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L'ITC et la Commission de l'UA signent un accord pour libérer le commerce intra-africain
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Le Centre du commerce international et la Commission de l'Union africaine ont signé un protocole d'accord visant à promouvoir le commerce inclusif, par l’intégration des petites entreprises dans les économies régionales d’Afrique pour qu’elles tirent parti du potentiel d'un commerce intra-africain accru, et à promouvoir le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés par le biais de l'Observatoire africain du commerce.

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(Addis-Abeba/Genève) – La Commission de l'Union africaine (UA) et le Centre du commerce international (ITC) ont signé un protocole d'accord au siège de l'Union africaine à Addis-Abeba, en Éthiopie, pour marquer le prochain chapitre d'un partenariat de longue haleine. En œuvrant de concert, ces organisations entendent favoriser le commerce inclusif en Afrique en intégrant les petites entreprises dans les économies régionales et en promouvant le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés à travers l'Afrique par le biais de l'Observatoire africain du commerce (ATO).

L'accord renouvelé répond aux changements de l'économie mondiale et au processus d'intégration régionale en cours en Afrique, dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Il réaffirme le dévouement, la vision commune et les efforts conjoints de l'Union africaine et de l'agence des Nations Unies dédiée au développement des petites entreprises.

Les principaux domaines mis en évidence dans ce cadre de coopération comprennent l'avancement de l'Observatoire africain du commerce, un outil en ligne développé par l'ITC qui fournit aux décideurs politiques et aux entreprises des données commerciales en temps réel ; la promotion des principales chaînes de valeur continentales en vue de renforcer le développement industriel ; l'intégration des petites entreprises dans les processus commerciaux régionaux afin de leur permettre de tirer parti de la ZLECAf ; et l'intégration de l'autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs pour un commerce inclusif.

S.E. l'Ambassadeur Albert Muchanga, Commissaire chargé du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM), a déclaré à cette occasion : « Ce protocole d'accord consolide les relations étroites qui existent déjà entre nos deux institutions. Il catalysera la mise en œuvre de la stratégie de l'Union africaine en faveur des PME, l'opérationnalisation de l'ATO, la protection de la propriété intellectuelle, ainsi que la promotion du développement du secteur privé en Afrique. »

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a pour sa part expliqué : « Avec ce nouvel accord, nos deux institutions intensifient leur collaboration pour concrétiser notre vision commune d'une Afrique interconnectée, industrielle et inclusive. Ensemble, nous continuerons à doter les petites entreprises des informations et des compétences dont elles ont besoin pour s'intégrer dans les chaînes de valeur régionales et continentales – et obtenir la visibilité indispensable grâce à un label Made in Africa – afin qu'elles puissent générer davantage de revenus et des emplois de qualité, et ainsi transformer les sociétés. »

L'Assemblée des chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine a établi l'Accélération de la mise en œuvre de la ZLECAf comme thème de l'année 2023. Cette année, la Commission de l'UA et l'ITC formeront les petites entreprises participant à la foire commerciale intra-africaine et au sommet de l'UA sur les femmes dans le secteur de la transformation – qui se tiendra au Caire, en Égypte, en novembre –, sur la manière d'être compétitives et de réaliser des transactions sur le marché africain. La base de données de l'ATO sera élargie et les entreprises recevront une formation sur la manière d'utiliser cet outil pour développer leurs activités. L'ITC appuiera également l'UA dans l'opérationnalisation complète de son Réseau des entreprises d'Afrique afin de renforcer l'écosystème commercial global du continent et de faciliter les échanges commerciaux entre les entreprises.

 

 

Note aux éditeurs

 

À propos de la Commission de l'Union africaine et de son Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM)

Le Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) est l'un des portefeuilles de la Commission de l'Union africaine qui doit contribuer à la réalisation de l'intégration économique de l'Afrique et faire du continent un partenaire industriel et commercial compétitif dans l'économie mondiale. Le DCIM est chargé de promouvoir le développement économique, la création d'emplois et l'industrialisation sur l'ensemble du continent africain. L'objectif principal du département est de développer des politiques, des stratégies et des programmes qui favorisent le commerce et les investissements intra-africains, et attirer les investissements étrangers directs.

Pour de plus amples informations, visitez son site internet : https://au.int/fr/commerce-et-industrie

À propos de l'ATO

L'Assemblée/AU/Dec.394 (XVIII) du 18 mai 2012 sur la dynamisation du commerce intra-africain et l'accélération de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) a adopté l'architecture de la ZLECAf et prévoit la création d'un Observatoire africain du commerce (ATO) au sein du Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) de la Commission de l'UA. L'ATO sera le principal dépositaire de données et d'informations qualitatives et quantitatives sur le commerce africain. Il fournira à la communauté des affaires et aux décideurs politiques des informations commerciales et des renseignements sur le marché.

Pour de plus amples informations, visitez son site dédié : https://ato.africa/fr

À propos du Centre du commerce international

Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. 

Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

À propos du programme One Trade Africa

Le programme One Trade Africa de l'ITC vise à permettre aux petites entreprises de tirer parti des opportunités commerciales transformatrices générées par la ZLECAf pour se développer, et en particulier pour que les jeunes et les femmes entrepreneurs puissent devenir économiquement autonomes. Son modèle de prestation en trois volets aide les petites entreprises africaines à renforcer leur compétitivité, à se connecter et à changer aux niveaux à la fois de l'entreprise, de l'écosystème commercial et de la politique. L'ITC offre des formations, des conseils et un accompagnement pour renforcer leurs capacités, les relier à de nouveaux marchés plus lucratifs, et leur permettre de créer des emplois.


Contacts médias

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique 
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux 
Commission de l'Union africaine
Courriel : Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Addis-Abeba | Éthiopie

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El ITC y la CUA firman un acuerdo para empoderar a las pequeñas empresas y desbloquear el comercio intraafricano
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El Centro de Comercio Internacional y la Comisión de la Unión Africana firmaron un memorando de entendimiento para promover el comercio inclusivo por medio de la integración de las pequeñas empresas en la economía regional africana y el aprovechamiento del potencial de un mayor comercio intraafricano, y para promover el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado a través del Observatorio del Comercio Africano.

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(Adís Abeba/Ginebra) - La Comisión de la Unión Africana (CUA) y el Centro de Comercio Internacional (ITC) firmaron un memorando de entendimiento en la sede de la Unión Africana en Adís Abeba, Etiopía, que marca el siguiente capítulo de su asociación. Ambas organizaciones fomentarán de forma conjunta el comercio inclusivo en África por medio de la incorporación de las pequeñas empresas a la economía regional, y promoverán el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado en toda África a través del Observatorio del Comercio Africano (OCA).

El acuerdo renovado responde a los cambios de la economía mundial y al proceso de integración regional en curso en África, respaldado por la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA). Además, reafirma la dedicación, la visión compartida y los esfuerzos conjuntos de la Unión Africana y la principal agencia de la ONU dedicada al desarrollo de las pequeñas empresas.

Entre las áreas clave destacadas del marco de cooperación destacan el avance del Observatorio del Comercio Africano, una herramienta en línea desarrollada por el ITC que proporciona datos comerciales en tiempo real a los encargados de formular políticas y a las empresas; la promoción de las cadenas de valor continentales clave para reforzar el desarrollo industrial; la integración de las pequeñas empresas en el proceso comercial regional para que puedan beneficiarse de la AfCFTA; y la integración del empoderamiento económico de las mujeres y los jóvenes emprendedores para un comercio inclusivo.

S.E. el Embajador Albert Muchanga, Comisario de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM), declaró: «El Memorando de Entendimiento consolida la sólida relación que ya existe entre las dos instituciones y catalizará la puesta en marcha de la Estrategia de la Unión Africana para las PYME, la puesta en marcha del OCA, la protección de la propiedad intelectual y la promoción del desarrollo del sector privado en África».

Pamela Coke-Hamilton, Directora Ejecutiva del ITC, declaró: «Con este nuevo acuerdo, nuestras dos instituciones intensifican su colaboración para hacer realidad nuestra visión común de una África interconectada, industrial e integradora. Juntos, seguiremos proporcionando a las pequeñas empresas la información y las competencias que necesitan para poder integrarse en las cadenas de valor regionales y continentales y obtener la visibilidad que necesitan a través de una etiqueta Made in Africa (Hecho en África), con el objetivo último de que puedan generar más beneficios, crear empleos de calidad y transformar las sociedades».

La Asamblea de Jefes de Estado y de Gobierno de la Unión Africana declaró la «Aceleración de la puesta en marcha de la AfCFTA» como el tema del año 2023. Este año, la CUA y el ITC formarán a las pequeñas empresas que asistan a la Feria Comercial Intraafricana y a la Cumbre de la UA sobre la Mujer en la Transformación, que se celebrará en El Cairo (Egipto) en noviembre, sobre cómo competir y realizar transacciones comerciales en el mercado africano. Se ampliará, además, la base de datos del OCA y se formará a las empresas en la utilización de esta herramienta para hacer crecer sus negocios. El ITC también apoyará a la UA para que pueda alcanzarse la plena operatividad de su Red Enterprise Africa y reforzar así el ecosistema empresarial general del continente, con el fin de facilitar el comercio para las empresas.

 

 

Notas para el editor:

Acerca de la Comisión de la Unión Africana y su Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM)

El Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) es una de las carteras de la Comisión de la Unión Africana que contribuye a la consecución de la integración económica de África y a convertir al continente en un socio industrial y comercial competitivo en la economía mundial. El ETTIM se encarga de promover el desarrollo económico, la creación de empleo y la industrialización en todo el continente africano. Su principal objetivo es el desarrollo de políticas, estrategias y programas que promuevan el comercio y las inversiones intraafricanas, así como la atracción de la inversión directa extranjera.

Para más información, visite https://au.int/en/ettim

Acerca del OCA

La Assembly/AU/Dec.394 (XVIII) del 18 de mayo de 2012 sobre el impulso del comercio intraafricano y la aceleración de la puesta en marcha de la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) adoptó la arquitectura de la AfCFTA e incluyó la creación de un Observatorio del Comercio Africano en el Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) de la CUA. El OCA servirá como el principal repositorio de información y datos cualitativos y cuantitativos sobre el comercio africano y proporcionará a la comunidad empresarial y a los encargados de formular políticas información comercial e inteligencia de mercado.

Para más información, visite https://ato.africa/en

Sobre el ITC

El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Para más información, visite www.intracen.org.

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Acerca de One Trade Africa

El programa del ITC One Trade Africa trabaja para capacitar, empoderar y mejorar a las pequeñas empresas africanas, a las mujeres y a los jóvenes emprendedores para que puedan acceder a las oportunidades empresariales transformadoras creadas por la AfCFTA. El programa adopta un modelo de ejecución triple que apoya a las pequeñas empresas africanas para que compitan, se conecten entre sí y cambien a nivel empresarial, de ecosistema empresarial y de políticas. El ITC ofrece formación, asesoramiento y orientación para desarrollar sus capacidades, conectarlas con mercados nuevos y más lucrativos y crear puestos de trabajo.

 

Contacto para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Teléfono: +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales 
Comisión de la Unión Africana
Correo electrónico: Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Adís Abeba | Etiopía

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Aider les petites entreprises d'Afrique de l'Ouest à tirer profit du libre-échange
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La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) recèle un immense potentiel dont les entrepreneurs ouest-africains peinent à profiter en raison de sa complexité. Un nouveau programme complet de formation offre des solutions sur mesure pour leur permettre de développer leur entreprise.

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L'atelier régional a fourni des informations essentielles aux formateurs expérimentés, aux professionnels du commerce et aux associations, afin qu'ils puissent mieux appuyer les entrepreneurs lors de leur parcours pour répondre aux exigences d'exportation de la ZLECAf.

La formation a été organisée par le Centre du commerce international (ITC) en collaboration avec la Commission de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

Selon Komi Tsowou, Conseiller régional du PNUD pour la ZLECAf, « L'augmentation de la production et du commerce des MPME pour le marché africain est un indicateur important du succès de la ZLECAf. Le PNUD s'est engagé à collaborer avec les organisations d'appui aux entreprises pour aider les MPME à optimiser les opportunités offertes par la ZLECAf. »

Group photo of workshop participants outside a building
Participants and representatives of agencies gather for a group photo during the ECOWAS, UNDP & ITC regional workshop on maximising opportunities in the AfCFTA.
Photo by ECOWAS Commission

L'objectif de cet atelier était de mettre en évidence les opportunités générées par la ZLECAf, en montrant les stratégies et les approches que les commerçants de la CEDEAO peuvent adopter pour accéder au marché africain, et en les encourageant à utiliser les outils de l'ITC tels que l'Observatoire africain du commerce.

Ashish Shah, Directeur de la Division des programmes pays de l'ITC, explique : « Toutes nos formations relatives à la ZLECAf mettent l'accent sur l'investissement, le commerce, les renseignements sur le marché et le développement des chaînes de valeur. Les MPME sont encadrées sur la manière d'élaborer un dossier commercial solide pour le présenter aux financeurs potentiels, et sur la manière d'utiliser la suite d'outils d'intelligence commerciale et de marché de l'ITC. »

La formation a également permis de mettre en lumière les synergies existantes entre la ZLECAf et la CEDEAO.

Pour Massandjé Toure-Litse, Commissaire aux affaires économiques et à l'agriculture au sein de la Commission de la CEDEAO, « La CEDEAO s'est engagée à appuyer les entreprises ouest-africaines pour qu'elles tirent parti des avantages amenés par la ZLECAf. Nous collaborons avec des partenaires tels que l'ITC et le PNUD, en fournissant des formations sur mesure et des informations sur le marché. En mettant l'accent sur les femmes et les jeunes, notre objectif est d'autonomiser les entrepreneurs, de stimuler la croissance inclusive et la prospérité à travers toute l'Afrique de l'Ouest. »

Grâce à un volet spécifique sur femmes entrepreneures par le biais de l'initiative de l'ITC SheTrades, l'atelier a permis aux associations commerciales d'améliorer leur appui aux petites entreprises et d'ouvrir la voie à un commerce régional inclusif.

Cet atelier est l'un des nombreux ateliers à venir visant à stimuler les petites entreprises et à accroître la compétitivité régionale par le biais du Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP), et à élargir les possibilités de commerce et d'exportation pour les entreprises africaines grâce au commerce continental dans le cadre du programme One Trade Africa.

Three men speak on panel in conference room
Representatives of UNDP, ECOWAS and ITC during the opening session of the ECOWAS, UNDP & ITC regional workshop on maximising opportunities in the AfCFTA held in Abuja, Nigeria.
Photo by ECOWAS Commission

À propos Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP)

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) vise à appuyer des chaînes de valeur sélectionnées aux niveaux national et régional afin de promouvoir la transformation structurelle et un meilleur accès aux marchés régionaux et internationaux, tout en tenant compte des préoccupations sociales et environnementales. Son objectif global est de renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et d'améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international.

 

À propos du programme One Trade Africa

Le programme One Trade Africa de l'ITC vise à permettre aux petites entreprises de tirer parti des opportunités commerciales transformatrices générées par la ZLECAf pour se développer, et en particulier pour que les jeunes et les femmes entrepreneurs puissent devenir économiquement autonomes. Son modèle de prestation en trois volets aide les petites entreprises africaines à renforcer leur compétitivité, à se connecter et à changer aux niveaux à la fois de l'entreprise, de l'écosystème commercial et de la politique. L'ITC offre des formations, des conseils et un accompagnement pour renforcer leurs capacités, les relier à de nouveaux marchés plus lucratifs, et leur permettre de créer des emplois.

 

À propos du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)

Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) est le principal organisme des Nations Unies qui lutte contre l'injustice de la pauvreté, les inégalités et le changement climatique. Travaillant avec un vaste réseau d'experts et de partenaires dans 170 pays, nous aidons les pays à développer des solutions intégrées et durables pour les personnes et la planète. Pour de plus amples informations, visitez le site https://www.undp.org/fr, et suivez @undpafrica sur Twitter, Facebook, Instagram et LinkedIn.

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Les entreprises africaines apprennent à exploiter la ZLECAf
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La Zone de libre-échange continentale africaine offre un meilleur accès aux marchés régionaux. De nouveaux ateliers de l'ITC expliquent aux entreprises africaines comment elles peuvent y accéder.

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Les entreprises africaines qui cherchent à exporter au sein de la nouvelle Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) se posent probablement de nombreuses questions. Une nouvelle série d'ateliers organisés dans cinq pays entre septembre et décembre 2022 a permis d’expliquer la manière dont elles peuvent naviguer dans le nouvel environnement commercial et identifier les marchés du continent les plus pertinents.

Organisés par l'Académie du commerce pour les PME, la section de l'ITC chargée des solutions d'apprentissage, ces ateliers ont été élaborés en partenariat avec Afreximbank et mis en œuvre avec des partenaires locaux, à savoir :

  • Le Département du commerce, de l'industrie et de la concurrence (DTIC, Afrique du Sud) ;
  • L'Agence du réseau commercial du Kenya (KenTrade) ;
  • L'Association marocaine des Exportateurs (ASMEX, Maroc) ;
  • Le Centre tunisien de promotion des exportations (CEPEX, Tunisie) ; et
  • Le Centre égyptien de formation au commerce extérieur (FTTC, Égypte).


Les sessions ont été conçues pour être interactives et fournir aux participants des connaissances pratiques, notamment :

  • Identifier les opportunités de marché en Afrique ;
  • Se préparer pour être prêt à exporter ;
  • Comprendre les documents requis pour exporter et la manière de les utiliser ;
  • Sélectionner un ou plusieurs marchés africains présentant des opportunités viables pour ses produits ;
  • Choisir entre différentes options pour pénétrer le ou les marchés sélectionnés ; et
  • Identifier les différentes options de financement du commerce disponibles pour l'entreprise.

En outre, les ateliers ont été élaborés en utilisant le nouveau concept d'atelier technologiquement amélioré de l'Académie du commerce pour les PME : la méthodologie d'atelier numérique. De fait, les ateliers comprennent à présent des présentations digitales interactives, des vidéos, des exercices, des guides pour les formateurs, des cahiers d'exercices pour les apprenants, ainsi que des documents en ligne pour faciliter l'organisation et le déroulement des ateliers sur le plan administratif.

Dans le cadre du programme de formation intitulé « Exporter au sein de la ZLECAf », chacun de ces ateliers doit comprendre un module de formation des formateurs. Ainsi, un total de 102 formateurs locaux ont appris à mener eux-mêmes ces sessions en utilisant la méthodologie d'atelier numérique. Non seulement les partenaires locaux ont ainsi pu pleinement s'approprier le contenu de la formation, mais cette stratégie a également permis d'étendre les sessions de formation au-delà des cinq villes initialement sélectionnées, à savoir Johannesburg, Nairobi, Casablanca, Le Caire et Tunis.

Chaque atelier s'est déroulé sur quatre jours. Au cours des deux premiers jours, les nouveaux formateurs se sont familiarisés avec la méthodologie de l'atelier numérique, ainsi qu'avec la façon d'animer et de planifier leur session. À cette fin, ils avaient accès aux ressources disponibles sur la plateforme de formation en ligne Exporter au sein de la ZLECAf (à ce jour, en version anglaise uniquement). Au cours des deux jours suivants, les formateurs ont mis en pratique leurs nouvelles connaissances en animant de véritables sessions, pour le bénéfice de participants invités, pour la plupart des petites et moyennes entreprises (PME) locales. Ainsi, quelque 142 PME ont d'emblée pu être formées.

Les ateliers ont été dirigés et supervisés par les maîtres formateurs et experts techniques Guillaume Lamothe, Ilyas Choubaili, Rania Habib et Dorothy Tuma, avec l'appui de la coordinatrice du programme de formation Dorina Dobre.

« Le but de l'atelier était, d'une part, de former un premier lot de PME, et d'autre part, d'équiper les futurs formateurs des moyens adéquats de dispenser le contenu », a déclaré Mme Dobre. « La présence de l''ITC se poursuivra pour faciliter l'accès des participants à la formation en ligne et pour aider les formateurs à renforcer leur capacité d'animation. »

À propos du programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf

Le programme de formation Exporter au sein de la ZLECAf est le résultat d'un partenariat entre l'ITC et Afreximbank. Il combine des éléments en ligne et hors ligne pour enseigner aux exportateurs africains actuels et potentiels les principes fondamentaux du commerce intra-africain. Il les accompagne également dans l'exploration des opportunités générées par la ZLECAf.

À propos de l'Académie du commerce pour les PME de l'ITC

L'Académie du commerce pour les PME est la section qui rassemble les solutions de formation de l'ITC. Cette plateforme publique d'apprentissage, unique en son genre, propose plus de 100 cours en ligne gratuits sur une grande variété de sujets liés au commerce. Disponible à la fois en français, en anglais, en espagnol et en arabe, elle compte plus de 100 000 inscriptions par an, provenant de plus de 190 pays. En outre, elle fournit une variété de solutions d'apprentissage clés en main en appui aux projets d'assistance technique liés au commerce de l'ITC. L'éventail de ces solutions s'étend des produits entièrement en ligne, tels que les cours d'apprentissage en ligne, les espaces d'apprentissage virtuels et les ateliers virtuels, jusqu'aux formations individuelles grâce aux outils technologiques, telles que les ateliers numériques et à support numérique.

À propos de One Trade Africa

L'objectif du programme One Trade Africa est d'autonomiser les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), les femmes et les jeunes entrepreneurs africains, d'améliorer leurs opérations, et de leur permettre d'accéder aux nouvelles opportunités commerciales transformatrices amenées par l'instauration de la ZLECAf. À cette fin, le programme adopte un modèle de prestation à trois volets, pour aider les MPME africaines à être compétitives, à se relier et à évoluer, et ce selon trois niveaux, de l'entreprise, de l'écosystème commercial et des politiques. L'ITC offre aux MPME africaines des formations, des conseils et un accompagnement afin de renforcer leurs capacités, de les aider à pénétrer de nouveaux marchés plus lucratifs, ce qui ultimement permettra de créer des emplois.

Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Pendant deux jours, le matériel scientifique fourni pour comprendre le processus d'exportation dans le cadre de l'Accord de libre-échange continental africain était très important, et les éminents professeurs choisis pour éclairer les informations y afférentes constituent un bon choix. En effet, j'ai beaucoup profité des nombreux détails des opérations d'exportation, en plus des riches discussions de la plupart des participants.
Hossam Mostafa
Ultrakem
Égypte
Égypte
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Tout le matériel était excellent, en particulier les interventions de certains collègues qui ont parlé des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs précédentes expériences d'exportation.
Chokri Selmi
Société d'élevage
Tunisie
Tunisie
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Le contenu fourni répond à la plupart des questions que les PME se posent concernant les opportunités offertes par la ZLECAf et la manière de surmonter les défis auxquels elles sont confrontées.
Chepkirui Rose
Département d'État pour le développement du commerce et des entreprises
Kenya
Kenya
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Les animateurs ont très bien dirigé les ateliers, avec une grande maîtrise techniques, grâce à la qualité des exercices de réflexion, des discussions sur les études de cas et des cahiers d'exercices, qui ont grandement aidé à saisir et à comprendre les sujets.
Karim el Haoud
Programme suisse de promotion des importations (SIPPO)
Maroc
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Fabriqué par l’Afrique : 94 chaînes de valeur pour stimuler le commerce intra-africain
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Un nouveau rapport de l’ITC montre que parmi les 94 chaînes de valeur réalisables identifiées en Afrique, les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile sont prioritaires pour stimuler le commerce intrarégional et créer des emplois pour les femmes et les jeunes.

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(Niamey/Genève) Des investissements dans les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile vont permettre de répondre aux objectifs de l’Afrique d'améliorer la sécurité alimentaire, la santé et les compétences technologiques, et donner un coup de fouet au commerce dans le cadre du marché de 2 500 milliards d'euros de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

C’est en substance le message d’un nouveau rapport intitulé Fabriqué par l'Afrique : Créer de la valeur par l'intégration, publié aujourd'hui à l’occasion du Sommet de l’Union africaine sur l’industrialisation et la diversification économique qui se tient à Niamey, au Niger. Le rapport est produit par le Centre du commerce international (ITC), en étroite collaboration avec la Commission de l'Union africaine et la Commission européenne.

Le rapport identifie 94 chaînes de valeur à fort potentiel pour le développement durable, chaque chaîne de valeur étant reliée à au moins cinq pays africains de différentes régions. En creusant davantage, quatre secteurs apparaissent comme particulièrement prometteurs, y compris pour les petites entreprises qui représentent 90 % des entreprises dans le monde génèrent plus de la moitié des emplois : les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile.

  • Les produits pharmaceutiques sont un secteur essentiel, en particulier au sortir de la pandémie, pour améliorer la santé et réduire les importations.
  • Face aux perturbations actuelles des chaînes d’approvisionnement mondiales, les aliments pour nourrissons, en s'appuyant sur le secteur agricole, vont contribuer à une sécurité alimentaire pérenne et une nutrition saine et durable.
  • Dans les pays les moins avancés d’Afrique, les vêtements en coton offrent à des millions de personnes la possibilité de trouver un emploi grâce à l'intégration de cette chaîne de valeur.
  • Le secteur automobile présente un fort potentiel de croissance du commerce intrarégional. Il offre en outre la possibilité de nouer des liens avec d'autres chaînes de valeur, telles que le cuir et les machines électriques, ainsi qu'avec des multinationales étrangères cherchant à investir.

Les entreprises, les organisations d'appui aux entreprises et les experts sectoriels en Afrique ont confirmé – à travers des milliers d'entretiens et de consultations – que ces secteurs sont propices à la croissance intrarégionale, et que leur transformation est déjà en cours.

En effet, dans les quatre chaînes de valeur sélectionnées, 77 % des entreprises interrogées écologisent déjà leurs processus de production, de la réduction de la consommation d'énergie et d'eau au recyclage des déchets, en passant par des investissements dans des emballages recyclables ou biodégradables et le développement de modèles commerciaux circulaires, comme la production de vêtements de haute qualité à partir de déchets de tissus et de vêtements d'occasion inutilisables.

Investir en Afrique, par l'Afrique
 

Les données de l'ITC montrent que le potentiel de croissance des exportations intra-africaines s'élève à 22 milliards de dollars.

Si les opportunités sont grandes, la nécessité d'agir l'est tout autant. L'empreinte de l'Afrique sur le marché international est encore faible, puisqu'elle ne représente que 2,3 % des exportations mondiales, avec un panier d'exportation essentiellement constitué de produits primaires et de ressources naturelles. Seuls 14 % des exportations du continent sont destinées à d'autres pays africains, et une grande partie de ce commerce concerne des produits transformés. Ce qui peut surprendre, c'est que le commerce intra-africain est plus diversifié et technologiquement plus avancé que le commerce de l'Afrique avec le reste du monde.

Le renforcement du commerce régional va permettre de renforcer la résilience et stimuler une industrialisation durable – ce qui ultimement contribuera à la création d'emplois et à l'amélioration des moyens de subsistance sur le continent.

En résumé, l'investissement dans la diversification et le renforcement des chaînes de valeur régionales, sous les auspices de l’accord de libre-échange continental, est essentiel pour libérer tout le potentiel économique et de développement de l'Afrique.
 

 

À propos du diagnostic des chaînes de valeur de l'ITC. Mandaté par l'Union africaine et la Direction générale des partenariats internationaux de la Commission européenne, l’ITC a mené un diagnostic des chaînes de valeur pour identifier les secteurs à fort potentiel pour le développement de chaînes de valeur durables et les goulets d'étranglement qui empêchent les entreprises de réaliser pleinement ce potentiel. De plus amples informations sur la méthodologie et le contexte sont disponible sur la page www.ntmsurvey.org/MadeByAfrica.

A propos du Centre du commerce international. Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr
 

Contact média

Susanna Pak
Responsable principale des communications stratégiques
Centre du commerce international (ITC)
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Stimuler le commerce du textile à travers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
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Les outils en ligne peuvent aider les pays de l'Accord d'Agadir à développer leurs entreprises de textile et d'habillement, tout en améliorant la coopération dans la région.

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Une meilleure coopération dans le secteur du textile et de l'habillement peut aider l'Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie à exploiter de nouvelles opportunités commerciales. À cette fin, ces pays doivent œuvrer de concert pour lever les barrières commerciales, sur la base de données fiables pour éclairer leurs décisions.

En marge de la foire internationale Destination Africa, le plus grand salon du textile et de l'habillement du continent, le Centre du commerce international (ITC) a réuni des représentants gouvernementaux et du secteur, ainsi que des institutions d'appui aux entreprises des quatre pays. Au cours de l'atelier d'une journée qui s'est tenu le 21 novembre au Caire, l'ITC a présenté les résultats préliminaires d'une enquête commerciale menée par son équipe Trade Market Intelligence. Cette enquête visait à identifier les mesures qui permettront d'assouplir les restrictions et de stimuler le commerce afin de développer les opportunités commerciales et de renforcer la coopération entre les pays signataires de l'Accord arabo-méditerranéen de libre-échange d'Agadir.

L'atelier a été organisé dans le cadre du Programme mondial pour le textile et l'habillement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (GTEX/MENATEX) de l'ITC. L'objectif était d'explorer les moyens de promouvoir l'Afrique du Nord en tant que fournisseur mondial de vêtements et de textiles.

Les réunions régionales comme celle-ci sont l'occasion de partager les connaissances au sein du secteur, d'identifier de meilleurs liens en matière d'approvisionnement et de marché, et de promouvoir collectivement l'Accord d'Agadir auprès des pays non-membres.

L'atelier a été l'occasion de montrer la manière d'identifier les opportunités commerciales intra-régionales en utilisant les outils d'analyse des marchés de l'ITC ainsi que le bureau d'assistance commerciale d'Euromed. Ce dernier fournit des informations sur le commerce pour 10 pays méditerranéens et les 27 États membres de l'Union européenne.

La formation a permis aux participants de s'inscrire sur la plateforme d'Euromed, d'apprendre grâce à des démonstrations et des exercices en direct, et de comprendre comment utiliser la dernière version de l'outil en ligne.

« La démonstration en direct du bureau d'assistance commerciale d'Euromed a montré qu'il était possible d'obtenir des informations commerciales précieuses pouvant aider à améliorer la transparence dans la région », a déclaré Mohamed Tared Issa, un responsable de l'ITC chargé de recherches sur les barrières commerciales.

« Ce fut un réel plaisir de présenter les résultats préliminaires de l'enquête de l'ITC sur les obstacles au commerce dans les pays de l'Accord d'Agadir », a-t-il poursuivit. « La formation d'une journée a favorisé des discussions animées sur la manière de surmonter les défis identifiés qui entravent l'intégration régionale ».

Ihab Qadri, le nouveau directeur du Syndicat du textile et de l'habillement de Jordanie, a expliqué avoir profité de l'atelier pour nouer des liens avec des pairs de la région, ce qui lui a permis de mieux comprendre comment coopérer plus efficacement avec chaque pays.

Les discussions ont également permis de révéler le potentiel inexploité des liens entre les marchés régionaux et des échanges commerciaux, ainsi que de l'échange de connaissances techniques.

Le programme de l'ITC a facilité la mise en relation du Centre égyptien de la mode et du design (FDC) avec le Centre jordanien de création de vêtements et de services de formation (GSC). Les deux organismes ont ainsi pu explorer les possibilités de collaboration, et une mission commerciale jordanienne s'est rendue en Égypte pour tisser des liens entre les petites entreprises des deux pays.

À propos du programme

 

Le Programme mondial pour le textile et l'habillement (GTEX) appuie les petites entreprises et les organisations d'appui aux entreprises travaillant dans l'industrie du textile et de l'habillement dans les pays en développement afin d'accroître leur compétitivité à l'exportation.

Le programme GTEX est financé par le Secrétariat d'État à l'économie (SECO) de la Confédération suisse et se concentre sur cinq pays prioritaires (Égypte, Maroc, Kirghizistan, Tadjikistan et Tunisie).

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ITC Actualités
Créer un écosystème numérique pour les entreprises africaines
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Il est crucial de promouvoir la technologie auprès des jeunes entreprises africaines afin de créer des économies inclusives et durables. Voici comment y parvenir.

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L'Afrique recèle un immense potentiel de croissance économique et de développement. Sa jeune population est un atout essentiel pour créer des économies inclusives et durables à travers tout le continent, et la technologie numérique est un moyen de libérer ce potentiel.

 

La construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines implique d'adopter une approche à multiples facettes et de collaborer avec diverses parties prenantes, notamment les gouvernements, les partenaires de développement, le secteur privé, les investisseurs et les entrepreneurs.

Ennovate, Tanzanie
Formation pratique dans le cadre du programme Digify Tech 2022 à Ennovate Ventures

Mettre la technologie au service des personnes et les personnes au service de la technologie

En tant qu'entrepreneur technologique en Afrique, j'ai été témoin de la transformation numérique qui façonne la manière dont les gens vivent, interagissent et effectuent des transactions sur les marchés à travers le continent, ce qui m'a encouragé à m'engager dans différents aspects de cette transformation.

L'adoption d'une économie numérique sur les marchés africains présente d'importants avantages, notamment la facilitation des transactions commerciales, la démocratisation de l'accès aux talents, aux financements et aux marchés, l'attraction des investissements et la création d'emplois. Mon travail chez Ennovate Ventures s'est concentré sur la création d'emplois décents pour les jeunes en Tanzanie et dans d'autres pays d'Afrique de l'Est.

Nous avons mis en œuvre toute une série de programmes qui visent à promouvoir l'entrepreneuriat numérique, tels que les programmes Building et Digify Tech proposés par Ennovate Ventures, en partenariat avec le projet Fast Track Tech du Centre du commerce international.

Ennovate Tanzania
Ennovate Tanzania

Dans le cadre de l'initiative Digify Tech, nous avons créé plus de 1 200 emplois directs et plus de 5 000 emplois indirects au cours des trois dernières années, et nous avons formé 1 257 travailleurs indépendants du secteur numérique à l'UI/UX, au marketing digital, à la création de contenu, et plus encore.

Toutefois, en dépit de notre succès, des défis majeurs subsistent : l'Afrique doit intensifier ses efforts pour élaborer des politiques favorables à la technologie, améliorer l'infrastructure numérique, développer les talents, combler les déficits de financement et résoudre les problèmes de confiance afin d'accélérer l'adoption de solutions numériques.

Les besoins pour un entrepreneuriat numérique prospère

Au cours de la conférence LDC5 de Doha, le secteur privé, les agences gouvernementales, les partenaires du développement et les jeunes leaders africains ont discuté de la manière dont les jeunes peuvent jouer un rôle de premier plan dans le développement numérique.

En collaboration avec le Centre du commerce international, nous avons partagé des exemples de réussite dans le développement de l'entrepreneuriat numérique au sein des communautés par le biais de formations, de forums de promotion du numérique, de plateformes dédiées aux travailleurs de plateformes (gig work) et de programmes d'éducation.

Voici les interventions qui, selon moi, peuvent renforcer les capacités des jeunes et créer un environnement propice à l'entrepreneuriat numérique :

  1. Infrastructure : La première étape dans la construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines est de créer des infrastructures qui fournissent une connectivité internet fiable, un accès à des équipements abordables et une fourniture électrique adéquate.
  2. Éducation au numérique : Une autre façon de créer une demande pour les travailleurs de plateformes est d'éduquer les propriétaires d'entreprises sur les avantages de la technologie numérique et de fournir une formation sur divers outils.
  3. Financement : Les gouvernements et les investisseurs privés peuvent fournir un financement et un appui cruciaux aux start-up prometteuses de l'industrie technologique.
  4. Réglementation : Les gouvernements doivent mettre en place des politiques et des réglementations claires et propices qui encouragent l'innovation tout en protégeant la propriété intellectuelle par des incitations fiscales, la protection des brevets, ainsi que la recherche et le développement.

Une collaboration stratégique à long terme

Les agences de développement peuvent également jouer un rôle essentiel dans la création des emplois numériques de demain.

À cette fin, elles devraient axer leur travail sur les interventions suivantes :

  • Se concentrer sur le développement des compétences numériques des jeunes ;
  • Travailler avec les organisations d'appui aux entreprises pour encourager l'entrepreneuriat des jeunes et ainsi favoriser l'accélération numérique ;
  • Promouvoir l'accès au financement ;
  • Collaborer avec le secteur privé pour améliorer l'infrastructure numérique, par exemple en subventionnant la connectivité internet, en créant des laboratoires numériques et en proposant des solutions logicielles ; et
  • Appuyer les réformes politiques pour créer un environnement commercial numérique propice.


La collaboration stratégique entre tous les partenaires doit commencer dès le lancement des projets et se poursuivre jusqu'à leur mise en œuvre. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons faire progresser l'économie numérique de l'Afrique et encourager l'esprit d'entreprise chez les jeunes.

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Francis Omorojie, Fondateur, Ennovate Ventures, République-Unie de Tanzanie
Creación de un ecosistema digital para las empresas de toda África
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¿Cómo promover la tecnología para que las jóvenes empresas africanas creen economías inclusivas y sostenibles? A continuación, le explicamos cómo. 

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África tiene un inmenso potencial de crecimiento económico y desarrollo. Su población joven es un activo fundamental para crear economías inclusivas y sostenibles en todo el continente y la tecnología digital puede ayudar a liberar ese potencial.

 

Para poder construir un ecosistema digital para las empresas en África es necesario disponer de un enfoque multidimensional en el que colaboren las partes interesadas, como el gobierno, los socios de desarrollo, el sector privado, los inversores y los empresarios.

Ennovate Tanzania
Formación práctica en el Digify Tech Programme de 2022 en Ennovate Ventures

Acercar la tecnología a la gente y la gente a la tecnología

Como emprendedor tecnológico en África, he participado y he sido testigo de las diferentes fases de la transformación digital que han moldeado la forma de vivir de las personas, así como sus interacciones y sus transacciones en los mercados de todo el continente.

Entre las ventajas clave de la adopción de una economía digital en los mercados africanos figuran la facilitación de las transacciones comerciales, la democratización del acceso al talento, las finanzas y los mercados, la atracción de inversiones y la creación de empleo. Mi trabajo en Ennovate Ventures se ha centrado en la creación de oportunidades de empleo digno para los jóvenes en la República Unida de Tanzanía y en otros países de África Oriental. 

Hemos puesto en marcha varios de programas que promueven el emprendimiento digital, como los Ennovate Tech Venture Building o Digify Tech, en colaboración con el proyecto FastTrackTech del Centro de Comercio Internacional.

Ennovate Tanzania
Ennovate Tanzania

A través de la iniciativa Digify Tech, hemos creado más de 1200 empleos directos y más de 5000 empleos indirectos en los últimos tres años y hemos formado a 1257 trabajadores autónomos digitales en los campos de la UI/UX, el marketing digital y la creación de contenidos, entre otros.

Pero a pesar de nuestro éxito, tenemos varios retos por delante: África necesita dar un paso al frente y desarrollar políticas que sean favorables para la tecnología, mejorar la infraestructura digital, hacer crecer el talento, abordar las lagunas de financiación y los problemas de confianza para acelerar la adopción de soluciones digitales.

¿Qué se necesita para que prospere el emprendimiento digital?

Durante la LDC5, celebrada en Doha, el sector privado, las agencias gubernamentales, los socios para el desarrollo y los líderes jóvenes de África debatieron sobre cómo la juventud puede desempeñar un papel clave en el desarrollo digital.

En colaboración con el Centro de Comercio Internacional, compartimos historias de éxito sobre el desarrollo del emprendimiento digital en las comunidades a través de la formación en diferentes habilidades, los foros digitales de defensa, la puesta en marcha de plataformas centradas en los trabajos para trabajadores autónomos y la educación.

Estas son las intervenciones que creo que pueden mejorar las capacidades de los jóvenes y proporcionar un entorno en el que pueda prosperar el emprendimiento digital:

  1. Infraestructura: el primer paso para construir un ecosistema tecnológico digital para las empresas en África es la creación de una infraestructura que proporcione una conectividad fiable a Internet, el acceso a dispositivos digitales asequibles y un suministro eléctrico adecuado.
  2. Educación digital: otra forma de aumentar la demanda de «trabajos por encargo» es educar a los propietarios de empresas sobre los beneficios de la tecnología y proporcionarles formación sobre las diversas herramientas.
  3. Financiación: los gobiernos y los inversores privados pueden proporcionar financiación y apoyo, que son cruciales para las nuevas empresas emergentes del sector tecnológico.
  4. Regulación: los gobiernos deben establecer políticas y normativas claras y favorables que promuevan la innovación y, al mismo tiempo, protejan la propiedad intelectual a través de los incentivos fiscales, la protección de patentes y la investigación y el desarrollo.

La colaboración estratégica contribuye de forma considerable

Las agencias de desarrollo también pueden desempeñar un papel fundamental en la creación de empleos digitales para el futuro.

Sus intervenciones deberían cumplir con lo siguiente:

  • Centrarse en el desarrollo de las competencias digitales de los jóvenes.
  • Trabajar con las organizaciones de apoyo empresarial para fomentar el emprendimiento de los jóvenes y la aceleración digital.
  • Promover el acceso a la financiación.
  • Colaborar con el sector privado para mejorar la infraestructura digital, por ejemplo subvencionando la conexión a Internet, abriendo laboratorios digitales y ofreciendo soluciones de software.
  • Apoyar las reformas normativas para alcanzar un entorno empresarial digital propicio.

 

La colaboración estratégica entre todos los socios debe comenzar al principio y mantenerse hasta la puesta en marcha. Sólo así podremos hacer avanzar la economía digital de África y apoyar el emprendimiento de los jóvenes.

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Francis Omorojie, Fundador, Ennovate Ventures, República Unida de Tanzanía

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