Publications

ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

Filter

147 results
Sort by:
Nouveau rapport sur le commerce : Améliorer la sécurité alimentaire dans les pays les moins avancés
Body

(Doha/Genève/New York) Le commerce peut contribuer à rendre les denrées alimentaires plus accessibles et plus abordables dans les pays les moins avancés (PMA), où plus de 60 % des personnes sont confrontées à l'insécurité alimentaire – deux fois plus que dans les pays en développement, et six fois plus que dans les pays développés.

Dans le contexte actuel d'instabilités mondiales croissantes, un nouveau rapport du Centre du commerce international (ITC) et de la principale agence des Nations Unies au service des pays les plus vulnérables, dont les PMA, met en évidence les options de politique commerciale qui permettraient d’appuyer ces pays dans leurs efforts de développement durable, un développement mené par le commerce et résilient face aux crises.

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l’ITC, et Rabab Fatima, Haute-Représentante du Bureau pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, ont annoncé aujourd’hui le lancement d’une publication intitulée Rapport sur le commerce des PMA 2023 : Améliorer la sécurité alimentaire (pour le moment en langue anglaise uniquement). Cette annonce intervient à l’occasion de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5) – une conférence qui se tient tous les dix ans, et dont l’édition 2023 est organisée à Doha, au Qatar.

Pour Mme Coke-Hamilton, « Les pays les moins avancés dépendent toujours d’exportations principalement constituées de produits de base, presque deux fois plus que les autres pays en développement. Il en résulte qu’ils demeurent plus vulnérables aux instabilités mondiales. En tant que communauté mondiale, il est de notre devoir de faire plus, et de faire mieux. Ce rapport élaboré conjointement avec le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés met en lumière les actions politiques concrètes que nous pouvons mener et qui feront la différence pour eux. »

De son côté, Mme Fatima a expliqué que « La vulnérabilité des pays les moins avancés aux chocs externes affecte les ménages pauvres, en particulier dans les zones rurales, ce qui les place en situation d’insécurité alimentaire. Cette situation a également un impact sur la paix et la sécurité mondiales. Le rapport dont nous annonçons aujourd’hui la publication met en lumière le rôle crucial que le commerce peut jouer dans le renforcement de la sécurité alimentaire. »

Le rapport met en avant deux grands volets de politiques commerciales susceptibles d'aider les pays les moins avancés à renforcer leur résilience : l'amélioration de l'accès aux marchés pour les importations alimentaires, et l'exploitation de sources alternatives d'approvisionnement alimentaire.

 

Améliorer l'accès aux marchés pour assurer la sécurité alimentaire
 

Les pays les moins avancés imposent actuellement un droit de douane de 17 % sur les importations alimentaires, tandis que les pays en développement et les pays développés ne prélèvent respectivement que 15 % et 8 %.

Les enquêtes de l'ITC menées entre 2010 et 2022 dans 17 pays parmi les moins avancés montrent que les obstacles réglementaires et procéduraux peuvent compliquer les importations alimentaires. Plus de la moitié (57 %) de tous les importateurs de produits alimentaires interrogés dans les PMA ont déclaré être affectés par des mesures non tarifaires, contre respectivement 34 % et 11 % dans les pays en développement et développés.

Dans les PMA, les difficultés auxquelles sont confrontés les importateurs de produits alimentaires sont liées aux évaluations douanières, aux surtaxes douanières et aux frais de manutention ou de stockage des marchandises. Les importateurs de PMA tels que la République-Unie de Tanzanie, l'Éthiopie et le Bangladesh rapportent que leurs plus grandes difficultés sont liées aux procédures qu'ils doivent suivre pour se conformer aux réglementations, plutôt qu'aux réglementations elles-mêmes. La résolution de ces difficultés permettra de réduire les retards et les coûts, et surtout aidera à acheminer plus rapidement les articles essentiels là où ils sont le plus nécessaires.

Les initiatives d'intégration régionale, telles que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), jouent un rôle primordial pour exonérer le commerce intrarégional de droits de douane, harmoniser les réglementations et rationaliser les procédures.

 

Exploiter de nouvelles sources d'approvisionnement alimentaire

 

En moyenne, les PMA importent leurs denrées alimentaires de 77 fournisseurs distincts. Les pays en développement et les pays développés comptent pour leur part respectivement 117 et 163 partenaires pour leur approvisionnement alimentaire. Pour certains produits essentiels, tels que le riz ou les huiles végétales, près des quatre cinquièmes des importations totales des PMA sont concentrées par seulement un fournisseur, parfois deux.

Les politiques visant à améliorer les liens entre le commerce et la sécurité alimentaire doivent donc se concentrer sur des facteurs tels que la diversification des fournisseurs et le renforcement des chaînes de valeur agroalimentaires régionales, ce qui permettrait aux PME d'accroître leur résilience face aux instabilités mondiales.
 

Renforcer le commerce des PMA grâce à des partenariats mondiaux
 

Les procédures d'importation défavorables, la dépendance à l'égard d'une poignée de fournisseurs et l'absence de chaînes de valeur régionales ne sont que les aspects d'un problème plus large : les pays les moins avancés ne représentent qu'environ 1 % du commerce mondial, malgré l'objectif de doubler leur part dans les exportations mondiales d'ici à 2020.

Le commerce, lorsqu'il est bien géré, peut être un outil efficace pour s'attaquer aux causes profondes des obstacles qui freinent les pays les moins avancés. Les investissements dans le renforcement des capacités des petites entreprises – qui représentent 95 % des emplois dans les PMA – à vendre sur les marchés régionaux et internationaux peut stimuler un développement mené par le commerce.

Le commerce joue donc un rôle essentiel pour les PMA, comme le souligne le Programme d'action de Doha. Ce Programme est conçu pour aider les PMA à trouver la voie qui leur permettra d'atteindre les objectifs de développement durable.

Le rapport conjoint lancé aujourd'hui est accompagné d'un site internet gratuit, le LDC Trade Tracker, qui permet de suivre les tendances et les modèles plus larges du commerce des PMA grâce à des graphiques interactifs et téléchargeables. Pour de plus amples informations sur le rapport, consultez la page internet ITC@LDC5.

 

 

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre des objectifs de développement durable des Nations Unies. Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

À propos du Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement – Le Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement a été créé en 2001 pour appuyer 91 États membres vulnérables. Les 46 pays les moins avancés (PMA), les 32 pays en développement sans littoral (PDSL) et les 38 petits États insulaires en développement (PEID) sont confrontés à des défis qui leur sont propres pour atteindre le développement durable et les objectifs convenus au niveau international. Dirigé par la Haute Représentante, le Bureau mobilise l'appui international et plaide en faveur de ces trois groupes de pays vulnérables. Il s'efforce de sensibiliser au potentiel économique, social et environnemental qui existe dans ces pays et veille à ce que les besoins pressants des 1,1 milliard de personnes qui y vivent demeurent en tête de l'agenda international.

 

Contacts médias

Susanna Pak
Chargée des communications stratégiques
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Responsable du plaidoyer et de la sensibilisation
Bureau de la Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement
Courriel : conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
Tél. : +1 917 328 8316

Header color
Cyan
Announcement type
Topic (for relations)
Geographic priority (for relations)
Structure and management (for relations)
ITC Actualités
Contextual tags
Nuevo informe comercial: Mejorar la seguridad alimentaria en los países menos adelantados
Body

(Doha/Ginebra/Nueva York) El comercio puede aumentar la disponibilidad y asequibilidad de los alimentos en los países menos adelantados (PMA), donde más del 60 % de la población se enfrenta a la inseguridad alimentaria, el doble que en los países en desarrollo y seis veces más que en los países desarrollados.

En un contexto de creciente inestabilidad mundial, un nuevo informe del Centro de Comercio Internacional (ITC) y de la principal agencia de las Naciones Unidas de apoyo a los países menos adelantados destaca las opciones de política comercial para ayudarles a trabajar hacia un desarrollo sostenible impulsado por el comercio, frente a las crisis.

La Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, y Rabab Fatima, Alta Representante para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo Sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (ONU-OARPPP), presentaron en Doha, Qatar, el informe LDC Trade Report 2023: Improving Food Security hoy durante la 5ª Conferencia de las Naciones Unidas sobre los Países Menos Adelantados (LDC5), una conferencia que se celebra una vez cada diez años.

La Sra. Coke-Hamilton declaró: «Los países menos adelantados siguen dependiendo de las exportaciones de productos básicos casi el doble que otros países en desarrollo, y siguen siendo más vulnerables a las inestabilidades mundiales. Como comunidad mundial, tenemos que hacer más, y tenemos que hacerlo mejor. Este informe conjunto con la OARPPP destaca las acciones políticas concretas que podemos poner en marcha para cambiar su situación».

La Sra. Fátima añadió: «La vulnerabilidad de los países menos adelantados a los impactos externos afecta a los hogares pobres, especialmente en las zonas rurales, y provoca inseguridad alimentaria. Esto repercute en última instancia en la paz y la seguridad mundiales. El informe que estamos aquí presentando arroja luz sobre el papel crucial que puede desempeñar el comercio en el fortalecimiento de la seguridad alimentaria».

El informe destaca los siguientes dos grupos principales de políticas comerciales para ayudar a los países menos adelantados a reforzar su capacidad de resiliencia: mejorar el acceso a los mercados de importación de alimentos y aprovechar fuentes alternativas de suministro de alimentos.

Mejorar el acceso a los mercados para la seguridad alimentaria

 

Los países menos adelantados imponen actualmente un arancel del 17% a las importaciones de alimentos, mientras que los países en desarrollo y desarrollados gravan con un 15% y un 8%, respectivamente.

Las encuestas realizadas por el ITC en 17 países menos adelantados entre 2010 y 2022 muestran que los obstáculos normativos y de procedimiento pueden complicar las importaciones de alimentos. Más de la mitad (57 %) de todos los importadores de alimentos entrevistados en los PMA declararon verse afectados por las medidas no arancelarias, frente al 34 % y el 11 % en los países en desarrollo y desarrollados, respectivamente.

Los importadores de alimentos de los PMA se enfrentan a retos relacionados con las valoraciones aduaneras, los recargos aduaneros y las tasas de manipulación o almacenamiento de mercancías. Las empresas importadoras de los PMA en países como la República Unida de Tanzanía, Etiopía y Bangladesh informaron de que sus mayores dificultades estaban relacionadas con los procedimientos que deben seguir para cumplir la normativa, más que con la normativa en sí. Afrontar estos retos reducirá los retrasos y los costes y ayudará a canalizar rápidamente los artículos esenciales hacia donde más se necesitan.

Las iniciativas de integración como la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) tienen un importante papel que desempeñar para que el comercio intrarregional esté libre de impuestos, se armonicen las normativas y se agilicen los procedimientos. 

 

Explorar nuevas fuentes de suministro de alimentos

 

Mientras que de media los PMA importan alimentos de 77 proveedores distintos, los países en desarrollo y desarrollados se abastecen de 117 y 163. En el caso de determinados productos, como el arroz o los aceites vegetales, casi cuatro quintas partes del total de las importaciones de los PMA proceden de uno o dos únicos proveedores.

Las políticas destinadas a mejorar los vínculos entre el comercio y la seguridad alimentaria tendrían en cuenta factores como la diversificación de proveedores y el fortalecimiento de las cadenas de valor agroalimentarias regionales para aumentar la resiliencia ante las inestabilidades mundiales.

 

Reforzar el comercio de los PMA mediante asociaciones mundiales

 

Los procedimientos de importación desfavorables, la dependencia de unos pocos proveedores y la falta de cadenas de valor regionales forman parte de un problema más amplio: los países menos adelantados sólo representan alrededor del 1 % del comercio mundial, a pesar del objetivo de duplicar su cuota de exportaciones mundiales para 2020.

El comercio, si se gestiona bien, puede ser una herramienta para abordar las causas profundas de los obstáculos que frenan a los países menos adelantados. Invertir en el desarrollo de la capacidad de las pequeñas empresas, que representan el 95 % de los empleos en los PMA, para vender en los mercados regionales e internacionales puede impulsar el desarrollo impulsado por el comercio.

El comercio desempeña un papel clave para los PMA, como se destaca en el Programa de Acción de Doha. El Programa de Acción de Doha está diseñado para ayudar a los PMA a volver a la senda de la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible.

Este informe conjunto va acompañado de un sitio web gratuito, el LDC Trade Tracker, que permite el seguimiento de las tendencias y patrones más amplios del comercio de los PMA a través de gráficos interactivos y descargables. Si desea más información sobre el informe, visite la página web del ITC en la LDC5.

 

Acerca del Centro de Comercio Internacional: El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las microempresas y a las pequeñas y medianas empresas radicadas en los países en desarrollo para que sean más competitivas en los mercados mundiales, y contribuye así a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas. Para más información, visite www.intracen.org. Siga al ITC en Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

Acerca de la Oficina del Alto Representante de las Naciones Unidas para los Países Menos Adelantados, los Países en Desarrollo sin Litoral y los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo - La OARPPP se creó en 2001 y presta servicio a 91 Estados miembros vulnerables. Los 46 Países Menos Adelantados (PMA), los 32 Países en Desarrollo sin Litoral (PDSL) y los 38 Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (PEID) se enfrentan a sus propios retos para alcanzar el desarrollo sostenible y los objetivos acordados por la comunidad internacional. Dirigida por la Alta Representante, la UN-OARPPP moviliza el apoyo internacional y aboga en favor de los tres grupos de países vulnerables. La oficina trabaja para concienciar sobre el potencial económico, social y medioambiental que existe en estos países y garantizar que las acuciantes necesidades de los 1100 millones de personas que viven en ellos, sigan ocupando un lugar destacado en la agenda internacional.

 

Contactos para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
ITC
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) 
Teléfono: +41 22 730 0651
Teléfono celular: +41 79 667 4660

Conor O'Loughlin
Jefe de Promoción y Divulgación
UN-OARPPP
E: conor.oloughlin [at] un.org (conor[dot]oloughlin[at]un[dot]org)
T: +1 917 328 8316

Header color
Cyan
Announcement type
Topic (for relations)
Geographic priority (for relations)
Structure and management (for relations)
ITC Noticias
Contextual tags

This paper guides exporters, packers and processors of organic food products through packaging souring and selection options.It helps them understand requirements and formulate their own packaging strategies, thereby creating new opportunities and competitiveness in their business. It includes an...

Download

This paper guides exporters, packers and processors of organic food products through packaging souring and selection options.It helps them understand requirements and formulate their own packaging strategies, thereby creating new opportunities and competitiveness in their business. It includes an...

Download

Buying quinoa contributes to better livelihoods for rural Peruvian communities, according to a new ITC study. The study provides much-needed data on the impact of changing market prices on the welfare of rural households in the altiplano of Peru. The findings inform policymakers about the benefits...

Download

Buying quinoa contributes to better livelihoods for rural Peruvian communities, according to a new ITC study. The study provides much-needed data on the impact of changing market prices on the welfare of rural households in the altiplano of Peru. The findings inform policymakers about the benefits...

Download

Las normas desempeñan en el comercio internacional y las cadenas de valor del mundo un papel cada vez más destacado, pero sabemos muy poco de sus efectos reales en dichas cadenas. Desde un enfoque bibliográfico, Efectos de las normas privadas en las cadenas de valor del mundo...

Download

Bien que les normes jouent un rôle de plus en plus important dans le commerce international et les chaînes de valeur mondiales, on en sait peu sur leurs effets réels sur ces chaînes. En appliquant une approche systématique de la documentation, L'impact de normes privées sur les chaînes de...

Download
¿Volverán las ferias comerciales a ser lo que eran?
Body lead

¿Aceptará el mundo pospandémico 80.000 visitantes durante tres días en un solo lugar de celebración?

 

Body

Lo más probable es que la respuesta sea «no». La crisis de la COVID-19 ha trastornado el mundo de los exportadores y las instituciones de promoción del comercio, especialmente la forma en la que hacen negocios y participan en actividades tradicionales como las ferias de comercio.

Como comprador, hoy en día es posible conectarse con proveedores de todo el mundo desde la comodidad de su casa, sin tener que perder tiempo o dinero viajando. En la actualidad los eventos son o bien 100% digitales o bien híbridos, con una pequeña feria de comercio física a la que le sigue la puesta en marcha de una plataforma B2B (empresa a empresa) disponible las 24 horas durante los seis meses posteriores al evento. Esta es la nueva normalidad y los exportadores deben prepararse para ella.

El ITC tiene como misión formar e informar a los exportadores e instituciones de apoyo al comercio sobre cómo prosperar en este nuevo entorno empresarial virtual, que no permite organizar ferias como antes.

No obstante, estas nuevas formas de eventos pueden salirle a un exportador tan caras como lo eran antes las ferias comerciales tradicionales. Por muy tentador que sea inscribirse a numerosas ferias virtuales híbridas, podría no ser efectivo o podría no generar ventas reales.

A continuación le proporcionamos las 10 preguntas que todo exportador debería hacerse antes de inscribirse a una feria virtual:

1. ¿Esta feria es adecuada para mí? ¿Cuál es la feria de exportación de ingredientes a granel para procesadores de alimentos, SIAL o ANUGA? ¿O quizás es Food Ingredients Europe?

2. ¿Cuáles son los costes? ¿Dispone de la capacidad exportadora necesaria para generar suficientes ventas adicionales más allá de su base actual de clientes para que financieramente le valga la pena asistir a la feria?

3. ¿Es este el momento adecuado? Elija una feria antes del comienzo de la campaña de exportación para sacar el máximo partido de sus nuevos contactos.

4. ¿Dispondré del tiempo necesario para prepararme y asistir, además de mis deberes comerciales habituales? Dependiendo de dónde se celebre la feria virtual, puede que se espere de usted que interactúe con compradores a última hora del día o por la noche.

5. ¿Puedo exportar a este mercado? El alcance de las ferias de comercio virtuales es mucho mayor que el de las físicas. En las virtuales es posible establecer contacto con compradores de todo el mundo, pero no le será posible vender en todo el mundo. Compruebe los mercados objetivo donde se pueden aplicar restricciones a las exportaciones agrícolas (como Australia, Canadá, China y los Estados Unidos).

6. ¿Mi material publicitario está listo para su exhibición? Asegúrese de que su empresa tiene visibilidad en línea (LinkedIn, Instagram, Twitter, vídeos promocionales, página web, etc.).

7. ¿Mi cadena de suministro es transparente y está organizada y certificada? Sus compradores estarán tranquilos si usted dispone de certificaciones.

8. ¿Qué métodos internacionales de pago debería usar con los nuevos clientes? Si dispone de seguro de crédito, incorpore su coste al precio de exportación.

9.  ¿Cómo puedo exportar a nuevos mercados? Sea perspicaz con la logística. Quizás sepa cómo exportar a sus mercados habituales, ¿pero cómo hacerlo a mercados desconocidos? ¿Es rentable? ¿Es competitivo su negocio?

10. ¿Puedo mantener el interés de los nuevos o potenciales compradores? Estructure su seguimiento a los potenciales compradores tras el evento virtual. Sea metódico y adáptelo a su campaña de exportación Conecte con ellos de una forma regular.

Header color
Cyan
Announcement type
Audience (for relations)
Focus area (for relations)
Frederine Derlot, Responsable de programa, Frutas y verduras, Centro de Comercio Internacional
Foires commerciales : Tout change et rien ne change
Body lead

Le monde post-COVID-19 verra-t-il encore des rassemblements de 80 000 personnes sur trois jours ?

 

Body

Probablement pas. La crise sanitaire a bouleversé le monde des exportateurs et des institutions d’appui au commerce, en particulier leur manière de faire des affaires et les activités traditionnelles telles que les foires commerciales.

Les acheteurs maintiennent à présent le lien avec leurs fournisseurs du monde entier depuis le confort de leur salon, sans plus dépenser ni temps ni argent en déplacement. Les événements sont devenus virtuels, parfois entièrement, parfois avec une petite partie en présentiel, et les dispositifs de réseau en B2B demeurent actifs jusque six mois après, à toute heure du jour et de la semaine. C’est le nouveau « normal » auquel les exportateurs doivent se préparer.

L’ITC est là pour former et informer les exportateurs et les institutions d’appui sur la manière de prospérer dans ce nouvel environnement virtuel, sans pouvoir exposer, présenter ou faire essayer ses produits.

Par ailleurs, ces événements au nouveau format peuvent se révéler aussi onéreux pour les exportateurs que les anciennes formules. S’il est tentant de multiplier les inscriptions aux foires virtuelles, ce n’est gage ni d’efficacité ni de succès en termes de ventes.

Voici les dix questions que les exportateurs doivent considérer avant de se lancer dans une exposition virtuelle :

1. Est-ce la bonne foire pour moi ? Pour exporter des ingrédients en vrac à destination de l’industrie agroalimentaire, vaut-il mieux opter pour SIAL ou ANUGA ? Ou peut-être Food Ingredients Europe ?

2. Quels sont les coûts ? Ma capacité d’exportation est-elle suffisante pour conclure assez de ventes, au-delà de ma base client actuelle, et ainsi rentabiliser ma participation ?

3. Est-ce le bon moment ? Ne vaut-il pas mieux choisir une foire avant le début de la prochaine saison d’exportation, afin d’optimiser les nouveaux contrats ?

4. Aurai-je assez de temps pour me préparer et participer, en plus de mes activités habituelles ? Selon la région où est organisée la foire, je risque de devoir interagir avec les acheteurs tard le soir, ou même en pleine nuit.

5. Puis-je exporter sur ce marché ? La portée d’une foire virtuelle dépasse largement celle d’une foire physique. Il sera possible de rencontrer des acheteurs du monde entier, ce qui ne garantit pas que je puisse exporter partout dans le monde. Il faut donc vérifier au préalable les marchés cibles qui pourraient imposer des restrictions (comme l’Australie, le Canada, la Chine et les États-Unis).

6. Mon matériel de promotion, est-il prêt ? Il faut m’assurer que l’entreprise est bien visible en ligne et à jour (LinkedIn, Instagram, Twitter, vidéos de l’entreprise, site internet, etc.).

7. Ma chaîne d’approvisionnement, est-elle transparente, organisée et certifiée ? Il faudra rassurer les acheteurs grâce aux certifications.

8. Quels sont les moyens de paiement international que je veux utiliser pour mes nouveaux clients ? Si j’opte pour l’assurance-crédit, je ne dois pas oublier de l’intégrer dans le prix à l’export.

9. Comment vais-je exporter vers les nouveaux marchés ? Il faut anticiper la logistique. Je connais la manière d’exporter vers les marchés habituels, mais qu’en est-il des autres ? Est-ce rentable ? Serai-je encore compétitif ?

10. Pourrai-je maintenir la dynamique ? Il faudra structurer le suivi après la foire virtuelle, être méthodique et l’adapter à la saison des exportations, et pouvoir contacter mes clients de manière régulière.

Header color
Cyan
Announcement type
Audience (for relations)
Frederine Derlot, Responsable de programme, Fruits & légumes, Centre du commerce international
El ITC subraya la importancia de la reducción de la pérdida y el desperdicio de alimentos en la reunión de SAVE FOOD
Body

En una reunión de asociación de la Iniciativa SAVE FOOD de la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO), celebrada en Roma, se pusieron de relieve los esfuerzos del Centro de Comercio Internacional (ITC) para la reducción de la pérdida y el desperdicio de alimentos. La reunión tuvo lugar el 10 y el 11 de diciembre de 2013 y reunió a unos 150 participantes provenientes de 54 instituciones activas en la reducción de la pérdida y el desperdicio de alimentos. Kofi Essuman, Asesor Superior del ITC, en su comparecencia sobre el tema "Medio ambiente e inversión en los países en desarrollo" habló sobre las áreas principales en las que la inversión del sector privado puede reducir la pérdida y el desperdicio de alimentos.

SAVE FOOD, la Iniciativa mundial sobre las pérdidas y el desperdicio de alimentos, forma parte del Reto del Hambre Cero de las Naciones Unidas. Esta iniciativa conecta a grupos de asociaciones públicas, privadas o de la sociedad civil involucradas en cualquier etapa de la producción, el procesamiento o el consumo de alimentos. Aproximadamente un tercio de los alimentos producidos anualmente en el mundo destinados para el consumo humano, unos 1.300 millones de toneladas, es desperdiciado. El valor de las pérdidas y el desperdicio de alimentos van desde los $EE.UU. 680.000 millones en los países industrializados hasta los $EE.UU. 310.000 millones en los países en desarrollo.

En palabras del Sr. Essuman, "La motivación y el calado de la inversión del sector privado en la reducción de la pérdida y el desperdicio de alimentos en muchos países en desarrollo es a menudo baja debido a la pobre infraestructura, un sector financiero débil, una transferencia tecnológica y capacidad humana inadecuada y los altos costes de hacer negocios."

"Durante años, el ITC se ha asociado con instituciones del sector público y privado en los países en desarrollo para invertir en intervenciones de valor añadido en las cadenas de valores de los alimentos para facilitar con ello el comercio y reducir la pérdida y el desperdicio de alimentos. Entre las intervenciones realizadas destacan la capacitación de grupos de agricultores y empresas, la mejora de la producción y de los procesos de adición de valores, la prestación de soluciones de embalaje, la capacitación local en los sistemas de calidad, y la prestación de formación y servicios de asesoramiento en la gestión de la cadena de suministro y de soluciones empresariales para facilitar el vínculo con los mercados,"dijo.

En la reunión de la FAO se presentaron dos casos prácticos del trabajo del ITC en la ayuda a grupos de agricultores en Ghana y Benin para la exportación de piñas y boniatos.

Header color
Cyan
Announcement type
Topic (for relations)
ITC Noticias
L'ITC souligne l'importance de réduire les pertes et gaspillages alimentaires lors de la réunion SAVE FOOD
Body

Les efforts du Centre du commerce international (ITC) pour réduire les pertes et gaspillages alimentaires ont été soulignés lors d'une réunion de partenariat sur l'Initiative SAVE FOOD de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Rome. La réunion s'est déroulée les 10 et 11 décembre 2013, et a rassemblé plus de 150 participants venant de 54 institutions qui sont actives dans la réduction des pertes et gaspillages alimentaires. Intervenant sur le thème « Permettre l'environnement et l'investissement dans les pays en développement », Kofi Essuman, Conseiller principal de l'ITC sur la chaîne de valeur des exportations, a présenté les domaines clefs pour l'investissement du secteur privé permettant de réduire les pertes et gaspillages alimentaires.

SAVE FOOD, l'Initiative mondiale de réduction des pertes et gaspillages alimentaires, fait partie du Défi Faim Zéro des Nations Unies. Elle rassemble un groupe d'organisations publiques, privées et civiles, impliquées à tous les niveaux de la production alimentaire, le traitement et la consommation. Environ un tiers de la nourriture produite dans le monde pour la consommation humaine chaque année – approximativement 1,3 milliards de tonnes – est perdue ou gaspillée. Les pertes et gaspillages alimentaires se montent à environ $E.-U. 680 milliards dans les pays industrialisés et $E.-U. 310 milliards dans les pays en développement.

M. Essuman précise : « La motivation et le niveau d'investissement du secteur privé dans la réduction des pertes et gaspillages alimentaires dans de nombreux pays en développement sont souvent faibles, ceci étant dû à de pauvres infrastructures, un secteur financier faible, des transferts de technologies et des capacités humaines inadéquats, et le coût élevé de faire des affaires.

Depuis plusieurs années, l'ITC a établi des partenariats avec les institutions des secteurs publics et privés dans les pays en développement, pour investir dans des interventions à valeur ajoutée le long de la chaîne de valeur alimentaire, afin de faciliter le commerce et réduire les pertes et gaspillages de nourriture. Les interventions comprennent le renforcement des capacités des groupes et entreprises agricoles, l'amélioration de la production et des processus d'ajout de valeur, la fourniture d'ensembles de solutions, le renforcement des capacités locales dans les systèmes de qualité, et la fourniture de formations et de services de conseils en gestion de la chaîne d'approvisionnement, ainsi que des solutions commerciales pour faciliter les relations aux marchés. »

Deux études de cas du travail de l'ITC pour aider des groupes de fermiers à exporter des ananas et des ignames au Ghana et au Bénin, ont été présentés comme exemple lors de la réunion de la FAO.


Header color
Cyan
Announcement type
Topic (for relations)
ITC Nouvelles
Narrow resultsNarrow results down by: