Publications

Les publications de l'ITC sont centrées sur le secteur privé des pays en développement dont elles font entendre la voix en faveur d’un commerce durable. Nous offrons des conseils aux responsables des politiques commerciales, aux organisations d’appui aux entreprises et aux petites entreprises. Nos rapports présentent des perspectives qui permettront de rendre le commerce plus inclusif, plus vert, numérique et compétitif.

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Les entreprises africaines apprennent à exploiter la ZLECAf
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La Zone de libre-échange continentale africaine offre un meilleur accès aux marchés régionaux. De nouveaux ateliers de l'ITC expliquent aux entreprises africaines comment elles peuvent y accéder.

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Les entreprises africaines qui cherchent à exporter au sein de la nouvelle Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) se posent probablement de nombreuses questions. Une nouvelle série d'ateliers organisés dans cinq pays entre septembre et décembre 2022 a permis d’expliquer la manière dont elles peuvent naviguer dans le nouvel environnement commercial et identifier les marchés du continent les plus pertinents.

Organisés par l'Académie du commerce pour les PME, la section de l'ITC chargée des solutions d'apprentissage, ces ateliers ont été élaborés en partenariat avec Afreximbank et mis en œuvre avec des partenaires locaux, à savoir :

  • Le Département du commerce, de l'industrie et de la concurrence (DTIC, Afrique du Sud) ;
  • L'Agence du réseau commercial du Kenya (KenTrade) ;
  • L'Association marocaine des Exportateurs (ASMEX, Maroc) ;
  • Le Centre tunisien de promotion des exportations (CEPEX, Tunisie) ; et
  • Le Centre égyptien de formation au commerce extérieur (FTTC, Égypte).


Les sessions ont été conçues pour être interactives et fournir aux participants des connaissances pratiques, notamment :

  • Identifier les opportunités de marché en Afrique ;
  • Se préparer pour être prêt à exporter ;
  • Comprendre les documents requis pour exporter et la manière de les utiliser ;
  • Sélectionner un ou plusieurs marchés africains présentant des opportunités viables pour ses produits ;
  • Choisir entre différentes options pour pénétrer le ou les marchés sélectionnés ; et
  • Identifier les différentes options de financement du commerce disponibles pour l'entreprise.

En outre, les ateliers ont été élaborés en utilisant le nouveau concept d'atelier technologiquement amélioré de l'Académie du commerce pour les PME : la méthodologie d'atelier numérique. De fait, les ateliers comprennent à présent des présentations digitales interactives, des vidéos, des exercices, des guides pour les formateurs, des cahiers d'exercices pour les apprenants, ainsi que des documents en ligne pour faciliter l'organisation et le déroulement des ateliers sur le plan administratif.

Dans le cadre du programme de formation intitulé « Exporter au sein de la ZLECAf », chacun de ces ateliers doit comprendre un module de formation des formateurs. Ainsi, un total de 102 formateurs locaux ont appris à mener eux-mêmes ces sessions en utilisant la méthodologie d'atelier numérique. Non seulement les partenaires locaux ont ainsi pu pleinement s'approprier le contenu de la formation, mais cette stratégie a également permis d'étendre les sessions de formation au-delà des cinq villes initialement sélectionnées, à savoir Johannesburg, Nairobi, Casablanca, Le Caire et Tunis.

Chaque atelier s'est déroulé sur quatre jours. Au cours des deux premiers jours, les nouveaux formateurs se sont familiarisés avec la méthodologie de l'atelier numérique, ainsi qu'avec la façon d'animer et de planifier leur session. À cette fin, ils avaient accès aux ressources disponibles sur la plateforme de formation en ligne Exporter au sein de la ZLECAf (à ce jour, en version anglaise uniquement). Au cours des deux jours suivants, les formateurs ont mis en pratique leurs nouvelles connaissances en animant de véritables sessions, pour le bénéfice de participants invités, pour la plupart des petites et moyennes entreprises (PME) locales. Ainsi, quelque 142 PME ont d'emblée pu être formées.

Les ateliers ont été dirigés et supervisés par les maîtres formateurs et experts techniques Guillaume Lamothe, Ilyas Choubaili, Rania Habib et Dorothy Tuma, avec l'appui de la coordinatrice du programme de formation Dorina Dobre.

« Le but de l'atelier était, d'une part, de former un premier lot de PME, et d'autre part, d'équiper les futurs formateurs des moyens adéquats de dispenser le contenu », a déclaré Mme Dobre. « La présence de l''ITC se poursuivra pour faciliter l'accès des participants à la formation en ligne et pour aider les formateurs à renforcer leur capacité d'animation. »

À propos du programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf

Le programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf est le résultat d'un partenariat entre l'ITC et Afreximbank. Il combine des éléments en ligne et hors ligne pour enseigner aux exportateurs africains actuels et potentiels les principes fondamentaux du commerce intra-africain. Il les accompagne également dans l'exploration des opportunités générées par la ZLECAf.

À propos de l'Académie du commerce pour les PME de l'ITC

L'Académie du commerce pour les PME est la section qui rassemble les solutions de formation de l'ITC. Cette plateforme publique d'apprentissage, unique en son genre, propose plus de 100 cours en ligne gratuits sur une grande variété de sujets liés au commerce. Disponible à la fois en français, en anglais, en espagnol et en arabe, elle compte plus de 100 000 inscriptions par an, provenant de plus de 190 pays. En outre, elle fournit une variété de solutions d'apprentissage clés en main en appui aux projets d'assistance technique liés au commerce de l'ITC. L'éventail de ces solutions s'étend des produits entièrement en ligne, tels que les cours d'apprentissage en ligne, les espaces d'apprentissage virtuels et les ateliers virtuels, jusqu'aux formations individuelles grâce aux outils technologiques, telles que les ateliers numériques et à support numérique.

À propos de One Trade Africa

L'objectif du programme One Trade Africa est d'autonomiser les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), les femmes et les jeunes entrepreneurs africains, d'améliorer leurs opérations, et de leur permettre d'accéder aux nouvelles opportunités commerciales transformatrices amenées par l'instauration de la ZLECAf. À cette fin, le programme adopte un modèle de prestation à trois volets, pour aider les MPME africaines à être compétitives, à se relier et à évoluer, et ce selon trois niveaux, de l'entreprise, de l'écosystème commercial et des politiques. L'ITC offre aux MPME africaines des formations, des conseils et un accompagnement afin de renforcer leurs capacités, de les aider à pénétrer de nouveaux marchés plus lucratifs, ce qui ultimement permettra de créer des emplois.

Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Hossam Mostafa
Ultrakem
Égypte
Égypte
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Chokri Selmi
Société d'élevage
Tunisie
Tunisie
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Chepkirui Rose
Département d'État pour le développement du commerce et des entreprises
Kenya
Kenya
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Karim el Haoud
Programme suisse de promotion des importations (SIPPO)
Maroc
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ITC Actualités
Le travail d'équipe est aussi un travail de rêve
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Lier la technologie à l'agriculture : un projet pilote de l'ITC montre à quoi ressemble une collaboration réussie. Un récit rapporté du Ghana.

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Un agriculteur, un fondateur d'une entreprise fintech et un spécialiste des centres d'appels entrent dans un bar... Cela ressemble au début d'une blague, mais en août 2022, c'est exactement ce qui s'est passé dans la région nord-ouest du Ghana.

Dans le cadre du programme Netherlands Trust Fund V mené par le Centre du commerce international (ITC), plusieurs représentants de start-up et d'entreprises informatiques « sont entrés dans un bar » pour déjeuner avec des agriculteurs lors d'une excursion de trois jours dans un district où abondent les exploitations de cacao.

Le cacao du Ghana et de la Côte d'Ivoire représente 70 % de l'approvisionnement mondial en cacao brut utilisé dans la fabrication de produits en chocolat. Afin de stimuler le secteur par l'ajout de valeur à la chaîne d'approvisionnement du cacao, l'ITC explore des manières innovantes de mettre à profit la technologie dans une industrie typiquement non technologique. Cet objectif requiert un effort délibéré et concerté, qui passe par l'alignement des visions, l'adhésion des parties prenantes, et une communication assidue entre les acteurs des deux secteurs.

C'est à cet objectif que s'est employé l'ITC lors de ce premier voyage. La rencontre entre deux équipes, l'une représentant le secteur technologique (que je menais) et une autre constituée de représentants du secteur agroalimentaire, a permis d'initier l'alignement et le rapprochement de ces deux secteurs, en vue de profiter aux entreprises que nous cherchons à appuyer.

L'ITC appuie les services basés sur la technologie, notamment les systèmes de paiement (comme Paybox Global) ou les plateformes de crowdfunding en ligne (comme Grow For Me), qui permettent d'améliorer la chaîne de valeur agricole. Ces solutions sont une aide précieuse pour les différents acteurs de la chaîne de valeur agricole, des agriculteurs aux différents intermédiaires, et permettent au passage de renforcer les services à valeur ajoutée.

Cacao fabriqué au Ghana
De retour d'une visite de trois exploitations de cacao : les directeurs des entreprises d'externalisation des processus commerciaux, Hatua Technology et Eitsec Ghana, et le directeur de TroTro Tractor, une start-up agritech (au premier plan)

Établir des bases communes

Au cours de ce voyage axé sur l'association de la technologie et de l'agriculture, Larry Attipoe, Coordinateur du programme Alliances pour l'action de l'ITC en faveur d'un secteur agroalimentaire inclusif au Ghana, a relevé les avantages que la technologie peut apporter à l'agriculture, comme par exemple la possibilité pour les jeunes agriculteurs de contrôler leur système d'irrigation depuis leur téléphone mobile. De mon côté, même si mon rôle consiste à coordonner le pôle technologique de ce projet au niveau national, j'ai pu apporter une solide compréhension du volet agricole en raison de l'activité de ma famille et de mes amis dans ce secteur. Cette compréhension et ces intérêts communs ont facilité l'alignement des visions pour assurer le succès de ce nouveau projet.

Participant également au voyage, des fondateurs d'entreprises technologiques basés à Accra ont pu non seulement déguster des barres de chocolat mais aussi assister à plusieurs étapes du processus de fabrication du chocolat. Ainsi, grâce à la visite d'une ferme et aux discussions avec son exploitant, à la rencontre avec la plus grande association de cultivateurs de cacao (KKFU), et à la visite d'une usine de fabrication de chocolat (Fairafric), ces experts en technologie ont pu retracer l'ensemble de la chaîne de valeur du chocolat.

À chaque étape, toutes les parties prenantes concernées ont pris le temps de se réunir autour d'une table, et se sont concertées pour identifier les défis et les opportunités, et déterminer les plans futurs. Parmi les défis communs identifiés figuraient le manque de données, le besoin de centres d'appels et l'exigence de traçabilité. En entendant les besoins exacts exprimés par les différents participants (agriculteurs, gestionnaires d'entrepôt, dirigeants d'associations, responsables d'usine), les représentants des start-up technologiques ont évoqué les solutions existantes et réfléchi à d'autres solutions plus innovantes.

Pour aider à développer des solutions numériques qui répondent concrètement aux besoins des acteurs de la chaîne de valeur du cacao, le projet s'appuie sur l'approche mise en œuvre.par le programme Alliances pour l'action de l'ITC. Ce modèle agroalimentaire durable fonctionne de manière ascendante, transformant les systèmes alimentaires par le biais de partenariats éthiques et intelligents sur le plan climatique.

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La cohorte du voyage comprend les équipes du programme Netherlands Trust Fund V de l'ITC (en faveur des secteurs de la technologie et de l'agriculture), les représentants de start-up technologiques et d'entreprises d'externalisation des processus commerciaux, ainsi que de la société d'achat de cacao. Isaac, l'auteur de cet article, apparaît en bas à droite.

Une mission prometteuse

Toute collaboration exige de se dégager du temps, ce qui implique souvent des sacrifices et des efforts pour que cela fonctionne. Au Ghana, ce n'est pas différent, peut-être même plus difficile avec les embouteillages !

Malgré ces défis initiaux, les équipes sont restées en contact autant que possible, s'invitant mutuellement à des événements et maintenant un canal de communication étroit entre toutes les parties prenantes, y compris celles basées à Genève.

Grâce à cette nouvelle collaboration intersectorielle, nous verrons l'essor des services numériques dans le secteur agricole du Ghana, avec, par exemple, des solutions de paiement mobile pour éviter de se déplacer jusqu'à la ville la plus proche pour ce type d'opération bancaire, ou un service de location de tracteurs que l'on peut réserver depuis le confort de son domicile.

Ces services devraient conduire à des rendements plus élevés et à une meilleure qualité de vie pour ceux qui les utilisent. Tous, nous avons hâte d'exploiter plus amplement cette opportunité, et de poursuivre ce travail d'équipe pour concrétiser notre rêve commun.

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Isaac Newton Acquah, Centre du commerce international
Trabajo en equipo, trabajo de ensueño
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La vinculación de la tecnología a la agricultura en un proyecto piloto del ITC da sus frutos. Una historia de Ghana.

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Un agricultor, un fundador de una empresa de tecnología financiera y un especialista en centros de atención telefónica entran en un bar... esto podría parecer el comienzo de un chiste cualquiera, pero en agosto de 2022, esto es exactamente lo que ocurrió en la región noroeste de Ghana.

Como parte del programa del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V del ITC, varias empresas tecnológicas emergentes de subcontratación de procesos comerciales  «entraron en un bar» para almorzar con productores de cacao durante una visita de campo de tres días de duración a un distrito del país.

El cacao de Ghana y de Côte d'Ivoire representa el 70 % de la materia prima mundial necesaria para la elaboración del chocolate. El ITC está explorando la posible implantación de innovaciones tecnológicas en una industria típicamente no tecnológica con el objetivo de impulsar el sector por medio de la adición de valor a la cadena de suministro del cacao. Para que esto ocurra es necesario tener una visión común, la aceptación por parte de los participantes y una comunicación frecuente y fluida entre los dos sectores.

Y esto es precisamente lo que hizo el ITC en este primer viaje. Dos equipos del ITC, el del sector tecnológico que yo dirijo y el de agronegocios, se alinearon y unieron a estos dos sectores, con un resultado beneficioso para las empresas a las que apoyamos.

El ITC apoya la implantación de servicios basados en la tecnología en la cadena de valor agrícola entre los que se incluyen los sistemas de pago (por ejemplo, Paybox Global) o plataformas de micromecenazgo en línea (por ejemplo, Grow For Me).  Estas soluciones apoyan a los distintos participantes en la cadena de valor agrícola, desde el agricultor hasta los diversos intermediarios, y refuerzan los servicios de valor añadido en todo el camino.

Cacao de Ghana
Cacao de Ghana
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Volviendo del viaje a las tres explotaciones de cacao, los Consejeros Delegados de las empresas de subcontratación de procesos comerciales, Hatua Technology y Eitsec Ghana, y el Consejero Delegado de TroTro Tractor, una empresa emergente de agrotecnología (en primer plano)

Sentar bases comunes

Durante este viaje de encuentro entre la agricultura y la tecnología, Larry Attipoe, Coordinador del Programa de Agronegocios Inclusivos de Alianzas para la Acción del ITC en Ghana, compartió los beneficios que la tecnología puede aportar a la agricultura, como el hecho de que los jóvenes agricultores controlen sus sistemas de riego desde sus smartphones. Yo, el coordinador nacional de tecnología del proyecto, por otra parte, tenía un sólido conocimiento de la agricultura gracias a mi familia y amigos y este conocimiento e intereses comunes facilitaron la alineación de las visiones para este nuevo proyecto.

Durante el viaje, los empresarios no sólo disfrutaron de tabletas de chocolate, sino que también descubrieron las diferentes etapas del proceso de fabricación del chocolate. Desde la visita a una explotación agrícola y la interacción con los agricultores y con la mayor asociación de agricultores de cacao (KKFU) hasta la visita a una fábrica de chocolate (Fairafric), los expertos recorrieron toda la cadena de valor del chocolate.

En cada etapa, todas las partes interesadas se sentaron y analizaron los retos, las oportunidades y los planes futuros. Los retos comunes eran la falta de datos y de centros de atención telefónica y la trazabilidad. Al escuchar las necesidades exactas de las distintas partes interesadas (los agricultores, los almacenes, la asociación y la fábrica), las empresas tecnológicas emergentes tuvieron la oportunidad de pensar en soluciones existentes o innovadoras.

Para ayudar a desarrollar soluciones digitales que realmente se ajusten a las necesidades de los actores de la cadena de valor del cacao, el proyecto aprovecha el enfoque de Alianzas para la Acción del ITC. Este modelo de agronegocios sostenibles funciona de abajo arriba, y transforma los sistemas alimentarios por medio de la creación de asociaciones éticas y respetuosas con el medio ambiente.

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El grupo del viaje estaba formado por los equipos del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V (agro y tecnología) del ITC, los representantes de las empresas de subcontratación de procesos comerciales y la empresa de compra de cacao. Isaac, el autor de este artículo, está abajo a la derecha.

Una misión prometedora

Encontrar tiempo para colaborar y alcanzar el éxito a menudo implica sacrificio y desviarse del camino. En Ghana no es diferente, quizás incluso más difícil con los atascos.

A pesar de estos retos iniciales, los equipos se mantuvieron en contacto entre sí en la medida de lo posible, y se invitaron mutuamente a diversos eventos y mantuvieron un canal de comunicación estrecho entre todos, incluidos los equipos en Ginebra.

Gracias a esta nueva colaboración intersectorial, seremos testigos del auge de los servicios digitales como por ejemplo, las soluciones de pago por móvil, que ahorrarán a los agricultores los desplazamientos al banco más cercano de la ciudad, o el alquiler de tractores desde la comodidad del hogar.

Estos servicios deberían conducir a un aumento de los rendimientos y a una mejor calidad de vida para quienes los utilizan. Y esperamos seguir explotando esta oportunidad y colaborar en pos de este objetivo común.

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Isaac Newton Acquah, Centro de Comercio Internacional
El ITC lleva a varios chocolateros a la mayor feria mundial de alimentos ecológicos
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Los socios de Alianzas para la Acción del ITC acudieron a Biofach 2023 con el objetivo de construir ampliar su red mundial de cacao y chocolate. 

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Se prevé que el mercado de alimentos y bebidas ecológicos crezca un 13 % anual hasta 2030 y que el mercado del cacao ecológico en particular alcance los 942,6 millones de dólares de EE. UU. en 2028.  

Los consumidores tienen un conocimiento cada vez mayor sobre los beneficios para la salud de estos alimentos, mientras que los gobiernos en todo el mundo se centran en los productos que son buenos tanto para las personas como para el planeta.  

En febrero, 2765 expositores de 95 países presentaron gamas de productos en dos de las mayores ferias mundiales de productos ecológicos: Biofach, para la alimentación, y VIVANESS, para el cuidado personal. 

CLAC-Fairtrade, que también acudió a la feria, es una red de productores que apoya a los pequeños agricultores y procesadores de toda América Latina y el Caribe y que produce una variada gama de productos agrícolas con certificación Fairtrade.

«Biofach me ha proporcionado conocimientos fundamentales para ayudar a rediseñar una hoja de ruta comercial más sostenible para nuestras diversas pequeñas cooperativas azucareras de comercio justo en América Latina y el Caribe», declaró Gilbert Ramírez, uno de los representantes de la CLAC. 

Gilbert fue uno de los seis participantes que asistieron a la feria de comercio ecológico con la iniciativa Alianzas para la Acción del ITC, en el marco de sus programas ACP Business-Friendly y el Fondo Fiduciario de los Países Bajos V. Allí, presentaron su cacao y chocolates ecológicos, y perfeccionaron sus estrategias para crecer en este nicho de mercado. 

 

Acercar los orígenes del cacao a los consumidores 

La iniciativa Alianzas para la Acción del ITC seleccionó a miembros de su comunidad de productores para este evento y les orientó en su preparación para su asistencia a la feria. Su stand estaba dedicado al cacao, los productos semielaborados y el chocolate con certificación ecológica. Fairafric Ghana y Plot asistieron desde Ghana, mientras que Conacado y Cacao Florencio Ortega vinieron de la República Dominicana. 

CLAC-Fairtrade acudió en representación de las cooperativas de agricultores certificadas por Fairtrade. El stand se convirtió rápidamente en un punto de encuentro para los miembros del sistema de Comercio Justo, los compradores y la industria del cacao. 

El elemento diferenciador del stand fue la presencia de los propios productores, quienes compartieron sus puntos de vista personales. Los participantes en Biofach suelen ser muy partidarios del enfoque «del productor al consumidor» (o, en este caso, «del grano a la barra de chocolate»), por lo que poder preguntar a los productores y transformadores sobre sus prácticas y productos fue un gran incentivo. 

«Este programa nos ayuda a dirigir nuestros productos sostenibles al mercado internacional. En Biofach pudimos introducirnos en el mercado de productos ecológicos», afirmó Ignatius Amoah, de Plot, una procesadora de cacao de Ghana propiedad de una mujer. 

Las empresas participantes no se privaron de compartir detalles sobre su proceso: desde la fermentación del cacao para obtener un chocolate de alta calidad hasta el cacao en polvo alcalinizado, pasando por la transparencia de sus operaciones de certificación ecológica. Con ello, los visitantes del stand no quedaron decepcionados. 

Las degustaciones de chocolate de finos productos enviados directamente desde el Caribe y Ghana completaron la experiencia. 

 

La creación dinámica de redes de contacto da sus frutos 

Todos los presentes en el stand planearon con mucha antelación las reuniones in situ con sus compradores actuales, lo que siempre es una buena estrategia para fortalecer las relaciones.   

«Nos pareció un evento con un buen equilibrio entre el público en general y las partes interesadas del segmento del chocolate ecológico. Tuvimos la oportunidad de establecer nuevos contactos y celebrar reuniones con clientes que ya teníamos», afirmó Abel Fernández, de Conacado Agroindustrial, el mayor exportador de cacao ecológico de la República Dominicana. 

Establecer nuevos contactos con otros distribuidores y compradores fue la guinda del pastel.  

Fairafric Ghana, por su parte, ya goza de una buena visibilidad en Alemania. Biofach les permitió ampliar sus contactos en la UE y conectar con otros proveedores para mejorar sus productos. Una de las ideas con las que volvieron a casa es la posibilidad de usar el azúcar de coco para nuevas gamas de productos. 

Plot Ghana añadió más de 50 nuevos contactos comerciales a su base de datos, y la CLAC aprovechó al máximo el escenario de cara al consumidor para dar a conocer su red de productores y la importancia del comercio justo. 

Para algunos, fue una primera experiencia que marcó todo un hito. Cacao Florencio Ortega aprendió cómo establecer contactos y montar un stand de éxito, y consiguió nuevos compradores potenciales provenientes de Suecia, Italia y Bélgica. 

 

Sobre los proyectos 

El programa ACP Business-Friendly (programa de mejora del ambiente empresarial de la ACP) está financiado por la Unión Europea y la Organización de Estados de África, el Caribe y el Pacífico (OEACP) y puesto en marcha de forma conjunta por la iniciativa Alianzas para la Acción del ITC, el Banco Mundial y la ONUDI. Su objetivo es mejorar la capacidad de los agronegocios radicados en los países de África, el Caribe y el Pacífico para competir, crecer y prosperar en los mercados nacionales, regionales e internacionales. A través del enfoque de Alianzas para la Acción, el programa promueve la creación de cadenas de valor agrícolas inclusivas y sostenibles que valoren a todas las partes interesadas, desde que el producto está en la granja hasta que llega a los estantes.  

 

El Fondo Fiduciario de los Países Bajos V (NTF V) (julio de 2021 - junio de 2025) se basa en una asociación entre el Ministerio de Asuntos Exteriores de los Países Bajos y el Centro de Comercio Internacional. El Fondo apoya a las MIPYME del sector de las tecnologías digitales a través de EcomConnect y del sector agroindustrial a través de Alianzas para la Acción. Su ambición es doble: por un lado, contribuir a una transformación inclusiva y sostenible de los sistemas alimentarios a través de soluciones digitales, y por otro, impulsar la internacionalización de las empresas emergentes tecnológicas, la exportación de las empresas de tecnologías de la información y la externalización de procesos comerciales a determinados países del África subsahariana.

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Stimuler le commerce du textile à travers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
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Les outils en ligne peuvent aider les pays de l'Accord d'Agadir à développer leurs entreprises de textile et d'habillement, tout en améliorant la coopération dans la région.

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Une meilleure coopération dans le secteur du textile et de l'habillement peut aider l'Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie à exploiter de nouvelles opportunités commerciales. À cette fin, ces pays doivent œuvrer de concert pour lever les barrières commerciales, sur la base de données fiables pour éclairer leurs décisions.

En marge de la foire internationale Destination Africa, le plus grand salon du textile et de l'habillement du continent, le Centre du commerce international (ITC) a réuni des représentants gouvernementaux et du secteur, ainsi que des institutions d'appui aux entreprises des quatre pays. Au cours de l'atelier d'une journée qui s'est tenu le 21 novembre au Caire, l'ITC a présenté les résultats préliminaires d'une enquête commerciale menée par son équipe Trade Market Intelligence. Cette enquête visait à identifier les mesures qui permettront d'assouplir les restrictions et de stimuler le commerce afin de développer les opportunités commerciales et de renforcer la coopération entre les pays signataires de l'Accord arabo-méditerranéen de libre-échange d'Agadir.

L'atelier a été organisé dans le cadre du Programme mondial pour le textile et l'habillement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (GTEX/MENATEX) de l'ITC. L'objectif était d'explorer les moyens de promouvoir l'Afrique du Nord en tant que fournisseur mondial de vêtements et de textiles.

Les réunions régionales comme celle-ci sont l'occasion de partager les connaissances au sein du secteur, d'identifier de meilleurs liens en matière d'approvisionnement et de marché, et de promouvoir collectivement l'Accord d'Agadir auprès des pays non-membres.

L'atelier a été l'occasion de montrer la manière d'identifier les opportunités commerciales intra-régionales en utilisant les outils d'analyse des marchés de l'ITC ainsi que le bureau d'assistance commerciale d'Euromed. Ce dernier fournit des informations sur le commerce pour 10 pays méditerranéens et les 27 États membres de l'Union européenne.

La formation a permis aux participants de s'inscrire sur la plateforme d'Euromed, d'apprendre grâce à des démonstrations et des exercices en direct, et de comprendre comment utiliser la dernière version de l'outil en ligne.

« La démonstration en direct du bureau d'assistance commerciale d'Euromed a montré qu'il était possible d'obtenir des informations commerciales précieuses pouvant aider à améliorer la transparence dans la région », a déclaré Mohamed Tared Issa, un responsable de l'ITC chargé de recherches sur les barrières commerciales.

« Ce fut un réel plaisir de présenter les résultats préliminaires de l'enquête de l'ITC sur les obstacles au commerce dans les pays de l'Accord d'Agadir », a-t-il poursuivit. « La formation d'une journée a favorisé des discussions animées sur la manière de surmonter les défis identifiés qui entravent l'intégration régionale ».

Ihab Qadri, le nouveau directeur du Syndicat du textile et de l'habillement de Jordanie, a expliqué avoir profité de l'atelier pour nouer des liens avec des pairs de la région, ce qui lui a permis de mieux comprendre comment coopérer plus efficacement avec chaque pays.

Les discussions ont également permis de révéler le potentiel inexploité des liens entre les marchés régionaux et des échanges commerciaux, ainsi que de l'échange de connaissances techniques.

Le programme de l'ITC a facilité la mise en relation du Centre égyptien de la mode et du design (FDC) avec le Centre jordanien de création de vêtements et de services de formation (GSC). Les deux organismes ont ainsi pu explorer les possibilités de collaboration, et une mission commerciale jordanienne s'est rendue en Égypte pour tisser des liens entre les petites entreprises des deux pays.

À propos du programme

 

Le Programme mondial pour le textile et l'habillement (GTEX) appuie les petites entreprises et les organisations d'appui aux entreprises travaillant dans l'industrie du textile et de l'habillement dans les pays en développement afin d'accroître leur compétitivité à l'exportation.

Le programme GTEX est financé par le Secrétariat d'État à l'économie (SECO) de la Confédération suisse et se concentre sur cinq pays prioritaires (Égypte, Maroc, Kirghizistan, Tadjikistan et Tunisie).

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ITC Actualités
Les entrepreneures marocaines prêtes à exporter grâce à la gestion de la qualité
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Des femmes entrepreneures marocaines participent à un atelier de l'ITC sur la gestion de la qualité afin d'améliorer leurs produits, et se préparent ainsi à exporter.

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Le projet SheTrades du Centre du commerce international (ITC) a organisé au Maroc un atelier de quatre jours, du 9 au 12 mai 2022, sur la gestion de la qualité pour 20 femmes entrepreneures du secteur des aliments transformés. Les entreprises et coopératives participantes ont pu renforcer leurs capacités, notamment en développant l’implantation de leurs produits sur les marchés locaux et en se préparant à l’exportation.

Naoual Ennouhi, Présidente de la coopérative Flora et l'une des participantes à l'atelier, a expliqué : « J'ai amélioré mes connaissances sur la certification ; j'ai appris à mettre en place le processus de gestion de l'entreprise pour garantir le respect des normes de qualité et de sécurité de mes produits ; et je sais maintenant comment mettre en œuvre ce même processus dans la gestion quotidienne de la coopérative que je préside. »

Afin de pouvoir prodiguer des conseils sur mesure, les participantes ont été réparties en deux groupes, en fonction de leur niveau de certification. Le premier groupe s'est d’abord concentré sur les exigences réglementaires en matière de qualité et de sécurité de leurs produits alimentaires, puis sur la manière d'obtenir l'autorisation sanitaire et l'agrément nécessaires à l'exportation.

Le deuxième groupe s'est concentré sur la manière dont le processus de production d'une entreprise pouvait garantir le respect des normes de qualité de leurs produits. La formation a également couvert la manière dont les processus peuvent aider à gérer tous les risques liés à la qualité et à la sécurité des aliments.

À la suite de l'atelier, toutes les participantes ont eu l'occasion d'évaluer leur expérience de formation. Les résultats seront utilisés pour améliorer le prochain atelier.

À propos du projet

L'atelier a été organisé dans le cadre du projet SheTrades Maroc de l’ITC, qui vise à accroître la participation au commerce des entreprises marocaines détenues par des femmes par l'amélioration de leur compétitivité et le renforcement de leurs liens avec les marchés. Le projet vise en outre à permettre aux femmes marocaines de bénéficier économiquement de leur participation aux chaînes de valeur des aliments transformés.

Cet atelier a été organisé par l'ITC, et est financé par la Société islamique internationale de financement du commerce et par la Banque islamique de développement.

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ITC Actualités
Des entreprises marocaines dirigées par des femmes concluent des accords au SIAL
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Au plus grand salon professionnel de l'alimentation et des boissons du Canada, des entreprises marocaines dirigées par des femmes ont pu promouvoir leurs produits sur le marché nord-américain et générer de nouvelles opportunités d'investissement.

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À l’occasion du Salon international de l’alimentation (SIAL) du Canada, huit entreprises marocaines dirigées par des femmes (Terre Brune, Spiruline Nadia, Frelug, Flora, Mogador, Sagroma, Coopérative Sanad et Bionoor Cosmetics), ont pu présenter leurs produits, notamment de l'argan, de l'huile d'olive, des vinaigres de figues de barbarie, des olives et des épices. Leur présence résulte de l’association entre le projet SheTrades Maroc du Centre du commerce international (ITC) et le Bureau de promotion du commerce (TFO) du Canada, avec l’appui de la Société islamique internationale de financement du commerce (ITFC) et de la Banque islamique de développement (BID).

Kristin Marinacci, Directrice de programme à TFO Canada, explique : « Compte tenu des défis auxquels nous avons été confrontés avec la pandémie de COVID-19, appuyer ces entreprises détenues par des femmes pour qu'elles participent à cette édition du SIAL Canada marque une étape importante dans la création de liens commerciaux avec des importateurs canadiens. Aider ces entrepreneures dans leurs stratégies d'entrée sur le marché est une contribution essentielle à la croissance économique inclusive et durable du Maroc. »

Organisé chaque année à Montréal, le SIAL est le plus grand salon professionnel de l'alimentation et des boissons au Canada, avec plus de 1 200 exposants nationaux et internationaux provenant de 50 pays, et plus de 25 000 visiteurs et potentiels acheteurs du Canada, des États-Unis et de 60 autres pays.

De nombreux événements parallèles ont permis aux entreprises dirigées par des femmes d'entrer en contact avec des acheteurs et des importateurs locaux, et de participer à des réunions interentreprises (B2B). En outre, une visite du marché a été organisée à leur intention, afin de les aider à mieux comprendre les habitudes des consommateurs locaux et les réseaux de distribution.

En préalable à la visite du salon, l'équipe SheTrades Maroc de l'ITC a formé ces entreprises sur les exigences et les normes légales indispensables pour pénétrer le marché nord-américain.

« Le fait que l’appui à l'entreprenariat féminin est non seulement bénéfique pour l'économie d'un pays, mais également nécessaire pour garantir un avenir juste et durable, est de plus en plus reconnu », déclare Lilia Hachem Naas, Cheffe du Bureau Moyen-Orient et Afrique du Nord à l’ITC. « SheTrades Maroc a un impact positif sur les communautés locales et mène la défense de l'entrepreneuriat féminin. »

Nasser Al-Thekair, Directeur général pour le développement du commerce et des affaires à l'ITFC, conclut : « Nous pensons que cette opportunité ouvrira de nombreuses nouvelles portes aux entrepreneures, car elles pourront non seulement comprendre les marchés d'un point de vue global, mais aussi échanger des idées avec des milliers de leurs pairs et clients. Nous nous attendons à voir un retour massif sur cet investissement, ainsi qu'une croissance à la fois pour les femmes entrepreneures et leurs communautés respectives. »

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ITC Actualités
Varias empresas marroquíes dirigidas por mujeres logran acuerdos comerciales en el SIAL
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Varias empresas marroquíes dirigidas por mujeres promocionaron sus productos para el mercado norteamericano en la mayor feria de alimentación y bebidas de Canadá, con el objetivo de generar nuevas oportunidades de inversión.

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El proyecto SheTrades Marruecos del Centro de Comercio Internacional unió sus fuerzas con la Trade Facilitation Office (Oficina de Facilitación del Comercio, TFO) de Canadá, gracias al apoyo de la Corporación Islámica Internacional para la Financiación del Comercio (ITFC) y el Banco Islámico de Desarrollo (IsDB), para llevar a ocho empresas marroquíes propiedad de mujeres (Terre Brune, Spiruline Nadia, Frelug, Flora, Mogador, Sagroma, Coopérative Sanad y Bionoor Cosmetics), a la feria comercial canadiense Le Salon International de l'Alimentation (SIAL). Las emprendedoras mostraron sus productos, entre los que se incluían el argán, el aceite de oliva, los vinagres de higo chumbo, las aceitunas y diversas especias.

Kristin Marinacci, Directora de Programas de la TFO de Canadá, afirmó: «Dado el contexto en el que nos encontramos por la COVID-19, apoyar a estas empresas propiedad de mujeres para que participen en el SIAL de Canadá de este año ha sido un paso importante para crear posibles vínculos comerciales con importadores canadienses. Ayudar a estas emprendedoras con sus estrategias de entrada en el mercado es una contribución vital al crecimiento económico inclusivo y sostenible de Marruecos».

El SIAL, que se celebra anualmente en Montreal, es la mayor feria de alimentación y bebidas de Canadá, y cuenta con más de 1200 expositores nacionales e internacionales procedentes de 50 países y recibe a más de 25.000 compradores de Canadá, los Estados Unidos de América y otros 60 países. 

Asimismo, se celebraron numerosos actos paralelos que facilitaron a las empresas dirigidas por mujeres entablar contactos comerciales con compradores e importadores locales, así como participar en reuniones entre empresas (B2B). Además, realizaron una visita a un mercado con el objetivo de conocer mejor los hábitos de los consumidores locales y las redes de distribución.

Antes de la feria, el equipo de SheTrades Marruecos del ITC formó a las empresas dirigidas por mujeres sobre los requisitos legales y las normas para entrar en el mercado norteamericano.

«Cada vez se reconoce más que apoyar el emprendimiento de las mujeres no sólo es beneficioso para la economía de un país, sino que también es necesario para garantizar un futuro justo y sostenible», afirma Lilia Hachem Naas, Jefa de la Oficina para la región de Oriente Medio y Norte de África del Centro de Comercio Internacional, «SheTrades Marruecos tiene un impacto positivo en las comunidades locales y toma la iniciativa en la defensa del emprendimiento de las mujeres».

Nasser Al-Thekair, Director General de Comercio y Desarrollo Empresarial del ITFC, añade: «Creemos que esta oportunidad abrirá muchas puertas nuevas a las emprendedoras, porque no sólo entenderán los mercados desde una perspectiva mundial, sino que también podrán intercambiar ideas con miles de sus homólogos y clientes. Sin duda, esperamos ver un retorno masivo de esta inversión, así como un crecimiento tanto para las mujeres emprendedoras como para sus respectivas comunidades».

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ITC Noticias
L'avenir de l'horticulture
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L'horticulture est la branche de l'agriculture qui traite de l'art, de la science, de la technologie et du commerce de la culture des plantes. À quoi ressemble le secteur en Afrique ? Pour de nombreuses économies africaines, l'agriculture en est son épine dorsale. C'est pourquoi Holland Greentech s'est donnée pour mission d'investir durablement dans l'horticulture, afin d'améliorer la production et la sécurité alimentaires, et d'utiliser les ressources naturelles de manière plus efficiente.

 

Le Forum du commerce s'est entretenu avec Celestina Danso Arhin, Directrice nationale de la branche ghanéenne de Holland Greentech, et Deborah Anobil, Responsable du développement commercial, pour comprendre comment la technologie peut faire évoluer l'agriculture et créer des emplois durables pour les jeunes.

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Q : Parlez-nous du travail de Holland Greentech au Ghana.

Holland Greentech est une entreprise sociale qui vise à développer l'horticulture en Afrique. Elle est présente dans plus de 12 pays. Au Ghana, elle dispose de bureaux à Accra, à Kumasi, dans la région de la Volta, et maintenant dans la région occidentale du Ghana. L'entreprise fournit des services de formation et de conseil aux agriculteurs, ainsi que des intrants agricoles de haute qualité tirés du savoir-faire et de la technologie néerlandaises.

Nous sommes les distributeurs officiels de plusieurs marques, telles que Rijk Zwaan (semences), Rivulis irrigation, Robinson Agri (serres), AgroCares (analyse des sols), et spécialistes de la lutte intégrée contre les ravageurs de manière respectueuse de l'environnement, entre autres. En garantissant un accès local à ces intrants, nous aidons les agriculteurs à améliorer leurs rendements et leurs revenus. En outre, nous fournissons à chaque client des conseils agronomiques et des protocoles de culture.

Actuellement, nous travaillons avec l'ambassade des Pays-Bas pour améliorer l'emploi des jeunes à Kumasi et dans la région de la Volta. À ce jour, nous avons formé plus de 5 000 agriculteurs ghanéens aux meilleures pratiques agricoles.

Holland Greentech

Q : Pourquoi la jeunesse ?

Holland Greentech

Les jeunes se désintéressent de plus en plus de l'agriculture, souvent considérée comme une profession pour les pauvres. Nous essayons donc de convaincre les jeunes que l'agriculture peut être une profession à la fois lucrative et attrayante. Surtout, si vous intégrez la technologie, vous pouvez faire passer vos produits horticoles au niveau supérieur, et générer ainsi davantage de revenus et d'emplois au Ghana.

Par exemple, des semences ont été distribuées à des personnes désireuses de se lancer dans l’agriculture mais sans en avoir les moyens, grâce à l’aide d’un éminent militant de la jeunesse agricole. Un jeune agriculteur a ainsi reçu 100 semences pour se lancer. Grâce au recours à des technologies de base comme l'irrigation et le paillage, sa production a été hautement performante, ce qui lui a permis d’acheter 40 000 semences pour sa nouvelle saison, et démarrer une activité qui aide les jeunes de la région.

Q : Quels sont d'après vous les défis du secteur horticole ?

Il n'est pas facile de faire évoluer les méthodes traditionnelles agricoles, par exemple en convainquant les gens d'utiliser des systèmes d'irrigation au lieu de dépendre uniquement des pluies, ce qui est aujourd'hui indispensable vu les vagues de sécheresse et les précipitations extrêmes qui sont devenues récurrentes.

Nous travaillons étroitement avec les principaux agriculteurs dans les communautés. Nous leur offrons des démonstrations gratuites, sur place ou en ligne, afin de convaincre les agriculteurs et les jeunes des avantages que peut leur apporter la technologie.

Q : Vous avez initié un partenariat avec le Centre du commerce international. Pourquoi ?

Nous nous sommes rencontrés l'année dernière. L'ITC cherchait des moyens d'aborder l'ensemble de la chaîne de valeur.

Chez Holland Greentech, nous nous concentrons principalement sur le matériel technologique comme les serres afin d'aider le secteur agroalimentaire et les agriculteurs à gagner en efficience. Nous les formons aussi à l'utilisation des semences et des engrais en vue d'une production durable. De son côté, l'ITC relie nos agriculteurs et les autres acteurs de la chaîne de valeur aux fournisseurs de solutions numériques, pour apporter les plateformes et les technologies qui vont leur permettre d'écouler leurs produits.

Ces solutions numériques comprennent également l'accès au financement pour les agriculteurs, le paiement par argent mobile, des informations agricoles intelligentes sur le climat, des plateformes de commerce des produits de base, ainsi que des logiciels ERP.

Holland Greentech

Q : Quelle est la prochaine étape pour Holland Greentech au Ghana ?

Notre objectif est de faire de l'agriculture une entreprise attrayante et lucrative en introduisant des méthodes modernes et précises basées sur la numérisation et la mécanisation du secteur horticole.

De cette façon, les gens verront, je l'espère, que l'agriculture est un secteur prometteur, plein de jeunes entrepreneurs.

Le Centre du commerce international (ITC), dans le cadre de son projet Netherlands Trust Fund V, organise un voyage d'étude sur l'agrotechnologie à Kumasi en avril, en collaboration avec Holland Greentech, l'ambassade des Pays-Bas et EastWestSeed. L'ITC envoie des entreprises technologiques à la rencontre des entreprises horticoles agroalimentaires pour voir comment leurs solutions technologiques peuvent appuyer cette activité.

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Evelyn Seltier, Centre du commerce international
Novedades en el sector de la horticultura
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La horticultura es la rama de la agricultura que se ocupa del arte, la ciencia, la tecnología y el negocio del cultivo de plantas. ¿Cuál es el estado del sector en África? La agricultura constituye la columna vertebral de muchas economías africanas. Por ello, la misión de Holland Greentech es invertir de forma sostenible en el sector de la horticultura para mejorar la producción de alimentos, la seguridad alimentaria y el uso más eficiente de los recursos naturales. 
 

Forum de Comercio charló con la Directora nacional para Ghana de Holland Greentech, Celestina Danso Arhin, y con la Directora de desarrollo empresarial, Deborah Anobil, para entender cómo la tecnología puede influir en la agricultura y crear puestos de trabajo duraderos para los jóvenes.

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Pregunta: ¿Podrían describirnos brevemente el trabajo de Holland Greentech en Ghana?

Holland Greentech es una empresa social que tiene como objetivo el desarrollo de la horticultura en toda África. Estamos presentes en más de 12 países, y en Ghana tenemos oficinas en Accra, Kumasi, la región del Volta y la región Occidental. Nuestra empresa ofrece servicios de formación y asesoramiento a los agricultores en combinación con productos y estructuras agrícolas de alta calidad basados en las habilidades y la tecnología de los Países Bajos.

Somos distribuidores oficiales de Rijk Zwaan (semillas), Rivulis (sistemas de riego), Robinson Agri (invernaderos), AgroCares (análisis de suelos) y ofrecemos varias soluciones de control integrado de plagas respetuosas con el medio ambiente, entre otros. Al poner a disposición de los agricultores estos productos y servicios, les inspiramos para que puedan mejorar sus rendimientos e ingresos. Además, proporcionamos a cada cliente asesoramiento en materia de agricultura y de protocolos de cultivo.

Actualmente, estamos colaborando con la Embajada de los Países Bajos en Ghana para mejorar el empleo juvenil en Kumasi y en la región del Volta. Hasta ahora, hemos formado a más de 5000 agricultores ghaneses en las mejores prácticas agrícolas.

 

Holland Greentech

Pregunta: ¿Por qué los jóvenes?

Holland Greentech

Cada vez más, los jóvenes están perdiendo el interés por la agricultura, ya que la sociedad considera que es una profesión para personas pobres. Es esta la razón por la que intentamos convencerles de que esta puede ser una profesión lucrativa y atractiva. Una vez que se incorpore la tecnología a la agricultura en Ghana, los productos hortícolas alcanzarán el siguiente nivel y generarán más dinero y empleo en el país.

Por ejemplo, un destacado activista juvenil de la agricultura nos ayudó a anunciar que proporcionaríamos semillas de forma gratuita a quienes quisieran iniciarse en la agricultura y no tuvieran los medios necesarios. Un joven agricultor recibió 100 semillas y, tras incorporar tecnologías básicas como el riego y el acolchado, pudo comprar 40.000 semillas y poner en marcha un negocio que ayuda a la juventud local.

 

Pregunta: ¿Qué retos ven en el negocio de la horticultura?

Cambiar las «viejas costumbres agrícolas» no es fácil, como por ejemplo, convencer a la gente de que utilice sistemas de irrigación en lugar de depender del riego de secano, lo que es ahora más necesario que nunca dadas las sequías o las lluvias extremas a las que nos enfrentamos.

También estamos colaborando con los agricultores líderes de las comunidades para presentar a los agricultores y a los jóvenes de forma gratuita, in situ y en línea, los beneficios que la tecnología puede traer a la agricultura.

Pregunta: Se acaban de asociar con el Centro de Comercio Internacional, ¿por qué?

Nos conocimos el año pasado. El ITC está buscando formas de abordar las cadenas de valor en su conjunto.

Mientras que en Holland Greentech nos centramos sobretodo en el hardware tecnológico, como los invernaderos, que ayudan a la agroindustria y a los agricultores a ser más eficientes, o en la formación sobre la utilización de las semillas o los fertilizantes para conseguir una producción sostenible; el ITC conecta a nuestros agricultores y a otras partes interesadas de la agroindustria a lo largo de la cadena de valor con proveedores de soluciones digitales que aportan plataformas y tecnología para vender sus productos.

Estas soluciones digitales también incluyen la financiación para los agricultores, los pagos digitales, la información sobre la agricultura respetuosa con el medio ambiente para los agricultores, las plataformas de comercio de productos básicos y proveedores de software ERP.

Holland Greentech

Pregunta: ¿Qué novedades le esperan a Holland Greentech en Ghana?

Nuestro objetivo es hacer de la agricultura un negocio atractivo y lucrativo por medio de la introducción de formas modernas y precisas de cultivo basadas en la digitalización y la mecanización de la horticultura.

 

Con ello, esperamos que la gente vea que la agricultura es un sector prometedor, lleno de jóvenes emprendedores.

El Centro de Comercio Internacional (ITC), en el marco de su proyecto del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V, organiza en abril un viaje de campo sobre agrotecnología a Kumasi junto con Holland GreenTech, la Embajada de los Países Bajos y EastWestSeed. El ITC organiza encuentros entre empresas tecnológicas y agroindustrias hortícolas para ver cómo sus soluciones tecnológicas pueden apoyar a la agroindustria.

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Evelyn Seltier, Centro de Comercio Internacional
Estrategia de productores y expertos para el sector del ñame ghanés
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Cuando Salama Tulari vendía ñame en su tenderete junto a una carretera de Tamale y se preguntaba si algún día conseguiría dinero para ampliar su negocio, nunca imaginó que su voz contribuiría a formular la futura estrategia ghanesa para fomentar el sector del ñame.

Ahora, como participante de la estrategia ghanesa del ñame para el desarrollo rural, la Sra. Tulari ha unido su voz a las de centenares de otros agricultores y personas del medio rural que han dicho exactamente qué hace falta para mejorar la producción y comercialización del ñame y otros cultivos relacionados. El proyecto, que lleva a cabo el Gobierno ghanés en asociación con el ITC y el Instituto Internacional de Agricultura Tropical (IITA), está elaborando la primera estrategia nacional de desarrollo sectorial en África Occidental para sistemas de producción de ñame y otros cultivos relacionados, con la implicación y el liderazgo de los interesados El Gobierno se propone dar un fuerte impulso a la comercialización y el valor añadido de la producción nacional. Ghana es el segundo productor mundial de ñame, después de Nigeria, pero solo exporta 30.000 toneladas de su producción total de 7 millones.

“Lo que más nos interesa es el valor añadido,” afirma Sarkodie Osei, exportador de ñame y miembro del Comité Coordinador, una plataforma público-privada responsable de la gestión y la implementación de la estrategia. Y añade que la amplia variedad de productos derivados conquistarán nuevos mercados en diferentes partes del mundo, a los que jamás pensamos que llegaría nuestro ñame fresco tradicional que exportamos actualmente.

La agricultura representa una tercera parte del PIB ghanés y da trabajo a más de la mitad de la población activa del país – de la que en el sector del ñame, el 70% son mujeres. El gobierno y representantes del sector privado pidieron al ITC y el IITA que diseñaran un plan, bajo la dirección de los interesados, que apoyara los esfuerzos para impulsar las exportaciones de ñame y abrir nuevos mercados.

El ñame es un ingrediente básico en la dieta de ghaneses y otros africanos de la región, que consumen el tubérculo cocido, frito o asado. También se utiliza en productos como helados, pasta, harina fina, cerveza, vino y cosméticos, y su almidón puede sustituir otros almidones modificados en procesos industriales La estrategia del ñame se centra no solo en la inocuidad alimentaria, sino también en la búsqueda de soluciones que permitan a la industria alimentaria de transformación incrementar sus ingresos y mejorar los medios de vida de las personas que intervienen en las distintas fases de la cadena de valor, añadiendo valor a este cultivo, en palabras de Antonio López, productor de ñame y miembro del IITA, con amplia experiencia en investigación agrícola para el desarrollo.

El enfoque que adopta el ITC en la elaboración de estrategias sectoriales consiste en involucrar al sector privado, no solo en la fase de consultas, sino también en la toma de decisiones, para asegurarse de que la estrategia aborda las necesidades reales, según afirma Hernán Manson, asesor del ITC en elaboración de estrategias y cadenas de valor. La estrategia del ñame se basa en la convicción de que es necesario escuchar a los agricultores, inversores y empresarios. Porque los integrantes del sector privado solo querrán asumir riesgos – financieros o de otro tipo – si creen tener buenas probabilidades de éxito, y el mejor modo de convencerles es pedir su participación en la formulación de las políticas, explica el Sr. Manson. En 2012, el Centro trabajó en la preparación de estrategias nacionales y/o sectoriales de nueve países, y aplicó esta metodología participativa.

Anthony Sikpa, Director Ejecutivo en funciones de la Federación de Asociaciones de Exportadores Ghaneses y Presidente del Comité Coordinador de la estrategia del ñame, dijo: “El sector público y el sector privado no siempre hacen buenas migas. En un comienzo hubo cierto recelo ante el temor a adentrarse en terreno conocido, pero la desconfianza desaparece poco a poco.”

En 2012 se organizaron en Ghana varios talleres que convocaron a agricultores, exportadores, compradores locales e internacionales, empresas transformadoras, IAC, agentes de aduanas, donantes, banqueros, representantes gubernamentales y centros de investigación. El principal objetivo era conocer los problemas que aquejan al sector del ñame y establecer prioridades, teniendo en cuenta aspectos como igualdad de género, medio ambiente y desarrollo rural. Los participantes marcaron objetivos, como profesionalizar la gestión de las asociaciones agrícolas, mejorar las estrategias de comercialización, explorar posibles vías para diversificar productos y mejorar el acceso a la financiación.

La dificultad de conseguir financiación es uno de los mayores obstáculos que impiden a los productores y comerciantes de ñame desarrollar todo su potencial, según afirma la Sra. Tulari, Y si bien es cierto que a todos los pequeños agricultores y comerciantes les cuesta obtener financiación, cree que los bancos se muestran especialmente estrictos con las mujeres.

La estrategia del ñame ghanesa pretende buscar una solución a estos y otros retos. Partiendo de las decisiones de los interesados adoptadas en los primeros talleres participativos, el Gobierno, el ITC, el IITA y el Comité Coordinador iniciaron estudios de viabilidad detallados basados en los mercados destinatarios reconocidos como prioritarios, y una investigación que examina el valor añadido, la logística, las zonas de producción y zonas piloto. Otras medidas posteriores a los talleres incluyen ensayos industriales y adaptación de posibles nuevos productos, movilización de recursos y negociaciones con asociados,y la formulación de un acuerdo con los socios sobre las modalidades y plazos de ejecución, y resultados.

“Hay un elemento humano incrustado en toda la estrategia,” afirmó el Sr. Manson. “No se trata solamente de conseguir buenas estadísticas, sino de crear la plataforma idónea, es decir, una auténtica asociación público-privada. Esto ayudará a asegurar la sostenibilidad, y su futuro estará en sus manos.”

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