dans la production de chocolat industriel.

En 2015, de retour au pays, elle a constitué avec son meilleur ami, Mark Ocampo, une société enregistrée auprès de la Securities and Exchange Commission, et s'est lancée dans l'aventure.

Pour nous, le potentiel d'élever le marché du chocolat fin aux Philippines était évident, et en plus, il nous offrait l'opportunité de poursuivre notre rêve commun de rentrer au pays et d'y apporter notre contribution.
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Kelly Go et deux de ses employées d'AURO
© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

La production responsable va de pair avec les affaires

Leur entreprise, Auro Chocolate, a finalement été lancée en 2017 en tant que marque de chocolat opérant de l'arbre à la tablette. Kelly et Mark ont en outre assumé leur ambition de constituer une entreprise sociale en introduisant des programmes de développement communautaire et des primes supérieures au prix de la marchandise pour soutenir les agriculteurs.

En s'approvisionnant directement auprès des producteurs de fèves, Auro promeut la durabilité. Elle travaille directement avec les agriculteurs locaux pour cultiver des fèves de cacao fines, améliorer les ingrédients et élargir les produits de détail avec des saveurs tropicales uniques et audacieuses, telles que la mangue séchée.

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Comptant 20 employés au démarrage, elle emploie aujourd'hui plus de 100 salariés pour assurer l'exportation de ses produits vers l'Union européenne (UE) et d'autres pays initiée en 2018.

« Nous nous impliquons dans chaque étape du processus en travaillant constamment avec nos agriculteurs partenaires pour leur permettre de produire des fèves de cacao de qualité fine qui répondent aux normes de qualité internationales. »

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19 janvier 2023

Percée sur les marchés européens

De nombreux défis devaient d'abord être relevés avant de pouvoir exporter vers l'UE.

« Lors des événements de vente, les gens s'interrogeaient sur la qualité de nos produits, car les chocolats des Philippines ne sont pas courants. »

Pour gagner la confiance des consommateurs à l'égard des produits fabriqués aux Philippines à partir de cacao cultivé localement, Kelly a du s'informer sur les procédures obligatoires.

Le Bureau de commercialisation des exportations (EMB) du Département du commerce et de l'industrie (DTI) des Philippines a aidé Auro à remplir les conditions réglementaires obligatoires pour l'exportation vers l'UE. Le Centre des missions et expositions commerciales internationales (CITEM) a également appuyé l'entreprise pour monter un stand philippin lors de foires commerciales internationales majeures, telles que le Salon du chocolat en France.

Ces initiatives ont fait des merveilles pour le cacao fin d'Auro.

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
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© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Le SPG+ : un vrai plus pour l'entreprise

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Les ventes ont augmenté de près de 200 % depuis la pandémie de COVID-19. Auro exporte directement dans plus de 15 pays et plus de 40 chocolatiers européens utilisent ses fèves de cacao pour fabriquer du chocolat d'origine philippine.

Kelly a été ravie d'apprendre que des chocolatiers de l'UE utilisaient ses produits chocolatés. Le fait de pouvoir exporter vers l'UE signifie que le cacao philippin peut rivaliser au niveau mondial avec d'autres marques de chocolat réputées.

Le système de préférences généralisées Plus (SPG+) de l'UE vise à inciter les pays en développement à poursuivre le développement durable en exonérant leurs produits de droits d'importation sur son marché. Cette mesure a permis à Kelly de fixer des prix compétitifs pour ses produits par rapport à d'autres marques.

Kelly est fière que ses produits côtoient d'autres marques de renommée internationale. Cette réputation lui permet de poursuivre le développement de son entreprise avec ses partenaires de l'UE.

En outre, l'augmentation des ventes a profité à Kelly et à ses salariés.

« Grâce au statut SPG+, nous faisons désormais partie du marché international des fèves de cacao, ce qui a entraîné une augmentation de nos ventes. Cette demande croissante pour les fèves de nos communautés agricoles partenaires génère davantage de revenus pour ces communautés, et fournit un marché stable pour leur cacao. »

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Nos barres chocolatées se vendent bien grâce au SPG+, qui nous ouvre l'accès au marché de l'UE.
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© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Pour aller de l'avant

Sous la direction de Kelly, les chocolats d'Auro se dotent d'objectifs plus élevés.

« Nous avons des projets exaltants. Du côté agricole, nous allons lancer davantage d'initiatives communautaires pour venir compléter notre programme actuel de production de cacao. Nous élargissons également nos sources d'approvisionnement afin d'introduire de nouvelles origines de chocolats fantastiques. Nous envisageons également d'adopter des pratiques et des matériaux plus respectueux de l'environnement tout au long de la chaîne d'approvisionnement. »

Elle souhaite également passer un message inspirant aux exportateurs philippins en herbe :

« Ne soyez pas intimidés lorsque vous déposez une demande dans le cadre du SPG+. Le DTI est là pour vous assister tout au long de la procédure et vous aider à commercialiser votre marque. C'est aussi une excellente occasion pour vos produits de pénétrer le marché européen et de s'y développer. »

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© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Le projet ARISE Plus Philippines permet aux exportateurs philippins de profiter du Système de préférences généralisées Plus (SPG+) et des privilèges commerciaux qui l'accompagnent pour accéder au marché de l'Union européenne (UE). Le projet appuie les relations commerciales globales entre l'UE et les Philippines ainsi que les politiques liées au commerce.

ARISE Plus Philippines est un projet du Gouvernement des Philippines, avec le Département du commerce et de l'industrie (DTI) comme partenaire principal, ainsi que le Département de l'agriculture (DA), l’Administration des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA), le Bureau des douanes (BOC), le Département des sciences et de la technologie (DOST), ainsi que le secteur privé. Il est financé par l'UE, et sa partie technique est supervisée par l'ITC.

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Waqas Rafique, Centre du commerce international
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El cacao pide pista: exportaciones a la Unión Europea
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Una marca filipina de chocolate, que se encarga de todo el proceso de fabricación, del árbol a la tableta, hace que su comunidad se beneficie de su éxito en los mercados europeos. 

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En 2013, cuando estaba a punto de terminar sus estudios universitarios en Chicago, EE. UU, Kelly Go probó un chocolate artesano estadounidense fabricado con cacao de origen filipino.

Desde ese momento, sus aspiraciones profesionales empezaron a tomaron forma. Tras su graduación, decidió ampliar sus conocimientos sobre el cacao y se matriculó en el instituto Le Cordon Bleu de París, en el que obtuvo un Diploma en Artes Culinarias. Con esta formación especializada, mejoró aún más sus conocimientos y habilidades sobre el negocio de la alimentación.

 

Su amor por la comida, la cultura y el chocolate dirigió sus pasos hacia Alemania, donde profundizó sus conocimientos sobre la producción industrial del chocolate.

Cuando regresó a casa en 2015, registró su empresa en la Comisión de Valores y Bolsa y se asoció con su mejor amigo, Mark Ocampo, para este nuevo proyecto.

Juntos, vimos el potencial de elevar el mercado del chocolate fino en Filipinas y, al mismo tiempo, una oportunidad para alcanzar nuestro sueño de volver a casa y contribuir a mejorar nuestra comunidad.
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Kelly Go y dos empleadas de Auro
© Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

La producción responsable va de la mano de los negocios

En 2017, lanzaron Auro Chocolate, una marca que se encarga de todos los procesos de la elaboración del chocolate, del árbol a la tableta, y que a la vez es una empresa social que pone en marcha programas de desarrollo comunitario y de primas que están por encima del precio de los productos básicos para apoyar a los agricultores.

Al abastecerse de forma directa, Auro promueve la sostenibilidad. Además, trabaja con los productores locales para cultivar granos de cacao fino, mejorar los ingredientes y ampliar el mercado de productos al por menor con sabores tropicales únicos y atrevidos, como el mango deshidratado.

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

De un equipo de 20 personas, la empresa ha pasado a contar con más de 100 empleados que trabajan para exportar sus productos a la Unión Europea (UE) y a otros países desde 2018.

«Nos implicamos en cada paso del proceso y trabajamos de forma continua con nuestros agricultores asociados en la producción de granos de cacao de gran calidad que cumplan con las normas de calidad internacionales».

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19 janvier 2023

Entrada en los mercados europeos

La empresa se enfrentó a varios retos antes de poder materializar con éxito las exportaciones a la UE.

«En las ferias, la gente preguntaba por la calidad de nuestros productos, ya que no es habitual encontrar chocolates de Filipinas».

Para ganarse la confianza de los consumidores respecto a los productos de chocolate fabricados en filipinas con cacao del país, Kelly debe estar al corriente de los requisitos de procedimiento obligatorios.

La Oficina de Comercialización de las Exportaciones (EMB) del Departamento de Comercio e Industria (DTI) de Filipinas ayudó a Auro a cumplir los requisitos reglamentarios obligatorios para poder exportar a la UE. El Centro de Exposiciones y Misiones Comerciales Internacionales (CITEM) apoyó además a la empresa con la organización de los stands del país en varias ferias internacionales clave como el Salon du Chocolat de Francia.

Estas iniciativas hicieron maravillas con el cacao fino de Auro.

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

Una ventaja para la empresa: SPG+

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Las ventas han aumentado casi un 200 % desde la irrupción de la pandemia de COVID-19. Auro exporta directamente a más de 15 países y más de 40 chocolateros europeos utilizan los granos de cacao fino de la empresa para elaborar chocolate de origen filipino.

A Kelly le hizo muy feliz saber que los chocolateros de la Unión Europea utilizaban los productos de chocolate de su empresa. Las exportaciones a la Unión Europea ha n significado que el cacao filipino pueda competir a nivel mundial con otras marcas de chocolate reconocidas.

El Sistema de Preferencias Generalizadas (SPG+) de la UE elimina los derechos de importación de los productos que llegan al mercado comunitario procedentes de países en desarrollo, por lo que Kelly pudo fijar precios competitivos para sus productos frente a otras marcas.

Kelly se enorgullece de que sus productos puedan estar al lado de otras marcas conocidas en los mercados internacionales, ya que esto permite que su empresa siga aumentando el negocio con sus socios de la UE.

Además, el crecimiento de las ventas ha beneficiado a Kelly y a quienes trabajan en su empresa.

«Gracias al SPG+, hemos entrado a formar parte del mercado internacional de granos de cacao, lo que se ha traducido en un aumento de nuestras ventas. Esto significa que existe una demanda creciente de los granos cosechados por nuestra comunidad agrícola asociada, lo que genera más ingresos para ellos, al tiempo que les proporciona un mercado estable para su cacao».

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© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Las ventas de nuestras tabletas de chocolate van bien gracias al SPG+, que sirve de apoyo a la entrada en el mercado de la UE.
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Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

El futuro

Auro está dispuesta a alcanzar cotas más altas bajo la dirección de Kelly.

«Tenemos planes apasionantes. En cuanto a las explotaciones agrícolas, vamos a lanzar más iniciativas para la comunidad interrelacionadas con nuestro actual programa de cacao. También estamos ampliando nuestro abastecimiento para introducir nuevos y excitantes orígenes de cacao. Asimismo, está en proyecto el cambio a prácticas y materiales más respetuosos con el medio ambiente en toda la cadena de suministro».

Kelly deja un mensaje inspirador para los emprendedores filipinos que aspiran a exportar:

«No se sientan intimidados cuando envíen sus solicitudes para acceder al SPG+. El DTI está ahí para asistirles durante todo el proceso de solicitud y ayudarles a que sus marcas sean comercializables. También es una gran oportunidad para que sus productos se introduzcan y crezcan en el mercado de la UE».

Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

El proyecto ARISE+ Filipinas permite a los exportadores filipinos aprovechar el acceso a los mercados de la Unión Europea (UE) y los privilegios comerciales concedidos en el marco del Sistema de Preferencias Generalizadas Plus (SPG+) y apoya las relaciones comerciales generales entre la Unión Europea y Filipinas, así como las políticas comerciales.

ARISE+ Filipinas es un proyecto del Gobierno de Filipinas, con el Departamento de Comercio e Industria como socio principal junto con el Departamento de Agricultura, la Administración de Alimentos y Medicamentos de Filipinas, la Oficina de Aduanas, el Departamento de Ciencia y Tecnología, y el sector privado. El proyecto está financiado por la Unión Europea (UE) y el Centro de Comercio Internacional (ITC) es la agencia técnica del proyecto.

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Waqas Rafique, Centro de Comercio Internacional
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Aider les petites entreprises d'Afrique de l'Ouest à tirer profit du libre-échange
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La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) recèle un immense potentiel dont les entrepreneurs ouest-africains peinent à profiter en raison de sa complexité. Un nouveau programme complet de formation offre des solutions sur mesure pour leur permettre de développer leur entreprise.

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L'atelier régional a fourni des informations essentielles aux formateurs expérimentés, aux professionnels du commerce et aux associations, afin qu'ils puissent mieux appuyer les entrepreneurs lors de leur parcours pour répondre aux exigences d'exportation de la ZLECAf.

La formation a été organisée par le Centre du commerce international (ITC) en collaboration avec la Commission de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

Selon Komi Tsowou, Conseiller régional du PNUD pour la ZLECAf, « L'augmentation de la production et du commerce des MPME pour le marché africain est un indicateur important du succès de la ZLECAf. Le PNUD s'est engagé à collaborer avec les organisations d'appui aux entreprises pour aider les MPME à optimiser les opportunités offertes par la ZLECAf. »

Group photo of workshop participants outside a building
Participants and representatives of agencies gather for a group photo during the ECOWAS, UNDP & ITC regional workshop on maximising opportunities in the AfCFTA.
Photo by ECOWAS Commission

L'objectif de cet atelier était de mettre en évidence les opportunités générées par la ZLECAf, en montrant les stratégies et les approches que les commerçants de la CEDEAO peuvent adopter pour accéder au marché africain, et en les encourageant à utiliser les outils de l'ITC tels que l'Observatoire africain du commerce.

Ashish Shah, Directeur de la Division des programmes pays de l'ITC, explique : « Toutes nos formations relatives à la ZLECAf mettent l'accent sur l'investissement, le commerce, les renseignements sur le marché et le développement des chaînes de valeur. Les MPME sont encadrées sur la manière d'élaborer un dossier commercial solide pour le présenter aux financeurs potentiels, et sur la manière d'utiliser la suite d'outils d'intelligence commerciale et de marché de l'ITC. »

La formation a également permis de mettre en lumière les synergies existantes entre la ZLECAf et la CEDEAO.

Pour Massandjé Toure-Litse, Commissaire aux affaires économiques et à l'agriculture au sein de la Commission de la CEDEAO, « La CEDEAO s'est engagée à appuyer les entreprises ouest-africaines pour qu'elles tirent parti des avantages amenés par la ZLECAf. Nous collaborons avec des partenaires tels que l'ITC et le PNUD, en fournissant des formations sur mesure et des informations sur le marché. En mettant l'accent sur les femmes et les jeunes, notre objectif est d'autonomiser les entrepreneurs, de stimuler la croissance inclusive et la prospérité à travers toute l'Afrique de l'Ouest. »

Grâce à un volet spécifique sur femmes entrepreneures par le biais de l'initiative de l'ITC SheTrades, l'atelier a permis aux associations commerciales d'améliorer leur appui aux petites entreprises et d'ouvrir la voie à un commerce régional inclusif.

Cet atelier est l'un des nombreux ateliers à venir visant à stimuler les petites entreprises et à accroître la compétitivité régionale par le biais du Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP), et à élargir les possibilités de commerce et d'exportation pour les entreprises africaines grâce au commerce continental dans le cadre du programme One Trade Africa.

Three men speak on panel in conference room
Representatives of UNDP, ECOWAS and ITC during the opening session of the ECOWAS, UNDP & ITC regional workshop on maximising opportunities in the AfCFTA held in Abuja, Nigeria.
Photo by ECOWAS Commission

À propos Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP)

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) vise à appuyer des chaînes de valeur sélectionnées aux niveaux national et régional afin de promouvoir la transformation structurelle et un meilleur accès aux marchés régionaux et internationaux, tout en tenant compte des préoccupations sociales et environnementales. Son objectif global est de renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et d'améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international.

 

À propos du programme One Trade Africa

Le programme One Trade Africa de l'ITC vise à permettre aux petites entreprises de tirer parti des opportunités commerciales transformatrices générées par la ZLECAf pour se développer, et en particulier pour que les jeunes et les femmes entrepreneurs puissent devenir économiquement autonomes. Son modèle de prestation en trois volets aide les petites entreprises africaines à renforcer leur compétitivité, à se connecter et à changer aux niveaux à la fois de l'entreprise, de l'écosystème commercial et de la politique. L'ITC offre des formations, des conseils et un accompagnement pour renforcer leurs capacités, les relier à de nouveaux marchés plus lucratifs, et leur permettre de créer des emplois.

 

À propos du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)

Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) est le principal organisme des Nations Unies qui lutte contre l'injustice de la pauvreté, les inégalités et le changement climatique. Travaillant avec un vaste réseau d'experts et de partenaires dans 170 pays, nous aidons les pays à développer des solutions intégrées et durables pour les personnes et la planète. Pour de plus amples informations, visitez le site https://www.undp.org/fr, et suivez @undpafrica sur Twitter, Facebook, Instagram et LinkedIn.

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ITC Actualités
Les entreprises africaines apprennent à exploiter la ZLECAf
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La Zone de libre-échange continentale africaine offre un meilleur accès aux marchés régionaux. De nouveaux ateliers de l'ITC expliquent aux entreprises africaines comment elles peuvent y accéder.

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Les entreprises africaines qui cherchent à exporter au sein de la nouvelle Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) se posent probablement de nombreuses questions. Une nouvelle série d'ateliers organisés dans cinq pays entre septembre et décembre 2022 a permis d’expliquer la manière dont elles peuvent naviguer dans le nouvel environnement commercial et identifier les marchés du continent les plus pertinents.

Organisés par l'Académie du commerce pour les PME, la section de l'ITC chargée des solutions d'apprentissage, ces ateliers ont été élaborés en partenariat avec Afreximbank et mis en œuvre avec des partenaires locaux, à savoir :

  • Le Département du commerce, de l'industrie et de la concurrence (DTIC, Afrique du Sud) ;
  • L'Agence du réseau commercial du Kenya (KenTrade) ;
  • L'Association marocaine des Exportateurs (ASMEX, Maroc) ;
  • Le Centre tunisien de promotion des exportations (CEPEX, Tunisie) ; et
  • Le Centre égyptien de formation au commerce extérieur (FTTC, Égypte).


Les sessions ont été conçues pour être interactives et fournir aux participants des connaissances pratiques, notamment :

  • Identifier les opportunités de marché en Afrique ;
  • Se préparer pour être prêt à exporter ;
  • Comprendre les documents requis pour exporter et la manière de les utiliser ;
  • Sélectionner un ou plusieurs marchés africains présentant des opportunités viables pour ses produits ;
  • Choisir entre différentes options pour pénétrer le ou les marchés sélectionnés ; et
  • Identifier les différentes options de financement du commerce disponibles pour l'entreprise.

En outre, les ateliers ont été élaborés en utilisant le nouveau concept d'atelier technologiquement amélioré de l'Académie du commerce pour les PME : la méthodologie d'atelier numérique. De fait, les ateliers comprennent à présent des présentations digitales interactives, des vidéos, des exercices, des guides pour les formateurs, des cahiers d'exercices pour les apprenants, ainsi que des documents en ligne pour faciliter l'organisation et le déroulement des ateliers sur le plan administratif.

Dans le cadre du programme de formation intitulé « Exporter au sein de la ZLECAf », chacun de ces ateliers doit comprendre un module de formation des formateurs. Ainsi, un total de 102 formateurs locaux ont appris à mener eux-mêmes ces sessions en utilisant la méthodologie d'atelier numérique. Non seulement les partenaires locaux ont ainsi pu pleinement s'approprier le contenu de la formation, mais cette stratégie a également permis d'étendre les sessions de formation au-delà des cinq villes initialement sélectionnées, à savoir Johannesburg, Nairobi, Casablanca, Le Caire et Tunis.

Chaque atelier s'est déroulé sur quatre jours. Au cours des deux premiers jours, les nouveaux formateurs se sont familiarisés avec la méthodologie de l'atelier numérique, ainsi qu'avec la façon d'animer et de planifier leur session. À cette fin, ils avaient accès aux ressources disponibles sur la plateforme de formation en ligne Exporter au sein de la ZLECAf (à ce jour, en version anglaise uniquement). Au cours des deux jours suivants, les formateurs ont mis en pratique leurs nouvelles connaissances en animant de véritables sessions, pour le bénéfice de participants invités, pour la plupart des petites et moyennes entreprises (PME) locales. Ainsi, quelque 142 PME ont d'emblée pu être formées.

Les ateliers ont été dirigés et supervisés par les maîtres formateurs et experts techniques Guillaume Lamothe, Ilyas Choubaili, Rania Habib et Dorothy Tuma, avec l'appui de la coordinatrice du programme de formation Dorina Dobre.

« Le but de l'atelier était, d'une part, de former un premier lot de PME, et d'autre part, d'équiper les futurs formateurs des moyens adéquats de dispenser le contenu », a déclaré Mme Dobre. « La présence de l''ITC se poursuivra pour faciliter l'accès des participants à la formation en ligne et pour aider les formateurs à renforcer leur capacité d'animation. »

À propos du programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf

Le programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf est le résultat d'un partenariat entre l'ITC et Afreximbank. Il combine des éléments en ligne et hors ligne pour enseigner aux exportateurs africains actuels et potentiels les principes fondamentaux du commerce intra-africain. Il les accompagne également dans l'exploration des opportunités générées par la ZLECAf.

À propos de l'Académie du commerce pour les PME de l'ITC

L'Académie du commerce pour les PME est la section qui rassemble les solutions de formation de l'ITC. Cette plateforme publique d'apprentissage, unique en son genre, propose plus de 100 cours en ligne gratuits sur une grande variété de sujets liés au commerce. Disponible à la fois en français, en anglais, en espagnol et en arabe, elle compte plus de 100 000 inscriptions par an, provenant de plus de 190 pays. En outre, elle fournit une variété de solutions d'apprentissage clés en main en appui aux projets d'assistance technique liés au commerce de l'ITC. L'éventail de ces solutions s'étend des produits entièrement en ligne, tels que les cours d'apprentissage en ligne, les espaces d'apprentissage virtuels et les ateliers virtuels, jusqu'aux formations individuelles grâce aux outils technologiques, telles que les ateliers numériques et à support numérique.

À propos de One Trade Africa

L'objectif du programme One Trade Africa est d'autonomiser les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), les femmes et les jeunes entrepreneurs africains, d'améliorer leurs opérations, et de leur permettre d'accéder aux nouvelles opportunités commerciales transformatrices amenées par l'instauration de la ZLECAf. À cette fin, le programme adopte un modèle de prestation à trois volets, pour aider les MPME africaines à être compétitives, à se relier et à évoluer, et ce selon trois niveaux, de l'entreprise, de l'écosystème commercial et des politiques. L'ITC offre aux MPME africaines des formations, des conseils et un accompagnement afin de renforcer leurs capacités, de les aider à pénétrer de nouveaux marchés plus lucratifs, ce qui ultimement permettra de créer des emplois.

Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Hossam Mostafa
Ultrakem
Égypte
Égypte
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Chokri Selmi
Société d'élevage
Tunisie
Tunisie
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Chepkirui Rose
Département d'État pour le développement du commerce et des entreprises
Kenya
Kenya
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Karim el Haoud
Programme suisse de promotion des importations (SIPPO)
Maroc
Maroc
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ITC Actualités
Una pequeña empresa tunecina se ha propuesto triunfar en la cosmética ecológica
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Aprovechando el auge de los productos ecológicos, Bouchra Masrour se ha hecho un hueco en la industria cosmética tunecina. Bouchra cultiva los ingredientes, elabora los productos y los vende. Y ahora, está lista para exportar.

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¡Viva con salud y viva feliz!
Do not show

Este es el lema de Bouchra Masrour.

También es la razón por la que dejó una carrera de 18 años en una clínica privada tunecina para embarcarse en una nueva aventura, dando vida así a su pasión por los cosméticos orgánicos.

El argán y el olivo: corazón del patrimonio marroquí

Bouchra, de origen marroquí, heredó el amor por el cultivo del olivo y el argán. El aceite que se obtiene de los espinosos árboles de argán es un producto típicamente marroquí utilizado para elaborar productos de belleza y de cocina que son una parte esencial de la vida cotidiana de las mujeres de su país natal. 

Estos productos son el resultado de tradiciones artesanales milenarias y proporcionan ingresos y cohesión social a las redes de mujeres rurales que los elaboran.

En 2016, tras mudarse a Túnez, Bouchra creó Bahia Cosmetics, que fabrica productos de belleza orgánicos y naturales certificados. Todos los productos están libres de amoníaco y tienen envases respetuosos con el medio ambiente.

«Cuando me di cuenta de que Túnez importaba aceite de argán de Francia, decidí fabricar productos ecológicos certificados a partir de nuestra cosecha local», explica.

Su amor por la naturaleza ha tendido un puente entre su formación científica, sus conocimientos de fitoterapia y su herencia marroquí. El resultado es su marca Bahia Cosmetics.

Vidéo

20 septembre 2022

Una industria ecológica en auge

Bahia Cosmetics comenzó su andadura con dos empleados y un pequeño taller en un laboratorio certificado.

El laboratorio proporciona las materias primas y Bahia Cosmetics añade sus aceites vegetales y esenciales, elaborados a partir de argán importado de Marruecos y de aceitunas y semillas de higo chumbo cultivadas en Túnez.

Túnez es el primer país del mundo en estandarizar el aceite de semillas de higo chumbo y establecer sus especificaciones técnicas, sus criterios de calidad y su composición.

En cuanto al aceite de oliva, Túnez es el cuarto productor mundial después de España, Italia y Grecia, y produjo unas 350.000 toneladas en la campaña 2019/2020.

El marido de Bouchra es agricultor, y juntos cultivan higos, olivos, lentisco y romero en tierras para producción orgánica certificada de la región de Kairuán, sin pesticidas ni insecticidas.

Para cosechar el romero y la almáciga, la resina del lentisco, la empresa emplea a mujeres locales. Esto le permite mantener las tradiciones a la vez que empodera a las mujeres con puestos de trabajo.

Además, Bouchra pertenece a un grupo de mujeres emprendedoras que trabajan para comerciar a través del Mercado Común para África Oriental y Meridional. Conocido como COMESA, el bloque comercial incluye a 21 países, entre ellos la vecina Libia y el cercano Egipto.

Cosmética tunecina

En 2018, Bahia Cosmetics creció y contrató a cinco técnicos de laboratorio y dos agentes de ventas. La empresa dispone de una sala de exposiciones en Kairuán, una ciudad en el desierto del interior del país, así como un punto de venta en la capital, y abastece directamente a varias farmacias.

El sector tunecino de la perfumería y la cosmética podría crecer mucho más si se aprovechara más el potencial agrícola y humano del país. La industria está formada principalmente por empresas pequeñas y dinámicas con una excelente capacidad de innovación.

Sin embargo, el sector se ve obstaculizado por el sistema fiscal nacional y otras barreras.

El futuro

Bouchra recibió formación del Centro de Comercio Internacional (ITC), en el marco del Proyecto de comercio electrónico para mujeres emprendedoras en Túnez.

«Siempre buscamos mejorar nuestras habilidades. Para nosotros, entrar en el programa del ITC es una gran oportunidad para mejorar nuestros conocimientos y habilidades en marketing digital», afirmó.

«Gracias al programa del ITC, hemos podido desarrollar nuestro propio sitio de comercio electrónico. Ahora podemos vender más productos, nuestra producción ha aumentado y nuestros empleados están muy contentos por tener más ingresos».

La formación también incluyó secciones específicas sobre la creación de planes de negocio, el desarrollo de contenidos y fotografía profesional.

Tras la formación, Bouchra se unió a Little Jenaina e ILEY'COM, dos mercados digitales tunecinos, y contrató a un gestor de comunidades.

Con sus nuevos conocimientos de marketing digital y sus excelentes productos, Bouchra se siente ahora preparada para conquistar los mercados regionales e internacionales.

«Pronto me gustaría abrir una sucursal en Marruecos, por su gran potencial de compra, y luego expandirme a los mercados de los países del Golfo», afirmó.

Para poder entrar en los mercados de los países del Golfo, planea revisar su estrategia de marca para atraer al mercado de lujo.

El Proyecto de comercio electrónico para mujeres emprendedoras en Túnez del Centro de Comercio Internacional aspira a aumentar las exportaciones de las pequeñas empresas dirigidas por mujeres a través de los mercados digitales, un nuevo canal que ofrece oportunidades empresariales innovadoras. El objetivo es crear nuevos empleos para las mujeres y garantizar un desarrollo social y económico más inclusivo y sostenible.

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Emma Begag, Centro de Comercio Internacional
Nouveau rapport sur le commerce : Améliorer la sécurité alimentaire dans les pays les moins avancés
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(Doha/Genève/New York) Le commerce peut contribuer à rendre les denrées alimentaires plus accessibles et plus abordables dans les pays les moins avancés (PMA), où plus de 60 % des personnes sont confrontées à l'insécurité alimentaire – deux fois plus que dans les pays en développement, et six fois plus que dans les pays développés.

Dans le contexte actuel d'instabilités mondiales croissantes, un nouveau rapport du Centre du commerce international (ITC) et de la principale agence des Nations Unies au service des pays les plus vulnérables, dont les PMA, met en évidence les options de politique commerciale qui permettraient d’appuyer ces pays dans leurs efforts de développement durable, un développement mené par le commerce et résilient face aux crises.

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l’ITC, et Rabab Fatima, Haute-Représentante du Bureau pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, ont annoncé aujourd’hui le lancement d’une publication intitulée Rapport sur le commerce des PMA 2023 : Améliorer la sécurité alimentaire (pour le moment en langue anglaise uniquement). Cette annonce intervient à l’occasion de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5) – une conférence qui se tient tous les dix ans, et dont l’édition 2023 est organisée à Doha, au Qatar.

Pour Mme Coke-Hamilton, « Les pays les moins avancés dépendent toujours d’exportations principalement constituées de produits de base, presque deux fois plus que les autres pays en développement. Il en résulte qu’ils demeurent plus vulnérables aux instabilités mondiales. En tant que communauté mondiale, il est de notre devoir de faire plus, et de faire mieux. Ce rapport élaboré conjointement avec le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés met en lumière les actions politiques concrètes que nous pouvons mener et qui feront la différence pour eux. »

De son côté, Mme Fatima a expliqué que « La vulnérabilité des pays les moins avancés aux chocs externes affecte les ménages pauvres, en particulier dans les zones rurales, ce qui les place en situation d’insécurité alimentaire. Cette situation a également un impact sur la paix et la sécurité mondiales. Le rapport dont nous annonçons aujourd’hui la publication met en lumière le rôle crucial que le commerce peut jouer dans le renforcement de la sécurité alimentaire. »

Le rapport met en avant deux grands volets de politiques commerciales susceptibles d'aider les pays les moins avancés à renforcer leur résilience : l'amélioration de l'accès aux marchés pour les importations alimentaires, et l'exploitation de sources alternatives d'approvisionnement alimentaire.

 

Améliorer l'accès aux marchés pour assurer la sécurité alimentaire
 

Les pays les moins avancés imposent actuellement un droit de douane de 17 % sur les importations alimentaires, tandis que les pays en développement et les pays développés ne prélèvent respectivement que 15 % et 8 %.

Les enquêtes de l'ITC menées entre 2010 et 2022 dans 17 pays parmi les moins avancés montrent que les obstacles réglementaires et procéduraux peuvent compliquer les importations alimentaires. Plus de la moitié (57 %) de tous les importateurs de produits alimentaires interrogés dans les PMA ont déclaré être affectés par des mesures non tarifaires, contre respectivement 34 % et 11 % dans les pays en développement et développés.

Dans les PMA, les difficultés auxquelles sont confrontés les importateurs de produits alimentaires sont liées aux évaluations douanières, aux surtaxes douanières et aux frais de manutention ou de stockage des marchandises. Les importateurs de PMA tels que la République-Unie de Tanzanie, l'Éthiopie et le Bangladesh rapportent que leurs plus grandes difficultés sont liées aux procédures qu'ils doivent suivre pour se conformer aux réglementations, plutôt qu'aux réglementations elles-mêmes. La résolution de ces difficultés permettra de réduire les retards et les coûts, et surtout aidera à acheminer plus rapidement les articles essentiels là où ils sont le plus nécessaires.

Les initiatives d'intégration régionale, telles que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), jouent un rôle primordial pour exonérer le commerce intrarégional de droits de douane, harmoniser les réglementations et rationaliser les procédures.

 

Exploiter de nouvelles sources d'approvisionnement alimentaire

 

En moyenne, les PMA importent leurs denrées alimentaires de 77 fournisseurs distincts. Les pays en développement et les pays développés comptent pour leur part respectivement 117 et 163 partenaires pour leur approvisionnement alimentaire. Pour certains produits essentiels, tels que le riz ou les huiles végétales, près des quatre cinquièmes des importations totales des PMA sont concentrées par seulement un fournisseur, parfois deux.

Les politiques visant à améliorer les liens entre le commerce et la sécurité alimentaire doivent donc se concentrer sur des facteurs tels que la diversification des fournisseurs et le renforcement des chaînes de valeur agroalimentaires régionales, ce qui permettrait aux PME d'accroître leur résilience face aux instabilités mondiales.
 

Renforcer le commerce des PMA grâce à des partenariats mondiaux
 

Les procédures d'importation défavorables, la dépendance à l'égard d'une poignée de fournisseurs et l'absence de chaînes de valeur régionales ne sont que les aspects d'un problème plus large : les pays les moins avancés ne représentent qu'environ 1 % du commerce mondial, malgré l'objectif de doubler leur part dans les exportations mondiales d'ici à 2020.

Le commerce, lorsqu'il est bien géré, peut être un outil efficace pour s'attaquer aux causes profondes des obstacles qui freinent les pays les moins avancés. Les investissements dans le renforcement des capacités des petites entreprises – qui représentent 95 % des emplois dans les PMA – à vendre sur les marchés régionaux et internationaux peut stimuler un développement mené par le commerce.

Le commerce joue donc un rôle essentiel pour les PMA, comme le souligne le Programme d'action de Doha. Ce Programme est conçu pour aider les PMA à trouver la voie qui leur permettra d'atteindre les objectifs de développement durable.

Le rapport conjoint lancé aujourd'hui est accompagné d'un site internet gratuit, le LDC Trade Tracker, qui permet de suivre les tendances et les modèles plus larges du commerce des PMA grâce à des graphiques interactifs et téléchargeables. Pour de plus amples informations sur le rapport, consultez la page internet ITC@LDC5.

 

 

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre des objectifs de développement durable des Nations Unies. Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

À propos du Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement – Le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement a été créé en 2001 pour appuyer 91 États membres vulnérables. Les 46 pays les moins avancés (PMA), les 32 pays en développement sans littoral (PDSL) et les 38 petits États insulaires en développement (PEID) sont confrontés à des défis qui leur sont propres pour atteindre le développement durable et les objectifs convenus au niveau international. Dirigé par la Haute Représentante, le Bureau mobilise l'appui international et plaide en faveur de ces trois groupes de pays vulnérables. Il s'efforce de sensibiliser au potentiel économique, social et environnemental qui existe dans ces pays et veille à ce que les besoins pressants des 1,1 milliard de personnes qui y vivent demeurent en tête de l'agenda international.

 

Contacts médias

Susanna Pak
Chargée des communications stratégiques
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Responsable du plaidoyer et de la sensibilisation
Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement
Courriel : conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
Tél. : +1 917 328 8316

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Nuevo informe comercial: Mejorar la seguridad alimentaria en los países menos adelantados
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(Doha/Ginebra/Nueva York) El comercio puede aumentar la disponibilidad y asequibilidad de los alimentos en los países menos adelantados (PMA), donde más del 60 % de la población se enfrenta a la inseguridad alimentaria, el doble que en los países en desarrollo y seis veces más que en los países desarrollados.

En un contexto de creciente inestabilidad mundial, un nuevo informe del Centro de Comercio Internacional (ITC) y de la principal agencia de las Naciones Unidas de apoyo a los países menos adelantados destaca las opciones de política comercial para ayudarles a trabajar hacia un desarrollo sostenible impulsado por el comercio, frente a las crisis.

La Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, y Rabab Fatima, Alta Representante para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo Sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (ONU-OARPPP), presentaron en Doha, Qatar, el informe LDC Trade Report 2023: Improving Food Security hoy durante la 5ª Conferencia de las Naciones Unidas sobre los Países Menos Adelantados (LDC5), una conferencia que se celebra una vez cada diez años.

La Sra. Coke-Hamilton declaró: «Los países menos adelantados siguen dependiendo de las exportaciones de productos básicos casi el doble que otros países en desarrollo, y siguen siendo más vulnerables a las inestabilidades mundiales. Como comunidad mundial, tenemos que hacer más, y tenemos que hacerlo mejor. Este informe conjunto con la OARPPP destaca las acciones políticas concretas que podemos poner en marcha para cambiar su situación».

La Sra. Fátima añadió: «La vulnerabilidad de los países menos adelantados a los impactos externos afecta a los hogares pobres, especialmente en las zonas rurales, y provoca inseguridad alimentaria. Esto repercute en última instancia en la paz y la seguridad mundiales. El informe que estamos aquí presentando arroja luz sobre el papel crucial que puede desempeñar el comercio en el fortalecimiento de la seguridad alimentaria».

El informe destaca los siguientes dos grupos principales de políticas comerciales para ayudar a los países menos adelantados a reforzar su capacidad de resiliencia: mejorar el acceso a los mercados de importación de alimentos y aprovechar fuentes alternativas de suministro de alimentos.

Mejorar el acceso a los mercados para la seguridad alimentaria

 

Los países menos adelantados imponen actualmente un arancel del 17% a las importaciones de alimentos, mientras que los países en desarrollo y desarrollados gravan con un 15% y un 8%, respectivamente.

Las encuestas realizadas por el ITC en 17 países menos adelantados entre 2010 y 2022 muestran que los obstáculos normativos y de procedimiento pueden complicar las importaciones de alimentos. Más de la mitad (57 %) de todos los importadores de alimentos entrevistados en los PMA declararon verse afectados por las medidas no arancelarias, frente al 34 % y el 11 % en los países en desarrollo y desarrollados, respectivamente.

Los importadores de alimentos de los PMA se enfrentan a retos relacionados con las valoraciones aduaneras, los recargos aduaneros y las tasas de manipulación o almacenamiento de mercancías. Las empresas importadoras de los PMA en países como la República Unida de Tanzanía, Etiopía y Bangladesh informaron de que sus mayores dificultades estaban relacionadas con los procedimientos que deben seguir para cumplir la normativa, más que con la normativa en sí. Afrontar estos retos reducirá los retrasos y los costes y ayudará a canalizar rápidamente los artículos esenciales hacia donde más se necesitan.

Las iniciativas de integración como la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) tienen un importante papel que desempeñar para que el comercio intrarregional esté libre de impuestos, se armonicen las normativas y se agilicen los procedimientos. 

 

Explorar nuevas fuentes de suministro de alimentos

 

Mientras que de media los PMA importan alimentos de 77 proveedores distintos, los países en desarrollo y desarrollados se abastecen de 117 y 163. En el caso de determinados productos, como el arroz o los aceites vegetales, casi cuatro quintas partes del total de las importaciones de los PMA proceden de uno o dos únicos proveedores.

Las políticas destinadas a mejorar los vínculos entre el comercio y la seguridad alimentaria tendrían en cuenta factores como la diversificación de proveedores y el fortalecimiento de las cadenas de valor agroalimentarias regionales para aumentar la resiliencia ante las inestabilidades mundiales.

 

Reforzar el comercio de los PMA mediante asociaciones mundiales

 

Los procedimientos de importación desfavorables, la dependencia de unos pocos proveedores y la falta de cadenas de valor regionales forman parte de un problema más amplio: los países menos adelantados sólo representan alrededor del 1 % del comercio mundial, a pesar del objetivo de duplicar su cuota de exportaciones mundiales para 2020.

El comercio, si se gestiona bien, puede ser una herramienta para abordar las causas profundas de los obstáculos que frenan a los países menos adelantados. Invertir en el desarrollo de la capacidad de las pequeñas empresas, que representan el 95 % de los empleos en los PMA, para vender en los mercados regionales e internacionales puede impulsar el desarrollo impulsado por el comercio.

El comercio desempeña un papel clave para los PMA, como se destaca en el Programa de Acción de Doha. El Programa de Acción de Doha está diseñado para ayudar a los PMA a volver a la senda de la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible.

Este informe conjunto va acompañado de un sitio web gratuito, el LDC Trade Tracker, que permite el seguimiento de las tendencias y patrones más amplios del comercio de los PMA a través de gráficos interactivos y descargables. Si desea más información sobre el informe, visite la página web del ITC en la LDC5.

 

Acerca del Centro de Comercio Internacional: El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las microempresas y a las pequeñas y medianas empresas radicadas en los países en desarrollo para que sean más competitivas en los mercados mundiales, y contribuye así a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas. Para más información, visite www.intracen.org. Siga al ITC en Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

Acerca de la Oficina del Alto Representante de las Naciones Unidas para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo - La OARPPP se creó en 2001 y presta servicio a 91 Estados miembros vulnerables. Los 46 Países Menos Adelantados (PMA), los 32 Países en Desarrollo sin Litoral (PDSL) y los 38 Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (PEID) se enfrentan a sus propios retos para alcanzar el desarrollo sostenible y los objetivos acordados por la comunidad internacional. Dirigida por la Alta Representante, la UN-OARPPP moviliza el apoyo internacional y aboga en favor de los tres grupos de países vulnerables. La oficina trabaja para concienciar sobre el potencial económico, social y medioambiental que existe en estos países y garantizar que las acuciantes necesidades de los 1100 millones de personas que viven en ellos, sigan ocupando un lugar destacado en la agenda internacional.

 

Contactos para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
ITC
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Teléfono: +41 22 730 0651
Teléfono celular: +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Jefe de Promoción y Divulgación
UN-OARPPP
E: conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
T: +1 917 328 8316

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Fabriqué par l’Afrique : 94 chaînes de valeur pour stimuler le commerce intra-africain
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Un nouveau rapport de l’ITC montre que parmi les 94 chaînes de valeur réalisables identifiées en Afrique, les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile sont prioritaires pour stimuler le commerce intrarégional et créer des emplois pour les femmes et les jeunes.

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(Niamey/Genève) Des investissements dans les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile vont permettre de répondre aux objectifs de l’Afrique d'améliorer la sécurité alimentaire, la santé et les compétences technologiques, et donner un coup de fouet au commerce dans le cadre du marché de 2 500 milliards d'euros de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

C’est en substance le message d’un nouveau rapport intitulé Fabriqué par l'Afrique : Créer de la valeur par l'intégration, publié aujourd'hui à l’occasion du Sommet de l’Union africaine sur l’industrialisation et la diversification économique qui se tient à Niamey, au Niger. Le rapport est produit par le Centre du commerce international (ITC), en étroite collaboration avec la Commission de l'Union africaine et la Commission européenne.

Le rapport identifie 94 chaînes de valeur à fort potentiel pour le développement durable, chaque chaîne de valeur étant reliée à au moins cinq pays africains de différentes régions. En creusant davantage, quatre secteurs apparaissent comme particulièrement prometteurs, y compris pour les petites entreprises qui représentent 90 % des entreprises dans le monde génèrent plus de la moitié des emplois : les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile.

  • Les produits pharmaceutiques sont un secteur essentiel, en particulier au sortir de la pandémie, pour améliorer la santé et réduire les importations.
  • Face aux perturbations actuelles des chaînes d’approvisionnement mondiales, les aliments pour nourrissons, en s'appuyant sur le secteur agricole, vont contribuer à une sécurité alimentaire pérenne et une nutrition saine et durable.
  • Dans les pays les moins avancés d’Afrique, les vêtements en coton offrent à des millions de personnes la possibilité de trouver un emploi grâce à l'intégration de cette chaîne de valeur.
  • Le secteur automobile présente un fort potentiel de croissance du commerce intrarégional. Il offre en outre la possibilité de nouer des liens avec d'autres chaînes de valeur, telles que le cuir et les machines électriques, ainsi qu'avec des multinationales étrangères cherchant à investir.

Les entreprises, les organisations d'appui aux entreprises et les experts sectoriels en Afrique ont confirmé – à travers des milliers d'entretiens et de consultations – que ces secteurs sont propices à la croissance intrarégionale, et que leur transformation est déjà en cours.

En effet, dans les quatre chaînes de valeur sélectionnées, 77 % des entreprises interrogées écologisent déjà leurs processus de production, de la réduction de la consommation d'énergie et d'eau au recyclage des déchets, en passant par des investissements dans des emballages recyclables ou biodégradables et le développement de modèles commerciaux circulaires, comme la production de vêtements de haute qualité à partir de déchets de tissus et de vêtements d'occasion inutilisables.

Investir en Afrique, par l'Afrique
 

Les données de l'ITC montrent que le potentiel de croissance des exportations intra-africaines s'élève à 22 milliards de dollars.

Si les opportunités sont grandes, la nécessité d'agir l'est tout autant. L'empreinte de l'Afrique sur le marché international est encore faible, puisqu'elle ne représente que 2,3 % des exportations mondiales, avec un panier d'exportation essentiellement constitué de produits primaires et de ressources naturelles. Seuls 14 % des exportations du continent sont destinées à d'autres pays africains, et une grande partie de ce commerce concerne des produits transformés. Ce qui peut surprendre, c'est que le commerce intra-africain est plus diversifié et technologiquement plus avancé que le commerce de l'Afrique avec le reste du monde.

Le renforcement du commerce régional va permettre de renforcer la résilience et stimuler une industrialisation durable – ce qui ultimement contribuera à la création d'emplois et à l'amélioration des moyens de subsistance sur le continent.

En résumé, l'investissement dans la diversification et le renforcement des chaînes de valeur régionales, sous les auspices de l’accord de libre-échange continental, est essentiel pour libérer tout le potentiel économique et de développement de l'Afrique.
 

 

À propos du diagnostic des chaînes de valeur de l'ITC. Mandaté par l'Union africaine et la Direction générale des partenariats internationaux de la Commission européenne, l’ITC a mené un diagnostic des chaînes de valeur pour identifier les secteurs à fort potentiel pour le développement de chaînes de valeur durables et les goulets d'étranglement qui empêchent les entreprises de réaliser pleinement ce potentiel. De plus amples informations sur la méthodologie et le contexte sont disponible sur la page www.ntmsurvey.org/MadeByAfrica.

A propos du Centre du commerce international. Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

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Contact média

Susanna Pak
Responsable principale des communications stratégiques
Centre du commerce international (ITC)
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) ou press [at] intracen.org (press[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

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Stimuler le commerce du textile à travers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
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Les outils en ligne peuvent aider les pays de l'Accord d'Agadir à développer leurs entreprises de textile et d'habillement, tout en améliorant la coopération dans la région.

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Une meilleure coopération dans le secteur du textile et de l'habillement peut aider l'Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie à exploiter de nouvelles opportunités commerciales. À cette fin, ces pays doivent œuvrer de concert pour lever les barrières commerciales, sur la base de données fiables pour éclairer leurs décisions.

En marge de la foire internationale Destination Africa, le plus grand salon du textile et de l'habillement du continent, le Centre du commerce international (ITC) a réuni des représentants gouvernementaux et du secteur, ainsi que des institutions d'appui aux entreprises des quatre pays. Au cours de l'atelier d'une journée qui s'est tenu le 21 novembre au Caire, l'ITC a présenté les résultats préliminaires d'une enquête commerciale menée par son équipe Trade Market Intelligence. Cette enquête visait à identifier les mesures qui permettront d'assouplir les restrictions et de stimuler le commerce afin de développer les opportunités commerciales et de renforcer la coopération entre les pays signataires de l'Accord arabo-méditerranéen de libre-échange d'Agadir.

L'atelier a été organisé dans le cadre du Programme mondial pour le textile et l'habillement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (GTEX/MENATEX) de l'ITC. L'objectif était d'explorer les moyens de promouvoir l'Afrique du Nord en tant que fournisseur mondial de vêtements et de textiles.

Les réunions régionales comme celle-ci sont l'occasion de partager les connaissances au sein du secteur, d'identifier de meilleurs liens en matière d'approvisionnement et de marché, et de promouvoir collectivement l'Accord d'Agadir auprès des pays non-membres.

L'atelier a été l'occasion de montrer la manière d'identifier les opportunités commerciales intra-régionales en utilisant les outils d'analyse des marchés de l'ITC ainsi que le bureau d'assistance commerciale d'Euromed. Ce dernier fournit des informations sur le commerce pour 10 pays méditerranéens et les 27 États membres de l'Union européenne.

La formation a permis aux participants de s'inscrire sur la plateforme d'Euromed, d'apprendre grâce à des démonstrations et des exercices en direct, et de comprendre comment utiliser la dernière version de l'outil en ligne.

« La démonstration en direct du bureau d'assistance commerciale d'Euromed a montré qu'il était possible d'obtenir des informations commerciales précieuses pouvant aider à améliorer la transparence dans la région », a déclaré Mohamed Tared Issa, un responsable de l'ITC chargé de recherches sur les barrières commerciales.

« Ce fut un réel plaisir de présenter les résultats préliminaires de l'enquête de l'ITC sur les obstacles au commerce dans les pays de l'Accord d'Agadir », a-t-il poursuivit. « La formation d'une journée a favorisé des discussions animées sur la manière de surmonter les défis identifiés qui entravent l'intégration régionale ».

Ihab Qadri, le nouveau directeur du Syndicat du textile et de l'habillement de Jordanie, a expliqué avoir profité de l'atelier pour nouer des liens avec des pairs de la région, ce qui lui a permis de mieux comprendre comment coopérer plus efficacement avec chaque pays.

Les discussions ont également permis de révéler le potentiel inexploité des liens entre les marchés régionaux et des échanges commerciaux, ainsi que de l'échange de connaissances techniques.

Le programme de l'ITC a facilité la mise en relation du Centre égyptien de la mode et du design (FDC) avec le Centre jordanien de création de vêtements et de services de formation (GSC). Les deux organismes ont ainsi pu explorer les possibilités de collaboration, et une mission commerciale jordanienne s'est rendue en Égypte pour tisser des liens entre les petites entreprises des deux pays.

À propos du programme

 

Le Programme mondial pour le textile et l'habillement (GTEX) appuie les petites entreprises et les organisations d'appui aux entreprises travaillant dans l'industrie du textile et de l'habillement dans les pays en développement afin d'accroître leur compétitivité à l'exportation.

Le programme GTEX est financé par le Secrétariat d'État à l'économie (SECO) de la Confédération suisse et se concentre sur cinq pays prioritaires (Égypte, Maroc, Kirghizistan, Tadjikistan et Tunisie).

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