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ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

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Le travail d'équipe est aussi un travail de rêve
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Lier la technologie à l'agriculture : un projet pilote de l'ITC montre à quoi ressemble une collaboration réussie. Un récit rapporté du Ghana.

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Un agriculteur, un fondateur d'une entreprise fintech et un spécialiste des centres d'appels entrent dans un bar... Cela ressemble au début d'une blague, mais en août 2022, c'est exactement ce qui s'est passé dans la région nord-ouest du Ghana.

Dans le cadre du programme Netherlands Trust Fund V mené par le Centre du commerce international (ITC), plusieurs représentants de start-up et d'entreprises informatiques « sont entrés dans un bar » pour déjeuner avec des agriculteurs lors d'une excursion de trois jours dans un district où abondent les exploitations de cacao.

Le cacao du Ghana et de la Côte d'Ivoire représente 70 % de l'approvisionnement mondial en cacao brut utilisé dans la fabrication de produits en chocolat. Afin de stimuler le secteur par l'ajout de valeur à la chaîne d'approvisionnement du cacao, l'ITC explore des manières innovantes de mettre à profit la technologie dans une industrie typiquement non technologique. Cet objectif requiert un effort délibéré et concerté, qui passe par l'alignement des visions, l'adhésion des parties prenantes, et une communication assidue entre les acteurs des deux secteurs.

C'est à cet objectif que s'est employé l'ITC lors de ce premier voyage. La rencontre entre deux équipes, l'une représentant le secteur technologique (que je menais) et une autre constituée de représentants du secteur agroalimentaire, a permis d'initier l'alignement et le rapprochement de ces deux secteurs, en vue de profiter aux entreprises que nous cherchons à appuyer.

L'ITC appuie les services basés sur la technologie, notamment les systèmes de paiement (comme Paybox Global) ou les plateformes de crowdfunding en ligne (comme Grow For Me), qui permettent d'améliorer la chaîne de valeur agricole. Ces solutions sont une aide précieuse pour les différents acteurs de la chaîne de valeur agricole, des agriculteurs aux différents intermédiaires, et permettent au passage de renforcer les services à valeur ajoutée.

Cacao fabriqué au Ghana
De retour d'une visite de trois exploitations de cacao : les directeurs des entreprises d'externalisation des processus commerciaux, Hatua Technology et Eitsec Ghana, et le directeur de TroTro Tractor, une start-up agritech (au premier plan)

Établir des bases communes

Au cours de ce voyage axé sur l'association de la technologie et de l'agriculture, Larry Attipoe, Coordinateur du programme Alliances pour l'action de l'ITC en faveur d'un secteur agroalimentaire inclusif au Ghana, a relevé les avantages que la technologie peut apporter à l'agriculture, comme par exemple la possibilité pour les jeunes agriculteurs de contrôler leur système d'irrigation depuis leur téléphone mobile. De mon côté, même si mon rôle consiste à coordonner le pôle technologique de ce projet au niveau national, j'ai pu apporter une solide compréhension du volet agricole en raison de l'activité de ma famille et de mes amis dans ce secteur. Cette compréhension et ces intérêts communs ont facilité l'alignement des visions pour assurer le succès de ce nouveau projet.

Participant également au voyage, des fondateurs d'entreprises technologiques basés à Accra ont pu non seulement déguster des barres de chocolat mais aussi assister à plusieurs étapes du processus de fabrication du chocolat. Ainsi, grâce à la visite d'une ferme et aux discussions avec son exploitant, à la rencontre avec la plus grande association de cultivateurs de cacao (KKFU), et à la visite d'une usine de fabrication de chocolat (Fairafric), ces experts en technologie ont pu retracer l'ensemble de la chaîne de valeur du chocolat.

À chaque étape, toutes les parties prenantes concernées ont pris le temps de se réunir autour d'une table, et se sont concertées pour identifier les défis et les opportunités, et déterminer les plans futurs. Parmi les défis communs identifiés figuraient le manque de données, le besoin de centres d'appels et l'exigence de traçabilité. En entendant les besoins exacts exprimés par les différents participants (agriculteurs, gestionnaires d'entrepôt, dirigeants d'associations, responsables d'usine), les représentants des start-up technologiques ont évoqué les solutions existantes et réfléchi à d'autres solutions plus innovantes.

Pour aider à développer des solutions numériques qui répondent concrètement aux besoins des acteurs de la chaîne de valeur du cacao, le projet s'appuie sur l'approche mise en œuvre.par le programme Alliances pour l'action de l'ITC. Ce modèle agroalimentaire durable fonctionne de manière ascendante, transformant les systèmes alimentaires par le biais de partenariats éthiques et intelligents sur le plan climatique.

GhanaTech ITCShares
La cohorte du voyage comprend les équipes du programme Netherlands Trust Fund V de l'ITC (en faveur des secteurs de la technologie et de l'agriculture), les représentants de start-up technologiques et d'entreprises d'externalisation des processus commerciaux, ainsi que de la société d'achat de cacao. Isaac, l'auteur de cet article, apparaît en bas à droite.

Une mission prometteuse

Toute collaboration exige de se dégager du temps, ce qui implique souvent des sacrifices et des efforts pour que cela fonctionne. Au Ghana, ce n'est pas différent, peut-être même plus difficile avec les embouteillages !

Malgré ces défis initiaux, les équipes sont restées en contact autant que possible, s'invitant mutuellement à des événements et maintenant un canal de communication étroit entre toutes les parties prenantes, y compris celles basées à Genève.

Grâce à cette nouvelle collaboration intersectorielle, nous verrons l'essor des services numériques dans le secteur agricole du Ghana, avec, par exemple, des solutions de paiement mobile pour éviter de se déplacer jusqu'à la ville la plus proche pour ce type d'opération bancaire, ou un service de location de tracteurs que l'on peut réserver depuis le confort de son domicile.

Ces services devraient conduire à des rendements plus élevés et à une meilleure qualité de vie pour ceux qui les utilisent. Tous, nous avons hâte d'exploiter plus amplement cette opportunité, et de poursuivre ce travail d'équipe pour concrétiser notre rêve commun.

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Isaac Newton Acquah, Centre du commerce international
Trabajo en equipo, trabajo de ensueño
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La vinculación de la tecnología a la agricultura en un proyecto piloto del ITC da sus frutos. Una historia de Ghana.

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Un agricultor, un fundador de una empresa de tecnología financiera y un especialista en centros de atención telefónica entran en un bar... esto podría parecer el comienzo de un chiste cualquiera, pero en agosto de 2022, esto es exactamente lo que ocurrió en la región noroeste de Ghana.

Como parte del programa del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V del ITC, varias empresas tecnológicas emergentes de subcontratación de procesos comerciales  «entraron en un bar» para almorzar con productores de cacao durante una visita de campo de tres días de duración a un distrito del país.

El cacao de Ghana y de Côte d'Ivoire representa el 70 % de la materia prima mundial necesaria para la elaboración del chocolate. El ITC está explorando la posible implantación de innovaciones tecnológicas en una industria típicamente no tecnológica con el objetivo de impulsar el sector por medio de la adición de valor a la cadena de suministro del cacao. Para que esto ocurra es necesario tener una visión común, la aceptación por parte de los participantes y una comunicación frecuente y fluida entre los dos sectores.

Y esto es precisamente lo que hizo el ITC en este primer viaje. Dos equipos del ITC, el del sector tecnológico que yo dirijo y el de agronegocios, se alinearon y unieron a estos dos sectores, con un resultado beneficioso para las empresas a las que apoyamos.

El ITC apoya la implantación de servicios basados en la tecnología en la cadena de valor agrícola entre los que se incluyen los sistemas de pago (por ejemplo, Paybox Global) o plataformas de micromecenazgo en línea (por ejemplo, Grow For Me).  Estas soluciones apoyan a los distintos participantes en la cadena de valor agrícola, desde el agricultor hasta los diversos intermediarios, y refuerzan los servicios de valor añadido en todo el camino.

Cacao de Ghana
Cacao de Ghana
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Volviendo del viaje a las tres explotaciones de cacao, los Consejeros Delegados de las empresas de subcontratación de procesos comerciales, Hatua Technology y Eitsec Ghana, y el Consejero Delegado de TroTro Tractor, una empresa emergente de agrotecnología (en primer plano)

Sentar bases comunes

Durante este viaje de encuentro entre la agricultura y la tecnología, Larry Attipoe, Coordinador del Programa de Agronegocios Inclusivos de Alianzas para la Acción del ITC en Ghana, compartió los beneficios que la tecnología puede aportar a la agricultura, como el hecho de que los jóvenes agricultores controlen sus sistemas de riego desde sus smartphones. Yo, el coordinador nacional de tecnología del proyecto, por otra parte, tenía un sólido conocimiento de la agricultura gracias a mi familia y amigos y este conocimiento e intereses comunes facilitaron la alineación de las visiones para este nuevo proyecto.

Durante el viaje, los empresarios no sólo disfrutaron de tabletas de chocolate, sino que también descubrieron las diferentes etapas del proceso de fabricación del chocolate. Desde la visita a una explotación agrícola y la interacción con los agricultores y con la mayor asociación de agricultores de cacao (KKFU) hasta la visita a una fábrica de chocolate (Fairafric), los expertos recorrieron toda la cadena de valor del chocolate.

En cada etapa, todas las partes interesadas se sentaron y analizaron los retos, las oportunidades y los planes futuros. Los retos comunes eran la falta de datos y de centros de atención telefónica y la trazabilidad. Al escuchar las necesidades exactas de las distintas partes interesadas (los agricultores, los almacenes, la asociación y la fábrica), las empresas tecnológicas emergentes tuvieron la oportunidad de pensar en soluciones existentes o innovadoras.

Para ayudar a desarrollar soluciones digitales que realmente se ajusten a las necesidades de los actores de la cadena de valor del cacao, el proyecto aprovecha el enfoque de Alianzas para la Acción del ITC. Este modelo de agronegocios sostenibles funciona de abajo arriba, y transforma los sistemas alimentarios por medio de la creación de asociaciones éticas y respetuosas con el medio ambiente.

GhanaTech ITCShares
El grupo del viaje estaba formado por los equipos del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V (agro y tecnología) del ITC, los representantes de las empresas de subcontratación de procesos comerciales y la empresa de compra de cacao. Isaac, el autor de este artículo, está abajo a la derecha.

Una misión prometedora

Encontrar tiempo para colaborar y alcanzar el éxito a menudo implica sacrificio y desviarse del camino. En Ghana no es diferente, quizás incluso más difícil con los atascos.

A pesar de estos retos iniciales, los equipos se mantuvieron en contacto entre sí en la medida de lo posible, y se invitaron mutuamente a diversos eventos y mantuvieron un canal de comunicación estrecho entre todos, incluidos los equipos en Ginebra.

Gracias a esta nueva colaboración intersectorial, seremos testigos del auge de los servicios digitales como por ejemplo, las soluciones de pago por móvil, que ahorrarán a los agricultores los desplazamientos al banco más cercano de la ciudad, o el alquiler de tractores desde la comodidad del hogar.

Estos servicios deberían conducir a un aumento de los rendimientos y a una mejor calidad de vida para quienes los utilizan. Y esperamos seguir explotando esta oportunidad y colaborar en pos de este objetivo común.

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Isaac Newton Acquah, Centro de Comercio Internacional
Les pôles technologiques façonnent l'avenir de l'Afrique
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Les compétences numériques et la technologie jouent un rôle crucial pour stimuler l'esprit d'entreprise des jeunes en Afrique.

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L'esprit d'entreprise est un facteur clé dans le développement de toute économie. L'engagement des jeunes dans des activités commerciales, quel que soit le secteur d'activité, apporte de nombreux avantages, tels que la création d'emplois, des rentrées en devises étrangères croissantes et une contribution formidable à la résolution des problèmes socio-économiques.

Les jeunes sont essentiels pour faire avancer l'entrepreneuriat. L'Afrique étant le continent le plus jeune du monde, avec environ 65 % de sa population âgée de moins de 35 ans, elle est bien placée pour connaître une croissance économique régulière (Tracey et Kahuthia 2017).

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Premier pôle technologique de la Zambie

BongoHive est le premier pôle technologique et d'innovation de la Zambie. Il appuie les jeunes entrepreneurs à travers divers programmes, en plaçant l'innovation et la technologie au cœur de son action.

La technologie stimule l'esprit d'entreprise chez les jeunes. Elle leur permet d'acquérir de nouvelles compétences plus facilement et de rechercher des opportunités, non seulement en Afrique, mais aussi dans le monde entier. Cet essor s'explique par l'accès croissant aux plateformes numériques, qui facilitent la mise en réseau et les interactions avec des acteurs clés dans le monde entier.

En outre, grâce à la technologie, les jeunes peuvent accéder aux marchés à la fois locaux et internationaux, où ils peuvent mettre en pratique leurs compétences numériques dans différentes forces de travail.

Les pôles technologiques comme BongoHive jouent un rôle central dans l'appui à l'entrepreneuriat car ils fournissent une plateforme où les jeunes entrepreneurs peuvent apprendre, collaborer et partager les compétences nécessaires et les opportunités pour intégrer des idées innovantes dans leur entreprise.

Les services liés aux technologies de l'information renforcent l'entrepreneuriat car ils permettent de fournir des produits et des services de manière bien plus efficace, en raison de la baisse des coûts qu'ils génèrent le long des chaînes de valeur. Cette amélioration contribue à son tour de manière positive au développement économique, à la création d'emplois et à une meilleure qualité de vie pour les individus.

 

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Les compétences numériques facteurs de succès des programmes éducatifs

Pour renforcer davantage l'impact des compétences numériques et de la technologie sur l'entrepreneuriat en Afrique, nous prônons l'intégration de ces compétences dans les programmes éducatifs. Il est crucial de montrer aux jeunes que les solutions numériques peuvent être appliquées à la résolution des problèmes sociétaux.

En accordant aux compétences numériques la place qui leur revient dans ses programmes, le système éducatif va fournir aux jeunes les outils indispensables pour créer des produits et des services par lesquels résoudre des problèmes concrets.

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Les défis de l'accès

Le coût élevé de l'accès aux plateformes en ligne est l'un des défis qui prévaut à travers l'Afrique, car il restreint l'accès aux installations et aux équipements qui permettent d'assurer une présence en ligne.

Du coup, bon nombre de jeunes n'ont malheureusement pas l'occasion de mettre en pratique les compétences numériques acquises, entre autres par manque d'accès à ces plateformes.

C'est pourquoi nous encourageons les jeunes à creuser davantage les options et les solutions offertes par la technologie. Elle constitue un outil puissant qui, allié à l'esprit d'entreprise, peut être mis à profit pour résoudre bon nombre de problèmes.

Nous espérons que les décideurs politiques vont démocratiser l'accès à Internet en créant davantage de plateformes, afin que les jeunes entrepreneurs puissent se former aux compétences numériques, et les mettre en pratique. Ils sont notre avenir.

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Simunza Muyangana, Directeur, et Peter Nawa, Responsable de l'entrepreneuriat, BongoHive, Zambie
Los centros tecnológicos modelan el futuro de África
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Las habilidades digitales y la tecnología desempeñan un papel crucial para impulsar el emprendimiento entre los jóvenes de África

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El emprendimiento ha demostrado ser un actor clave en el desarrollo de cualquier economía. Cuando los jóvenes se dedican a actividades empresariales se obtienen numerosos beneficios como la creación de empleo, el aumento de las reservas de divisas y una inmensa contribución a la solución de los problemas socioeconómicos.

Los jóvenes son la clave para impulsar el emprendimiento. África es el continente más joven del mundo, con cerca del 65 % de la población menor de 35 años, por lo está en buena posición para que su economía siga creciendo de forma constante (Tracey y Kahuthia 2017).

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El primer centro tecnológico de Zambia

BongoHive es el primer centro tecnológico y de innovación de Zambia y ha apoyado a los jóvenes empresarios del país a través de diversos programas en los que la innovación y la tecnología son los ejes centrales.

En África, al igual que en el resto del mundo, la tecnología apoya al emprendimiento de los jóvenes, ya que facilita el aprendizaje de nuevas habilidades y la búsqueda de oportunidades. Esto es posible gracias a plataformas digitales, que facilitan la creación de redes de contacto y las interacciones con actores clave de todo el mundo.

Además, la tecnología abre los mercados locales e internacionales a los jóvenes, que pueden poner en práctica sus habilidades digitales en distintos ámbitos laborales.

Los centros tecnológicos como BongoHive desempeñan un papel crucial en el apoyo al emprendimiento, ya que proporcionan una plataforma en la que los jóvenes empresarios pueden aprender, colaborar y compartir las habilidades y oportunidades necesarias para incorporar ideas innovadoras a sus negocios.

Los servicios de tecnologías de la información apoyan el emprendimiento y hacen que la entrega de productos y servicios sea más eficiente debido a la reducción de costes a lo largo de la cadena de valor. Esto, al crear puestos de trabajo y mejorar la calidad de vida de las personas, contribuye a su vez al desarrollo económico.

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Incluir las habilidades digitales en los programas educativos para lograr un impacto

Para mejorar aún más el impacto que las habilidades digitales y la tecnología tienen en los empresarios de África, creemos que estas deberían integrarse en el sector educativo y exponer a la gente a formas de solucionar los problemas de la sociedad por medio de la puesta en marcha de soluciones digitales.

Al fin y al cabo, es necesario disponer de un sistema educativo que incorpore las competencias digitales para que los jóvenes creen productos y servicios que resuelvan problemas reales.

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Los retos del acceso

El elevado coste de acceso a las plataformas en línea es uno de los retos que prevalece en toda África, ya que no todo el mundo tiene acceso a instalaciones y equipos que permitan el acceso a internet.

Por desgracia, los jóvenes no siempre tienen la oportunidad o disponen de las plataformas para poner en práctica las habilidades digitales adquiridas.

Por eso animamos a los jóvenes a explorar más opciones y soluciones que se encuentran en el mundo de la tecnología. La tecnología es una herramienta poderosa que puede aprovecharse para resolver problemas, a través del emprendimiento.

Esperamos que los encargados de formular políticas faciliten el acceso a Internet y creen más plataformas para que los jóvenes empresarios aprendan y pongan en práctica las competencias digitales. Los jóvenes son nuestro futuro.

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Simunza Muyangana, Director, y Peter Nawa, Jefe del departamento de Emprendimiento de BongoHive, Zambia
Una pequeña empresa tunecina se ha propuesto triunfar en la cosmética ecológica
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Aprovechando el auge de los productos ecológicos, Bouchra Masrour se ha hecho un hueco en la industria cosmética tunecina. Bouchra cultiva los ingredientes, elabora los productos y los vende. Y ahora, está lista para exportar.

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¡Viva con salud y viva feliz!
Do not show

Este es el lema de Bouchra Masrour.

También es la razón por la que dejó una carrera de 18 años en una clínica privada tunecina para embarcarse en una nueva aventura, dando vida así a su pasión por los cosméticos orgánicos.

El argán y el olivo: corazón del patrimonio marroquí

Bouchra, de origen marroquí, heredó el amor por el cultivo del olivo y el argán. El aceite que se obtiene de los espinosos árboles de argán es un producto típicamente marroquí utilizado para elaborar productos de belleza y de cocina que son una parte esencial de la vida cotidiana de las mujeres de su país natal. 

Estos productos son el resultado de tradiciones artesanales milenarias y proporcionan ingresos y cohesión social a las redes de mujeres rurales que los elaboran.

En 2016, tras mudarse a Túnez, Bouchra creó Bahia Cosmetics, que fabrica productos de belleza orgánicos y naturales certificados. Todos los productos están libres de amoníaco y tienen envases respetuosos con el medio ambiente.

«Cuando me di cuenta de que Túnez importaba aceite de argán de Francia, decidí fabricar productos ecológicos certificados a partir de nuestra cosecha local», explica.

Su amor por la naturaleza ha tendido un puente entre su formación científica, sus conocimientos de fitoterapia y su herencia marroquí. El resultado es su marca Bahia Cosmetics.

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20 September 2022

Una industria ecológica en auge

Bahia Cosmetics comenzó su andadura con dos empleados y un pequeño taller en un laboratorio certificado.

El laboratorio proporciona las materias primas y Bahia Cosmetics añade sus aceites vegetales y esenciales, elaborados a partir de argán importado de Marruecos y de aceitunas y semillas de higo chumbo cultivadas en Túnez.

Túnez es el primer país del mundo en estandarizar el aceite de semillas de higo chumbo y establecer sus especificaciones técnicas, sus criterios de calidad y su composición.

En cuanto al aceite de oliva, Túnez es el cuarto productor mundial después de España, Italia y Grecia, y produjo unas 350.000 toneladas en la campaña 2019/2020.

El marido de Bouchra es agricultor, y juntos cultivan higos, olivos, lentisco y romero en tierras para producción orgánica certificada de la región de Kairuán, sin pesticidas ni insecticidas.

Para cosechar el romero y la almáciga, la resina del lentisco, la empresa emplea a mujeres locales. Esto le permite mantener las tradiciones a la vez que empodera a las mujeres con puestos de trabajo.

Además, Bouchra pertenece a un grupo de mujeres emprendedoras que trabajan para comerciar a través del Mercado Común para África Oriental y Meridional. Conocido como COMESA, el bloque comercial incluye a 21 países, entre ellos la vecina Libia y el cercano Egipto.

Cosmética tunecina

En 2018, Bahia Cosmetics creció y contrató a cinco técnicos de laboratorio y dos agentes de ventas. La empresa dispone de una sala de exposiciones en Kairuán, una ciudad en el desierto del interior del país, así como un punto de venta en la capital, y abastece directamente a varias farmacias.

El sector tunecino de la perfumería y la cosmética podría crecer mucho más si se aprovechara más el potencial agrícola y humano del país. La industria está formada principalmente por empresas pequeñas y dinámicas con una excelente capacidad de innovación.

Sin embargo, el sector se ve obstaculizado por el sistema fiscal nacional y otras barreras.

El futuro

Bouchra recibió formación del Centro de Comercio Internacional (ITC), en el marco del Proyecto de comercio electrónico para mujeres emprendedoras en Túnez.

«Siempre buscamos mejorar nuestras habilidades. Para nosotros, entrar en el programa del ITC es una gran oportunidad para mejorar nuestros conocimientos y habilidades en marketing digital», afirmó.

«Gracias al programa del ITC, hemos podido desarrollar nuestro propio sitio de comercio electrónico. Ahora podemos vender más productos, nuestra producción ha aumentado y nuestros empleados están muy contentos por tener más ingresos».

La formación también incluyó secciones específicas sobre la creación de planes de negocio, el desarrollo de contenidos y fotografía profesional.

Tras la formación, Bouchra se unió a Little Jenaina e ILEY'COM, dos mercados digitales tunecinos, y contrató a un gestor de comunidades.

Con sus nuevos conocimientos de marketing digital y sus excelentes productos, Bouchra se siente ahora preparada para conquistar los mercados regionales e internacionales.

«Pronto me gustaría abrir una sucursal en Marruecos, por su gran potencial de compra, y luego expandirme a los mercados de los países del Golfo», afirmó.

Para poder entrar en los mercados de los países del Golfo, planea revisar su estrategia de marca para atraer al mercado de lujo.

El Proyecto de comercio electrónico para mujeres emprendedoras en Túnez del Centro de Comercio Internacional aspira a aumentar las exportaciones de las pequeñas empresas dirigidas por mujeres a través de los mercados digitales, un nuevo canal que ofrece oportunidades empresariales innovadoras. El objetivo es crear nuevos empleos para las mujeres y garantizar un desarrollo social y económico más inclusivo y sostenible.

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Emma Begag, Centro de Comercio Internacional
Lumière, caméra, action ! Un film de l'ITC dans les festivals
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Bravo ! Burkina était une sélection officielle du festival de Sundance et a fait l'ouverture du FESPACO, le festival du film panafricain.

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Le cinéma africain est en plein essor et l'ITC soutient cette tendance.

Un programme phare de l'ITC, l'Initiative de mode éthique, œuvre dans le domaine de la mode et des industries créatives depuis plus de dix ans. Son initiative de renforcement de l'identité et de partage des affaires, financée par l'Union européenne (UE), met en valeur la créativité et le talent dans les domaines de la mode, de la photographie, du cinéma et de la musique. L'initiative collabore avec le secteur privé pour renforcer le secteur culturel et accroître ses exportations.

Ce film, écrit et réalisé par l'Américain d'origine nigériane Walé Oyéjidé, suit un garçon du Burkina Faso qui fuit son village et émigre dans le nord de l'Italie pour y trouver du travail. Quelque temps plus tard, désillusionné par un chagrin d'amour et hanté par les souvenirs de son pays natal, il se faufile dans le temps dans l'espoir de retrouver tout ce qu'il a perdu.

Le tournage de Bravo ! Burkina s'est déroulé en l'espace de deux semaines, entre le Burkina Faso et l'Italie, et a bénéficié de la pleine participation de deux entreprises sociales partenaires : CABES (créée dans le cadre de l'Initiative de mode éthique) à Ouagadougou, et Lai Momo à Bologne, en Italie. Le film a été réalisé avec le soutien financier de l'UE.

La distribution non conventionnelle mêlait des acteurs professionnels et amateurs issus des communautés où se déroulait le tournage. Ce fut l'occasion pour les artisans du Burkina Faso et d'Italie d'exposer leur travail.

Walé Oyéjidé décrit le jeune garçon burkinabé qui tenait le rôle principal du film, et qui faisait là ses débuts d'acteur, comme un « génie de l'écran », promis à « une nouvelle carrière ».

Le casting de personnes amateures était important pour Walé Oyéjidé, car tout en étant une création artistique, le film a permis de « créer de nouveaux emplois et de nouveaux parcours de vie » pour les personnes impliquées.

Il espère que cette approche va inspirer les grandes sociétés cinématographiques à monter des projets similaires. Son intention est de recadrer le thème de la migration et, à travers cette histoire humaine, de changer le point de vue du public.

Le film est maintenant sur le circuit des festivals internationaux. Bravo ! Burkina a été présenté dans la catégorie NEXT à Sundance (le plus grand festival de films indépendants des États-Unis), qui met en avant les films ayant une « approche innovante et avant-gardiste de la narration ».

Le 24 février dernier, le film a fait l'ouverture du FESPACO, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, qui présente des cinéastes et des productions de tout le continent.

Poster for the Bravo! Burkina film
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ITC Actualités
Fabriqué par l’Afrique : 94 chaînes de valeur pour stimuler le commerce intra-africain
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Un nouveau rapport de l’ITC montre que parmi les 94 chaînes de valeur réalisables identifiées en Afrique, les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile sont prioritaires pour stimuler le commerce intrarégional et créer des emplois pour les femmes et les jeunes.

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(Niamey/Genève) Des investissements dans les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile vont permettre de répondre aux objectifs de l’Afrique d'améliorer la sécurité alimentaire, la santé et les compétences technologiques, et donner un coup de fouet au commerce dans le cadre du marché de 2 500 milliards d'euros de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

C’est en substance le message d’un nouveau rapport intitulé Fabriqué par l'Afrique : Créer de la valeur par l'intégration, publié aujourd'hui à l’occasion du Sommet de l’Union africaine sur l’industrialisation et la diversification économique qui se tient à Niamey, au Niger. Le rapport est produit par le Centre du commerce international (ITC), en étroite collaboration avec la Commission de l'Union africaine et la Commission européenne.

Le rapport identifie 94 chaînes de valeur à fort potentiel pour le développement durable, chaque chaîne de valeur étant reliée à au moins cinq pays africains de différentes régions. En creusant davantage, quatre secteurs apparaissent comme particulièrement prometteurs, y compris pour les petites entreprises qui représentent 90 % des entreprises dans le monde génèrent plus de la moitié des emplois : les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile.

  • Les produits pharmaceutiques sont un secteur essentiel, en particulier au sortir de la pandémie, pour améliorer la santé et réduire les importations.
  • Face aux perturbations actuelles des chaînes d’approvisionnement mondiales, les aliments pour nourrissons, en s'appuyant sur le secteur agricole, vont contribuer à une sécurité alimentaire pérenne et une nutrition saine et durable.
  • Dans les pays les moins avancés d’Afrique, les vêtements en coton offrent à des millions de personnes la possibilité de trouver un emploi grâce à l'intégration de cette chaîne de valeur.
  • Le secteur automobile présente un fort potentiel de croissance du commerce intrarégional. Il offre en outre la possibilité de nouer des liens avec d'autres chaînes de valeur, telles que le cuir et les machines électriques, ainsi qu'avec des multinationales étrangères cherchant à investir.

Les entreprises, les organisations d'appui aux entreprises et les experts sectoriels en Afrique ont confirmé – à travers des milliers d'entretiens et de consultations – que ces secteurs sont propices à la croissance intrarégionale, et que leur transformation est déjà en cours.

En effet, dans les quatre chaînes de valeur sélectionnées, 77 % des entreprises interrogées écologisent déjà leurs processus de production, de la réduction de la consommation d'énergie et d'eau au recyclage des déchets, en passant par des investissements dans des emballages recyclables ou biodégradables et le développement de modèles commerciaux circulaires, comme la production de vêtements de haute qualité à partir de déchets de tissus et de vêtements d'occasion inutilisables.

Investir en Afrique, par l'Afrique
 

Les données de l'ITC montrent que le potentiel de croissance des exportations intra-africaines s'élève à 22 milliards de dollars.

Si les opportunités sont grandes, la nécessité d'agir l'est tout autant. L'empreinte de l'Afrique sur le marché international est encore faible, puisqu'elle ne représente que 2,3 % des exportations mondiales, avec un panier d'exportation essentiellement constitué de produits primaires et de ressources naturelles. Seuls 14 % des exportations du continent sont destinées à d'autres pays africains, et une grande partie de ce commerce concerne des produits transformés. Ce qui peut surprendre, c'est que le commerce intra-africain est plus diversifié et technologiquement plus avancé que le commerce de l'Afrique avec le reste du monde.

Le renforcement du commerce régional va permettre de renforcer la résilience et stimuler une industrialisation durable – ce qui ultimement contribuera à la création d'emplois et à l'amélioration des moyens de subsistance sur le continent.

En résumé, l'investissement dans la diversification et le renforcement des chaînes de valeur régionales, sous les auspices de l’accord de libre-échange continental, est essentiel pour libérer tout le potentiel économique et de développement de l'Afrique.
 

 

À propos du diagnostic des chaînes de valeur de l'ITC. Mandaté par l'Union africaine et la Direction générale des partenariats internationaux de la Commission européenne, l’ITC a mené un diagnostic des chaînes de valeur pour identifier les secteurs à fort potentiel pour le développement de chaînes de valeur durables et les goulets d'étranglement qui empêchent les entreprises de réaliser pleinement ce potentiel. De plus amples informations sur la méthodologie et le contexte sont disponible sur la page www.ntmsurvey.org/MadeByAfrica.

A propos du Centre du commerce international. Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr
 

Contact média

Susanna Pak
Responsable principale des communications stratégiques
Centre du commerce international (ITC)
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) ou press [at] intracen.org (press[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

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ITC Actualités
Stimuler le commerce du textile à travers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
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Les outils en ligne peuvent aider les pays de l'Accord d'Agadir à développer leurs entreprises de textile et d'habillement, tout en améliorant la coopération dans la région.

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Une meilleure coopération dans le secteur du textile et de l'habillement peut aider l'Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie à exploiter de nouvelles opportunités commerciales. À cette fin, ces pays doivent œuvrer de concert pour lever les barrières commerciales, sur la base de données fiables pour éclairer leurs décisions.

En marge de la foire internationale Destination Africa, le plus grand salon du textile et de l'habillement du continent, le Centre du commerce international (ITC) a réuni des représentants gouvernementaux et du secteur, ainsi que des institutions d'appui aux entreprises des quatre pays. Au cours de l'atelier d'une journée qui s'est tenu le 21 novembre au Caire, l'ITC a présenté les résultats préliminaires d'une enquête commerciale menée par son équipe Trade Market Intelligence. Cette enquête visait à identifier les mesures qui permettront d'assouplir les restrictions et de stimuler le commerce afin de développer les opportunités commerciales et de renforcer la coopération entre les pays signataires de l'Accord arabo-méditerranéen de libre-échange d'Agadir.

L'atelier a été organisé dans le cadre du Programme mondial pour le textile et l'habillement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (GTEX/MENATEX) de l'ITC. L'objectif était d'explorer les moyens de promouvoir l'Afrique du Nord en tant que fournisseur mondial de vêtements et de textiles.

Les réunions régionales comme celle-ci sont l'occasion de partager les connaissances au sein du secteur, d'identifier de meilleurs liens en matière d'approvisionnement et de marché, et de promouvoir collectivement l'Accord d'Agadir auprès des pays non-membres.

L'atelier a été l'occasion de montrer la manière d'identifier les opportunités commerciales intra-régionales en utilisant les outils d'analyse des marchés de l'ITC ainsi que le bureau d'assistance commerciale d'Euromed. Ce dernier fournit des informations sur le commerce pour 10 pays méditerranéens et les 27 États membres de l'Union européenne.

La formation a permis aux participants de s'inscrire sur la plateforme d'Euromed, d'apprendre grâce à des démonstrations et des exercices en direct, et de comprendre comment utiliser la dernière version de l'outil en ligne.

« La démonstration en direct du bureau d'assistance commerciale d'Euromed a montré qu'il était possible d'obtenir des informations commerciales précieuses pouvant aider à améliorer la transparence dans la région », a déclaré Mohamed Tared Issa, un responsable de l'ITC chargé de recherches sur les barrières commerciales.

« Ce fut un réel plaisir de présenter les résultats préliminaires de l'enquête de l'ITC sur les obstacles au commerce dans les pays de l'Accord d'Agadir », a-t-il poursuivit. « La formation d'une journée a favorisé des discussions animées sur la manière de surmonter les défis identifiés qui entravent l'intégration régionale ».

Ihab Qadri, le nouveau directeur du Syndicat du textile et de l'habillement de Jordanie, a expliqué avoir profité de l'atelier pour nouer des liens avec des pairs de la région, ce qui lui a permis de mieux comprendre comment coopérer plus efficacement avec chaque pays.

Les discussions ont également permis de révéler le potentiel inexploité des liens entre les marchés régionaux et des échanges commerciaux, ainsi que de l'échange de connaissances techniques.

Le programme de l'ITC a facilité la mise en relation du Centre égyptien de la mode et du design (FDC) avec le Centre jordanien de création de vêtements et de services de formation (GSC). Les deux organismes ont ainsi pu explorer les possibilités de collaboration, et une mission commerciale jordanienne s'est rendue en Égypte pour tisser des liens entre les petites entreprises des deux pays.

À propos du programme

 

Le Programme mondial pour le textile et l'habillement (GTEX) appuie les petites entreprises et les organisations d'appui aux entreprises travaillant dans l'industrie du textile et de l'habillement dans les pays en développement afin d'accroître leur compétitivité à l'exportation.

Le programme GTEX est financé par le Secrétariat d'État à l'économie (SECO) de la Confédération suisse et se concentre sur cinq pays prioritaires (Égypte, Maroc, Kirghizistan, Tadjikistan et Tunisie).

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La mangue et le manioc objets de nouveaux contrats au West Africa Connect
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Les producteurs de manioc, de mangues et d'autres produits ont noué de nouveaux partenariats lors de l'événement régional consacré à l'agrotechnologie.

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Angele Tawari a lancé son entreprise agroalimentaire dans une zone rurale du Bénin en 2012, avec en tout et pour tout 34 dollars. Dix ans plus tard, son entreprise, Floor, transforme des produits typiquement africains, comme la mangue, le fruit du baobab et les graines de fonio. Ses produits sont mûrs pour le marché régional, mais elle peine toujours à obtenir le financement qui lui permettrait d'y accéder.

Ce problème de financement, qui affecte tant d'entreprises comme celle de Mme Tawari, était précisément au cœur du salon West Africa Connect 2022, qui a rassemblé des entreprises alimentaires et technologiques de 16 pays.

Mme Tawari y a rencontré une entreprise agrotechnologique basée au Nigéria, Kitovu Technology, avec laquelle elle s'est associée. Ensemble, ils prévoient d'étendre leur empreinte dans la région en établissant une agence de Kitovu Technology à Natitingou, au Bénin, où l'unité de production de Mme Tawari est basée.

L'entreprise agritech intégrera Floor dans sa plateforme de financement coopératif afin de soutenir son épargne, ses investissements et sa gestion financière. En outre, la plateforme lui permettra de se connecter à une base de données de clients ciblés, d'opportunités d'investissement, d'épargne et de capital.

« West Africa Connect a été une excellente occasion de présenter mon produit, et m'a permis de rencontrer des partenaires clés », témoigne Mme Tawari. « Je suis ravie que ma participation à cet événement m'ait ouvert l'accès à des financements. Je compte bien participer à de nombreux événements de ce type à l'avenir. »

Floor figurait parmi plus de 90 entreprises participant à la rencontre organisée à Accra, la capitale du Ghana. Des représentants d'organisations de promotion du commerce, d'associations d'entreprises d'Afrique de l'Ouest et 25 acheteurs internationaux étaient également présents.
 

Saisir les opportunités de partenariat

Display at West Africa Connect 2022
Businesses showcase their products at the West Africa Connect 2022.
Photo by ITC

Bosun Solarin, Fondateur de Dasun Integrated Farms Limited au Nigéria, et Victor Johnson, Fondateur de Lion Food Snack & Beverage Limited en Sierra Leone, ont décidé de collaborer dans la chaîne de valeur du manioc.

Ils ont décidé de former un groupe pour mettre en commun leurs activités, en y associant trois autres petites entreprises basées au Burkina Faso, au Bénin et au Ghana, afin de décrocher des contrats internationaux.

« Contrairement à d'autres conférences, cet événement était axé sur des chaînes de valeur spécifiques », explique M. Solarin. « C'était l'occasion d'interagir avec d'autres entrepreneurs partageant les mêmes idées. Grâce à cet événement, j'ai pris conscience de la force de la collaboration. »

Grâce à leur large couverture géographique, ces entreprises comptent également identifier les lacunes du marché régional en vue d'éventuelles opportunités d'approvisionnement en farine de manioc et autres produits agroalimentaires à base de manioc.

Plus de 170 réunions de ce type ont eu lieu pendant les deux jours de l'événement, qui s'est concentré sur la manière dont les entreprises technologiques peuvent travailler avec les chaînes de valeur de la mangue et du manioc.

Les ateliers ont aussi été suivis par des participants en ligne, qui ont créé des catalogues digitaux de produits et programmé des réunions virtuelles.

Outre les contacts avec des acheteurs potentiels, les entreprises d'Afrique de l'Ouest ont également établi des liens entre elles pour mieux faire face aux contraintes de l'offre et de la demande dans la région.

Les entreprises Partners Agriculture Holdings du Ghana et Ouattara Trading de la Côte d'Ivoire ont discuté de la possibilité d'exploiter les variations saisonnières de la récolte des mangues dans les pays où ils opèrent. Par exemple, Ouattara Trading dispose de succursales au Sénégal, où la mangue est disponible jusqu'en octobre, ce qui permet d'en exporter vers le Ghana où la saison se termine en juin.

« En cette saison, le Sénégal produit encore des mangues, alors qu'au Ghana et au Burkina Faso, la récolte est déjà passée. Une relation de ce type pourrait grandement nous aider à conserver un accès à des mangues fraîches pendant toute la saison », explique Abdul Soabir Shaani de Partners Agriculture Holdings. « Nous sommes venus ici en tant que fournisseurs, et nous voilà en train de devenir nous-mêmes des acheteurs ! »

Le salon West Africa Connect 2022 a été organisé par le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP). Il s'est tenu sur deux jours, les 20 et 21 septembre 2022, à Accra.

L'événement s'est déroulé en marge de la conférence de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest avec le soutien de l'Union économique et monétaire ouest-africaine. Il a été organisé en collaboration avec le Centre du commerce international et l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel, avec l'appui financier de la Délégation européenne au Ghana.

Les différents panels de discussion portaient sur le potentiel d'exportation, la numérisation, la qualité, l'investissement, l'inclusion du genre et la certification des produits. Les stands d'exposition présentaient des produits à base de manioc et de mangue.

La plateforme en ligne de West Africa Connect est restée disponible après l'événement pour que les entreprises puissent continuer à échanger, à s'associer et à commercer.
 

À propos du Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP)

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) vise à appuyer des chaînes de valeur sélectionnées aux niveaux national et régional afin de promouvoir la transformation structurelle et un meilleur accès aux marchés régionaux et internationaux, tout en tenant compte des préoccupations sociales et environnementales. Son objectif global est de renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et d'améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international.

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Relier les acheteurs et fournisseurs durables : le Réseau intelligent sur le climat
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(Genève/Washington, DC) Les acheteurs du monde entier peuvent désormais entrer en contact avec des fournisseurs de petite taille qui s'adaptent au changement climatique ou contribuent à l'atténuer grâce au Réseau intelligent sur le climat, développé par le Centre du commerce international (ITC) en partenariat avec le Bureau des partenariats mondiaux du Département d'État des États-Unis. Cette plateforme est la première du genre à regrouper les profils d'acheteurs et de fournisseurs dédiés au développement durable dans un même répertoire. D'envergure mondiale et facilement consultable, celui-ci compte aujourd'hui plus de 55 000 profils.

Les petites entreprises peuvent utiliser la plateforme pour présenter les mesures climato-intelligentes qu'elles mettent en œuvre et leur conformité aux normes de durabilité de tierces parties. Elles pourront ainsi attirer certains des plus grands acheteurs mondiaux qui cherchent à s'approvisionner auprès de fournisseurs écologiques, y compris ceux des pays en développement. Les petites entreprises peuvent également utiliser la plateforme pour accéder à des outils qui les aideront à réduire leurs émissions et à s'adapter aux effets du dérèglement climatique.

Les acheteurs pourront protéger leurs chaînes d'approvisionnement contre les effets du changement climatique en accédant aux données de la plateforme – approuvées par l'ITC, la principale agence des Nations Unies appuyant les petites entreprises pour leur permettre de se relier aux marchés mondiaux – afin de vérifier les affirmations des fournisseurs nouveaux et potentiels en matière d'intelligence climatique. Ils pourront également ajouter du contenu et des données pour étayer leur profil d'entreprise et partager des ressources pour aider leurs fournisseurs à effectuer la transition vers une économie à faible émission de carbone.

La dernière mise à jour de la plateforme a fait l'objet d'une annonce à l'occasion du sommet Aim for Climate, qui s'est tenu à Washington, DC, du 8 au 10 mai. Cette mise à jour comprend l'ajout de 45 000 producteurs bio certifiés par le Département de l'agriculture des États-Unis (USDA), répartis dans plus de 100 pays.

Rejoignez le Réseau intelligent sur le climat ici

 

Parlant de cette initiative, l'envoyé spécial du Président des États-Unis pour le climat, John Kerry, a déclaré : « Je suis ravi de constater que 45 000 exploitations et entreprises bio certifiées figurant dans la base de données de l'USDA sur l'intégrité font désormais partie du Réseau intelligent sur le climat. En élargissant ce réseau d'acheteurs et de fournisseurs, nous pourrons mieux lutter contre les émissions de la chaîne d'approvisionnement. »

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a ajouté : « Les petites entreprises ont un rôle majeur à jouer dans la transition vers une économie à faibles émissions de carbone, car elles représentent la quasi-totalité des entreprises et la majorité des emplois dans le monde, y compris dans les pays en développement. Le Réseau intelligent sur le climat va les aider à réduire leur empreinte environnementale tout en leur offrant la plateforme dont elles ont besoin pour entrer en contact avec des acheteurs du monde entier. »

Les organisations qui souhaitent rejoindre le Réseau intelligent sur le climat, un réseau mondial et public d'entreprises et d'initiatives durables, peuvent se manifester auprès de l'ITC.

La plateforme est disponible dans les langues suivantes : allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, français, italien, néerlandais, portugais et russe.


Note aux éditeurs

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

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Contact média

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org
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Port. : +41 79 667 4660

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Conectando a compradores y proveedores sostenibles: únase a la Climate Smart Network
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(Ginebra/Washington, DC) Los compradores de todo el mundo pueden ahora ponerse en contacto con los proveedores a pequeña escala que están adaptándose al cambio climático o mitigando sus efectos, a través de la red Climate Smart Network, desarrollada por el Centro de Comercio Internacional (ITC) en colaboración con la Oficina de Asociaciones Globales del Departamento de Estado de los Estados Unidos de América. La plataforma es la primera de su clase y reúne en un mismo lugar los perfiles de compradores y proveedores centrados en la sostenibilidad. Además, constituye un directorio global en el que se pueden realizar búsquedas entre sus más de 55.000 perfiles. 

Las pequeñas empresas pueden utilizar la plataforma para mostrar las medidas respetuosas con el medio ambiente que han puesto en marcha y su cumplimiento con las normas de sostenibilidad de terceros con el objetivo de atraer a algunos de los mayores compradores del mundo que buscan abastecerse a través de proveedores ecológicos, incluyendo a aquellos provenientes de los países en desarrollo. Las pequeñas empresas también pueden utilizar la plataforma para acceder a varias herramientas que pueden ayudarlas a reducir sus emisiones y a adaptarse al impacto del cambio climático.

Los compradores pueden blindar sus cadenas de suministro frente al cambio climático gracias a los datos que ofrece la plataforma y verificar la información proporcionada por los nuevos y los potenciales proveedores sobre sus prácticas respetuosas con el medio ambiente. La plataforma está verificada por el ITC, la principal agencia de la ONU que apoya a las pequeñas empresas para que se conecten a los mercados mundiales. También pueden utilizar los contenidos y datos en sus informes corporativos y compartir recursos para ayudar a sus proveedores a realizar la transición hacia una forma de hacer negocios con una baja emisión de carbono.

La actualización más reciente de la plataforma incorporó a 45.000 productores ecológicos certificados por el Departamento de Agricultura de Estados Unidos de América (USDA) en más de 100 países, y se anunció durante la Cumbre Aim for Climate celebrada en Washington, DC, del 8 al 10 de mayo.

Únase a la Climate Smart Network aquí.


Con respecto a la iniciativa, el enviado presidencial especial de los Estados Unidos de América para el clima, John Kerry, dijo: «Me entusiasma ver que 45.000 explotaciones agrícolas y empresas ecológicas certificadas de la base de datos Integrity Database del Departamento de Agricultura de Estados Unidos están ahora en la red Climate Smart Network. Con la ampliación de esta red de compradores y proveedores podemos abordar mejor las emisiones de la cadena de suministro».

Por su parte, la Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, añadió: «Las pequeñas empresas tienen un importante papel que desempeñar en la transición hacia una economía con bajas emisiones de carbono, ya que estas representan la mayoría de las empresas y de los puestos de trabajo en todo el mundo, incluidos los países en desarrollo. La Climate Smart Network va a ayudarles a reducir su huella medioambiental al tiempo que les proporcionará la plataforma que necesitan para ponerse en contacto con compradores de todo el mundo».

Las organizaciones que deseen unirse a la Climate Smart Network, una red pública mundial de empresas e iniciativas sostenibles, pueden ponerse en contacto con el ITC.

La plataforma está disponible en árabe, chino, holandés, inglés, francés, alemán, italiano, portugués, ruso y español.


Notas para el editor:

Sobre el Centro de Comercio Internacional - El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Para más información, visite www.intracen.org.

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Contacto para los medios de comunicación:

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
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Créer un écosystème numérique pour les entreprises africaines
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Il est crucial de promouvoir la technologie auprès des jeunes entreprises africaines afin de créer des économies inclusives et durables. Voici comment y parvenir.

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L'Afrique recèle un immense potentiel de croissance économique et de développement. Sa jeune population est un atout essentiel pour créer des économies inclusives et durables à travers tout le continent, et la technologie numérique est un moyen de libérer ce potentiel.

 

La construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines implique d'adopter une approche à multiples facettes et de collaborer avec diverses parties prenantes, notamment les gouvernements, les partenaires de développement, le secteur privé, les investisseurs et les entrepreneurs.

Ennovate, Tanzanie
Formation pratique dans le cadre du programme Digify Tech 2022 à Ennovate Ventures

Mettre la technologie au service des personnes et les personnes au service de la technologie

En tant qu'entrepreneur technologique en Afrique, j'ai été témoin de la transformation numérique qui façonne la manière dont les gens vivent, interagissent et effectuent des transactions sur les marchés à travers le continent, ce qui m'a encouragé à m'engager dans différents aspects de cette transformation.

L'adoption d'une économie numérique sur les marchés africains présente d'importants avantages, notamment la facilitation des transactions commerciales, la démocratisation de l'accès aux talents, aux financements et aux marchés, l'attraction des investissements et la création d'emplois. Mon travail chez Ennovate Ventures s'est concentré sur la création d'emplois décents pour les jeunes en Tanzanie et dans d'autres pays d'Afrique de l'Est.

Nous avons mis en œuvre toute une série de programmes qui visent à promouvoir l'entrepreneuriat numérique, tels que les programmes Building et Digify Tech proposés par Ennovate Ventures, en partenariat avec le projet Fast Track Tech du Centre du commerce international.

Ennovate Tanzania
Ennovate Tanzania

Dans le cadre de l'initiative Digify Tech, nous avons créé plus de 1 200 emplois directs et plus de 5 000 emplois indirects au cours des trois dernières années, et nous avons formé 1 257 travailleurs indépendants du secteur numérique à l'UI/UX, au marketing digital, à la création de contenu, et plus encore.

Toutefois, en dépit de notre succès, des défis majeurs subsistent : l'Afrique doit intensifier ses efforts pour élaborer des politiques favorables à la technologie, améliorer l'infrastructure numérique, développer les talents, combler les déficits de financement et résoudre les problèmes de confiance afin d'accélérer l'adoption de solutions numériques.

Les besoins pour un entrepreneuriat numérique prospère

Au cours de la conférence LDC5 de Doha, le secteur privé, les agences gouvernementales, les partenaires du développement et les jeunes leaders africains ont discuté de la manière dont les jeunes peuvent jouer un rôle de premier plan dans le développement numérique.

En collaboration avec le Centre du commerce international, nous avons partagé des exemples de réussite dans le développement de l'entrepreneuriat numérique au sein des communautés par le biais de formations, de forums de promotion du numérique, de plateformes dédiées aux travailleurs de plateformes (gig work) et de programmes d'éducation.

Voici les interventions qui, selon moi, peuvent renforcer les capacités des jeunes et créer un environnement propice à l'entrepreneuriat numérique :

  1. Infrastructure : La première étape dans la construction d'un écosystème de technologie numérique pour les entreprises africaines est de créer des infrastructures qui fournissent une connectivité internet fiable, un accès à des équipements abordables et une fourniture électrique adéquate.
  2. Éducation au numérique : Une autre façon de créer une demande pour les travailleurs de plateformes est d'éduquer les propriétaires d'entreprises sur les avantages de la technologie numérique et de fournir une formation sur divers outils.
  3. Financement : Les gouvernements et les investisseurs privés peuvent fournir un financement et un appui cruciaux aux start-up prometteuses de l'industrie technologique.
  4. Réglementation : Les gouvernements doivent mettre en place des politiques et des réglementations claires et propices qui encouragent l'innovation tout en protégeant la propriété intellectuelle par des incitations fiscales, la protection des brevets, ainsi que la recherche et le développement.

Une collaboration stratégique à long terme

Les agences de développement peuvent également jouer un rôle essentiel dans la création des emplois numériques de demain.

À cette fin, elles devraient axer leur travail sur les interventions suivantes :

  • Se concentrer sur le développement des compétences numériques des jeunes ;
  • Travailler avec les organisations d'appui aux entreprises pour encourager l'entrepreneuriat des jeunes et ainsi favoriser l'accélération numérique ;
  • Promouvoir l'accès au financement ;
  • Collaborer avec le secteur privé pour améliorer l'infrastructure numérique, par exemple en subventionnant la connectivité internet, en créant des laboratoires numériques et en proposant des solutions logicielles ; et
  • Appuyer les réformes politiques pour créer un environnement commercial numérique propice.


La collaboration stratégique entre tous les partenaires doit commencer dès le lancement des projets et se poursuivre jusqu'à leur mise en œuvre. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons faire progresser l'économie numérique de l'Afrique et encourager l'esprit d'entreprise chez les jeunes.

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Francis Omorojie, Fondateur, Ennovate Ventures, République-Unie de Tanzanie
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