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ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

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Publicado conjuntamente por el CCI, la OMC y la UNCTAD, este informe anual presenta las condiciones de acceso al mercado basadas en aranceles para mercancías impuestas por 164 miembros de la OMC y otros países. El informe contiene estadísticas agregadas de productos, aranceles impuestos y a...

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Publié conjointement par le CCI, l'OMC et la CNUCED, ce rapport annuel présente les conditions d'accès au marché des marchandises basées sur les droits de douane imposées par 164 membres de l'OMC et d'autres pays. Le rapport contient des statistiques agrégées sur les produits, les droits...

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Ce rapport a été élaboré conjointement avec le Centre du commerce international, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement et l'Organisation mondiale du commerce. Il fournit des informations complètes sur les droits de douane et les mesures non tarifaires imposés...

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Este informe ha sido elaborado conjuntamente con el Centro de Comercio Internacional, la Conferencia de las Naciones Unidas sobre Comercio y Desarrollo y la Organización Mundial del Comercio. Ofrece información exhaustiva sobre los aranceles y las medidas no arancelarias impuestas por más de 170...

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De jeunes à jeunes : Se faire financer est possible !
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Le Forum du commerce s'est entretenu avec trois jeunes chercheurs de l'Institut de hautes études internationales et du développement à Genève pour connaître les défis auxquels les jeunes sont confrontés lorsqu'ils essaient d'obtenir un appui financier.

 

Dans le cadre de sa collaboration avec l'Institut, au travers du projet Capstone, l'ITC a demandé à des étudiants ce qu'ils suggéreraient aux décideurs politiques et aux investisseurs de faire différemment pour que les jeunes aient une chance.

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L'ITC vous a invité à mener une recherche sur l'accès au financement des jeunes entrepreneurs. Pourquoi ?

L'accès au financement est l'un des principaux obstacles auxquels les jeunes sont confrontés lorsqu'ils créent leur entreprise. Les prestataires financiers, tels que les banques, considèrent les start-up comme un investissement à haut risque. Pourtant, les jeunes entrepreneurs sont des moteurs essentiels de la croissance économique de tout pays. Il devrait être dans l'intérêt des gouvernements de promouvoir ces entreprises.

Le programme Jeunes et commerce de l'ITC relève ce défi. Sur la base des recherches et des données disponibles, son équipe nous a demandé de chercher des solutions qui pourraient aider les jeunes entrepreneurs, en mettant un accent particulier sur le Kenya, le Nigéria et les Philippines.

AFrican youth

Comment avez-vous abordé vos recherches ?

African youth writing

Nous nous sommes penchés sur trois domaines d'intérêt : l'identification des besoins financiers des jeunes entrepreneurs ainsi que des défis que ces jeunes et les prestataires financiers doivent relever dans les pays cibles ; l'examen des politiques d'inclusion des jeunes dans les pays qui ont réussi à accroître leur accès au financement ; et l'identification des interventions gouvernementales qui seraient réalisables et dans le meilleur intérêt de toutes les parties prenantes dans les pays cibles.

Pour couvrir tous ces aspects de notre recherche, nous avons mené 12 entretiens semi-structurés avec des entrepreneurs, des organisations d'appui aux entreprises, des investisseurs, des représentants des pouvoirs publics, des analystes de risques et un expert en accès au financement. Nous avons également utilisé des données provenant d'enquêtes menées par l'ITC et la Banque mondiale, et mené une analyse documentaire approfondie.

Quelles ont été vos conclusions en ce qui concerne les défis auxquels les jeunes sont confrontés ?

Comme les jeunes n'ont pas d'antécédents en matière de crédit, ne disposent pas de garanties et ont une expérience limitée des affaires, les prestataires financiers les considèrent comme un risque élevé, d'où leur hésitation à investir.

Les jeunes manquent également d'informations sur les possibilités de financement alternatives, tandis que les investisseurs manquent de connaissances sur les profils des jeunes entrepreneurs, leur secteur d'activité et leurs chances de réussite.

Même si les jeunes ont accès à des formations, cela ne se traduit pas forcément par l'obtention d'un financement, car la qualité de ces formations varie dans l'enseignement des compétences exigées par les prestataires financiers.

Les politiques existantes qui produisent de bons résultats impliquent généralement à la fois un volet éducatif pour les jeunes entrepreneurs et un volet d'incitation et de dé-risque (allègements fiscaux, garanties de prêt, subventions de prêt) pour convaincre le secteur privé.

Que faut-il changer ?

Nous recommandons une solution sur trois axes : 1. diffuser l'information ; 2. identifier des formations et des programmes de mentorat de qualité ; et 3. dé-risquer et inciter à l'investissement.

Concrètement, il faudrait mener les actions suivantes :

1. Développer une plateforme d'information nationale, centralisée et à faible coût, à la disposition des entrepreneurs et des prestataires financiers. Cette plateforme servirait de base de données pour les possibilités de financement, et offrirait des possibilités de mentorat et de formation tout en recueillant des informations financières et commerciales essentielles sur l'entrepreneur. Cela permettrait de renforcer la crédibilité financière des jeunes entrepreneurs et d'accroître l'estime des prestataires financiers pour ces clients souvent parfaitement viables.

2. Établir un système de certification qui servirait de norme commune pour les programmes de formation et de mentorat afin d'aider les jeunes entrepreneurs et les prestataires de financement à identifier les formations de haute qualité. Ainsi, les prestataires de financement pourront être assurés que les jeunes ayant suivi ces programmes disposent bien des compétences adéquates.

3. Introduire des garanties de prêt pour les banques, des allègements fiscaux pour les investisseurs et des subventions de prêt pour les jeunes entrepreneurs afin d'encourager et de dé-risquer les investissements dans les entreprises de jeunes. Cela permettrait également d'attirer des fonds du secteur privé, ce qui est essentiel car son engagement joue un rôle crucial pour assurer la durabilité de cette stratégie.

Enfin, l'éligibilité au financement d'un jeune entrepreneur par les mécanismes de financement gouvernementaux serait conditionnée par ses résultats scolaires ou sa réussite dans les programmes de formation ou de mentorat certifiés. De même, l'éligibilité d'une banque à solliciter une garantie de prêt pourrait être conditionnée par le caractère du produit de prêt, selon s'il est favorable aux jeunes.

Pour toute question, n'hésitez pas à contacter les auteurs : %20aayushi.rawat [at] graduateinstitute.ch (Aayushi Rawat), %20franziska-sophie.heigel [at] graduateinstitute.ch (Franziska-Sophie Heigel) et %20ming.li [at] graduateinstitute.ch (Ming Li).

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Entretien avec Aayushi Rawat, Franziska-Sophie Heigel et Ming Li, de l'Institut de hautes études internationales et du développement de Genève
Jóvenes para jóvenes: el acceso a la financiación es posible
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Forum de Comercio conversó con tres jóvenes investigadores del Instituto de Altos Estudios Internacionales y de Desarrollo de Ginebra para averiguar cuáles son los retos a los que se enfrentan los jóvenes a la hora de intentar conseguir ayuda financiera. 

El ITC colabora con este instituto, en el marco de un proyecto llamado Proyecto Capstone. Descubra lo que estos jóvenes estudiantes sugieren que los encargados de formular políticas y los inversores deberían hacer de forma diferente: dar una oportunidad a los jóvenes.

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El ITC les pidió que realizaran una investigación sobre el «acceso a la financiación» de los jóvenes emprendedores. ¿Por qué?

El acceso a la financiación es uno de los principales obstáculos a los que se enfrentan los jóvenes a la hora de crear sus empresas ya que los proveedores financieros, como los bancos, consideran que las empresas emergentes son una inversión de alto riesgo. Sin embargo, los jóvenes emprendedores son unos motores cruciales del crecimiento económico de cualquier país, por lo que los gobiernos deberían tener interés en promover estas empresas.

El Programa Jóvenes y Comercio del ITC aborda este reto. El equipo nos pidió que encontráramos soluciones basadas en la investigación y los datos que pudieran ayudar a los jóvenes empresarios y que nos centráramos en Kenya, Nigeria y Filipinas.

AFrican youth

¿Cómo enfocaron su investigación?

African youth writing

Nos centramos en tres áreas: la identificación de las necesidades y los retos financieros de los jóvenes emprendedores y de los proveedores financieros de los países objetivo; la revisión de las políticas de inclusión de los jóvenes en diferentes países que han tenido éxito a la hora de aumentar el acceso a la financiación; y el análisis de las intervenciones gubernamentales que serían factibles y redundarían en beneficio de todas las partes interesadas de los países objetivo.

Para cubrir todos los aspectos del enfoque de nuestra investigación, realizamos 12 entrevistas semiestructuradas con emprendedores, organizaciones de apoyo empresarial, inversores, representantes gubernamentales, analistas de riesgos y un experto en acceso a la financiación. También utilizamos datos provenientes de encuestas realizadas por el ITC y el Banco Mundial y realizamos una amplia revisión bibliográfica.

 

¿Cuáles fueron las conclusiones de los retos a los que se enfrentan los jóvenes?

Los jóvenes, al carecer de historial crediticio, no disponen de garantías y tienen una experiencia empresarial limitada. Los proveedores financieros los consideran por ello de alto riesgo, por lo que dudan en invertir en ellos.

Asimismo, los jóvenes carecen de información sobre las oportunidades de financiación alternativas disponibles, mientras que los inversores desconocen el perfil de los jóvenes emprendedores, los sectores en los que trabajan y sus probabilidades de éxito.    

Los jóvenes disponen de formación, pero no por ello obtienen financiación, ya que las formaciones varían en eficacia cuando se trata de desarrollar las habilidades que los proveedores financieros consideran necesarias.

Las políticas existentes que han tenido éxito suelen incluir tanto un componente educativo para los jóvenes empresarios como un componente de incentivación y de reducción de riesgos (desgravaciones fiscales, garantías de préstamos, subvenciones a los préstamos) para implicar al sector privado.

¿Qué debería cambiar?

Recomendamos una solución de tres módulos para, en primer lugar, difundir información; en segundo lugar, identificar programas de formación y tutoría de calidad; y, en tercer lugar, reducir el riesgo e incentivar la inversión.

De una forma más concreta, esto significaría lo siguiente:

1. Desarrollar una plataforma de información nacional, centralizada y de bajo coste que esté a disposición de los empresarios y los proveedores financieros. Esta plataforma actuaría como una base de datos con las diferentes posibilidades de financiación y ofrecería oportunidades de tutoría y formación, al tiempo que recopilaría información financiera y empresarial esencial sobre los emprendedores. Con ello se ayudaría a construir la credibilidad financiera de los jóvenes emprendedores y a aumentar su consideración como clientes viables para los proveedores financieros. 

2. Establecer un sistema de certificación que sirva de norma común para los programas de formación y tutoría con el fin de ayudar a los jóvenes empresarios y a los proveedores de financiación a identificar la formación de alta calidad. Una vez que los jóvenes empresarios hayan completado estos programas, los proveedores financieros podrán estar seguros de que sus habilidades son las adecuadas.

3. Introducir garantías de préstamo para los bancos, exenciones fiscales para los inversores y subvenciones de préstamo para los jóvenes empresarios a fin de incentivar y reducir el riesgo de la inversión en empresas de jóvenes. Esto también atraería la financiación del sector privado, cuyo compromiso desempeñaría un papel crucial para garantizar la sostenibilidad de esta estrategia.          

Por último, la elegibilidad para que un joven emprendedor recibiera financiación a través de los mecanismos de financiación gubernamentales estaría condicionada a los logros educativos o al cumplimiento de los planes de formación o mentoría certificados. Del mismo modo, la elegibilidad de un banco para solicitar una garantía de préstamo estaría condicionada a que el producto de préstamo fuera favorable para los jóvenes.

Si tiene alguna pregunta, no dude en ponerse en contacto con los autores %20aayushi.rawat [at] graduateinstitute.ch (Aayushi Rawat), %20franziska-sophie.heigel [at] graduateinstitute.ch (Franziska-Sophie Heigel) y %20ming.li [at] graduateinstitute.ch (Ming Li).

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Entrevista con Aayushi Rawat, Franziska-Sophie Heigel y Ming Li, del Instituto de Altos Estudios Internacionales y de Desarrollo de Ginebra
Investir dans les contextes de conflit : Avec discernement !
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Comment le développement économique, le commerce et les investissements peuvent contribuer à la paix et à la stabilité.

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Le monde n'a jamais connu autant de conflits et de violence depuis 1945. Selon l'Organisation des Nations Unies, 1,9 milliard de personnes vivent dans des contextes fragiles et de conflit, soit 24 % de la population mondiale.

À ce jour, le monde compte 39 contextes affectés par des conflits, et 37 autres avec des niveaux élevés de violence, de fragilité et/ou d'instabilité (voir la mappemonde ci-dessous). Le conflit devient une caractéristique du 21e siècle, avec des impacts dévastateurs sur les moyens de subsistance des populations.

Les endroits où le développement socio-économique durable et inclusif est le plus nécessaire sont donc aussi ceux où il est le plus difficile d'opérer, de commercer et d'investir.

Plusieurs caractéristiques communes se dégagent de ces contextes : la faiblesse des capacités de l'État et des cadres réglementaires, des niveaux élevés de corruption, l'instabilité politique, la généralisation des violations des droits de l'homme, et la durabilité de ces conflits et violences. Cette liste n'est pas exhaustive et d'autres caractéristiques sont susceptibles de freiner voire de compromettre le développement économique, ou de miner des initiatives d'investissement et de commerce bien intentionnées qui se traduisent alors par des résultats pernicieux.

Mappemonde de TrustWorks Global
Le classement mondial proposé par TrustWorks Global repose sur deux indices clés : l’indice de contexte de conflit du projet RULAC (État de droit dans les conflits armés), basé en Suisse, qui identifie ces contextes où s'applique le droit international relatif aux contextes de conflit – surlignés en orange et classés en termes de décès liés aux combats au cours des cinq dernières années (en utilisant les données du Projet sur les lieux de conflits armés et les données des événements, ACLED) ; et l'indice des États en situation de fragilité du Comité d’aide au développement (CAD) de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui évalue les contextes des pays selon six dimensions : économique, environnementale, politique, sécuritaire, humaine et sociale – surlignés en jaune et classés selon de leur fragilité.

* Les frontières et les noms indiqués sur cette carte, ainsi que les désignations employées, sont à titre indicatif. Ils n’impliquent ni la reconnaissance, ni l’acceptation officielle par l’Organisation des Nations Unies d’une frontière contestée. Ils n’ont aucun impact quant au fait de parvenir à une solution politique mutuellement acceptable, conforme aux buts et principes énoncés dans la Charte des Nations Unies.
© TrustWorks Global

Comprendre les risques et les opportunités

Les risques que les conflits et la fragilité font peser sur le développement économique sont parfaitement compris. Toutefois, il existe également un risque que les initiatives de développement économique déployées dans les contextes fragiles et de conflit contribuent par inadvertance aux conflits, à la violence et à l'instabilité. Après tout, le développement économique n'intervient pas dans un espace vide.

Malgré la neutralité politique revendiquée par la plupart des investisseurs et des entreprises, les impacts de leurs activités dans ces contextes ne sont jamais neutres. Un développement économique mené sans considération du conflit en cours finira toujours par générer, appuyer voire orienter le conflit, directement ou indirectement.

Il est aujourd'hui plus impératif que jamais de mener le développement économique dans un tel contexte avec discernement, en tenant compte du conflit en cours. Pourtant, la plupart des organisations internationales et des partenaires bilatéraux œuvrant au développement économique semblent y être aveugles, et passent ainsi à côté d'opportunités de contribuer à la paix et à la stabilité.

Ce biais s'explique par le fait que, trop souvent, les entreprises – prises au sens large, c'est à dire les sociétés multinationales, les petites et moyennes entreprises et les investisseurs connexes – ne sont pas considérées comme des facteurs de paix ou de conflits, malgré les rôles évidents qu'elles jouent dans la dynamique de paix ou de conflit. Cet « angle mort » ne conduit pas seulement à un développement économique sous-optimal, il peut à l'inverse de son objectif favoriser un développement économique contribuant involontairement à la violence, à l'instabilité et au conflit.

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« Bureau de change » sur le marché d'Hargeisa, Somaliland, 2017.
© Josie Lianna Kaye

Vers un développement économique sensible aux conflits

Comment le développement économique peut-il contribuer à la paix et à la stabilité ? Chez TrustWorks Global, nous pensons que deux éléments essentiels vont permettre de s'en assurer :

  • Premièrement, une approche sensible au conflit. L'approche sensible au conflit – étroitement liée à la diligence raisonnable accrue en matière de droits de l'homme – repose sur la conscience que l'interaction entre l'intervention et le conflit est bidirectionnelle. Elle permet de s'assurer que le développement économique est mené en tenant compte des clivages au cœur des conflits, des querelles relatives aux terres et aux ressources naturelles, ainsi que des inégalités, pour ne citer que quelques-uns des différends susceptibles de déclencher la violence. L'approche sensible au conflit est un processus continu, et c'est à cette dernière condition qu'elle permettra de minimiser les impacts négatifs et d'optimiser les impacts positifs du développement économique sur la paix et la stabilité.
  • Deuxièmement, une connaissance approfondie du contexte local. Pour avoir de bonnes pratiques dans les contextes fragiles et de conflit, il faut que les acteurs locaux soient bien informés et disposer d'une compréhension détaillée des dynamiques et de la géographie. Les acteurs internationaux peuvent y parvenir par le biais d'une collaboration étroite avec leurs partenaires, d'un engagement intensif des parties prenantes locales, ou éventuellement d'une présence à temps plein dans le pays cible. Ce sont là des facteurs essentiels pour garantir la pertinence des analyses, l'identification des besoins réels de développement et l'adéquation des interventions, à chaque fois en faisant la différence entre ce qui sert la paix et ce qui sert le conflit.

L'approche sensible au conflit et la connaissance approfondie du contexte local sont les deux piliers d'une intervention menée avec discernement, condition d'un développement économique qui contribue à la paix et à la stabilité. Notre objectif est de faire de cette aspiration une réalité en établissant des partenariats étroits et judicieux avec les organisations internationales travaillant au développement économique.

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Des Afghans traversent la frontière avec le Tadjikistan à Davaz, dans les montagnes du Pamir, en 2007.

© David Trilling
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Josie Lianna Kaye, Fondatrice et Directrice générale, TrustWorks Global, Suisse
Invertir en contextos de conflicto: No es posible seguir con las prácticas establecidas
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¿Cómo pueden contribuir el desarrollo económico, el comercio y la inversión a la paz y la estabilidad?

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El mundo está experimentando el mayor número de conflictos violentos desde 1945. Según las Naciones Unidas, 1900 millones de personas viven en entornos frágiles y afectados por conflictos, lo que corresponde al 24 % de la población mundial.

En el mundo hay 39 zonas afectadas por conflictos y otras 37 experimentan altos niveles de violencia, fragilidad o inestabilidad (véase el mapa del mundo). Los conflictos se están convirtiendo en una característica definitoria del siglo XXI, con efectos devastadores sobre la vida y los medios de subsistencia.

Por lo tanto, los lugares del mundo donde más se necesita un desarrollo socioeconómico sostenible e integrador son también los lugares donde resulta más difícil operar, comerciar e invertir.

Los entornos frágiles y afectados por conflictos pueden caracterizarse por una capacidad estatal y unos marcos normativos débiles, altos niveles de corrupción, violaciones generalizadas de los derechos humanos, conflictos y violencia sostenidos en el tiempo, inestabilidad política y otras características que pueden socavar el desarrollo económico y hacer que las iniciativas de inversión y comercio bienintencionadas tengan resultados paradójicos.

TrustWorks Global Map
La clasificación de TrustWorks Global se basa en dos índices clave: el Proyecto sobre el Estado de Derecho en los Conflictos Armados (RULAC, por sus siglas en inglés), con sede en Suiza, que identifica aquellas situaciones en las que se aplica el derecho internacional a los contextos de conflicto, resaltadas en naranja en el mapa y ordenadas en función de las muertes relacionadas con las batallas en los últimos cinco años (utilizando datos de ACLED); y el Índice de la Fragilidad de Estados del CAD-OCDE, que evalúa los contextos de los países según seis dimensiones: económica, medioambiental, política, de seguridad, humana y de la sociedad, resaltados en amarillo en el mapa y ordenados en función de su «fragilidad».

* Los límites y nombres mostrados, las designaciones utilizadas en este mapa son sólo para fines informativos. No implican el respaldo o la aceptación oficial por parte de las Naciones Unidas en ninguna frontera en litigio, y se entienden sin perjuicio de una solución política mutuamente aceptable que sea compatible con los principios y propósitos de la Carta de las Naciones Unidas.
© TrustWorks Global

Comprender los riesgos y las oportunidades

Aunque los riesgos que plantean los conflictos y la fragilidad al desarrollo económico son bien conocidos, también existe el riesgo de que las iniciativas de desarrollo económico en los entornos frágiles y afectados por los conflictos puedan contribuir inadvertidamente al conflicto, la violencia y la inestabilidad. Después de todo, el desarrollo económico no se produce en el vacío.

Aunque los inversores y las empresas puedan profesar neutralidad política, las repercusiones de sus actividades en estos entornos nunca son neutrales respecto al conflicto. Un desarrollo económico insensible a los conflictos acabará generándolos, perpetuándolos o impulsándolos, ya sea directa o indirectamente.

La necesidad de un desarrollo económico sensible a los conflictos nunca ha sido mayor. Sin embargo, la mayoría de las organizaciones internacionales y socios bilaterales que trabajan en el desarrollo económico están desaprovechando las oportunidades para contribuir a la paz y la estabilidad.

Esto se debe a que, con demasiada frecuencia, las «negocios», entre los que se incluyen las corporaciones multinacionales, las pequeñas y medianas empresas y los inversores afines, no son considerados actores de la paz y de los conflictos, a pesar del evidente papel que desempeñan en la dinámica de éstos. Este «punto ciego» no sólo está conduciendo a un desarrollo económico que no es óptimo, sino que también puede estar fomentando un desarrollo económico que contribuya inadvertidamente a la violencia, la inestabilidad y los conflictos.

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Cambistas en el mercado de Hargeisa, Somalilandia, 2017.
© Josie Lianna Kaye

Hacia un desarrollo económico sensible a los conflictos

¿Cómo puede contribuir el desarrollo económico a la paz y la estabilidad? En TrustWorks, creemos que hay dos elementos críticos, a saber:

  • En primer lugar, la sensibilidad al conflicto. La sensibilidad al conflicto, estrechamente relacionada con la diligencia debida reforzada en materia de derechos humanos o DDDH, es un enfoque que se basa en la comprensión de la interacción bidireccional entre una intervención determinada y el conflicto. Ésta garantiza que el desarrollo económico sea sensible a los conflictos, a las cuestiones controvertidas en torno a la tierra y los recursos naturales, y a las desigualdades, por nombrar sólo algunas de las cuestiones que pueden desencadenar la violencia. Además, es un proceso continuo diseñado para minimizar los impactos negativos y maximizar los impactos positivos del desarrollo económico sobre la paz y la estabilidad.
  • En segundo lugar, un profundo conocimiento local. Las buenas prácticas en entornos frágiles y afectados por los conflictos dependen de actores locales bien informados y de una comprensión detallada de la dinámica y la geografía de los conflictos. Los actores internacionales pueden lograrlo mediante una estrecha colaboración con los socios, un compromiso intensivo de las partes interesadas locales o, posiblemente, una presencia a tiempo completo en el país objetivo como factor crítico que permita un buen análisis, unas intervenciones sensibles al conflicto y la identificación de las necesidades de desarrollo relacionadas con la paz y el conflicto.

La sensibilidad ante los conflictos y un profundo conocimiento local van de la mano para crear las condiciones de un desarrollo económico que contribuya a la paz y la estabilidad. Nuestro objetivo es hacer realidad esta aspiración: a través de asociaciones estrechas y significativas con organizaciones internacionales que trabajan en el desarrollo económico.

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Afganos cruzan la frontera de Tayikistán en Davaz, en las montañas Pamir, 2007

© David Trilling
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Josie Lianna Kaye, Consejera Delegada y Fundadora, TrustWorks Global, Suiza
Cambiando la industria tecnológica en África
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Forum de Comercio entrevistó a dos empresas emergentes tecnológicas africanas que asistieron al Mobile World Congress de Barcelona en febrero de 2023 gracias al apoyo del Centro de Comercio Internacional y la GSMA. El mayor evento mundial de telefonía móvil reunió a más de 88.500 operadores de telecomunicaciones, empresarios, corporaciones e instituciones públicas.


La feria fue una oportunidad para que las empresas emergentes se aseguraran oportunidades de negocio y presentaran la tecnología africana más allá de sus fronteras. La tecnología promueve la inclusión financiera y conecta a las personas con los servicios digitales. Este es el caso particular de África, donde una gran parte de la población no tiene acceso a los bancos tradicionales. 


Esto es lo que dijeron Emmanuel Emodek, Consejero Delegado de ChapChap, en Uganda, y Bright Chinyundu, fundador de Sparco, en Zambia.

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Interview Sparco

Sr. Chinyundu, usted se llevó los máximos honores en el Congreso al ganar una pitch battle para empresas de tecnofinanzas con su empresa Sparco. 

¿Qué ofrece su solución tecnológica a las pequeñas empresas?

Ofrecemos soluciones bancarias digitales a las pequeñas empresas africanas y les facilitamos el acceso a los mercados internacionales.  

Les proporcionamos formas de aceptar pagos digitales.  Los negocios a los que apoyamos incluyen tiendas de ropa, de arte africano, pastelerías, floristerías, etc.

Sr. Emodek, háblenos de ChapChap. 

Somos una empresa de tecnofinanzas que crea perfiles financieros para los pequeños comercios minoristas basados en los datos de los registros de las transacciones realizadas en nuestra app. Creamos perfiles financieros para las empresas del sector informal y las empoderamos para que puedan acceder a los préstamos de las instituciones financieras.

¿Cómo conectan a estas pequeñas empresas con las soluciones digitales?

Nos asociamos con las instituciones financieras, las empresas de telecomunicaciones o las empresas de tecnofinanzas y extendemos sus servicios a las pequeñas empresas. Además, muchas de estas pequeñas empresas atienden a personas con bajos ingresos que acuden a ellos para comprar alimentos u otros pequeños artículos para el hogar. Con ChapChap, los clientes que no tienen acceso a los servicios bancarios tradicionales pueden recargar sus carteras digitales o retirar dinero en efectivo, pagar los servicios públicos o las tasas escolares de sus hijos. Las oportunidades son enormes.

ChapChap

¿Han visto ya algún impacto? 

ChapChap ayuda a los propietarios de las pequeñas empresas a ganar dinero al proporcionar servicios digitales a sus clientes: por cada servicio vendido, el propietario obtiene una comisión. Hasta ahora, hemos pagado casi 2,2 millones de dólares de EE. UU. en comisiones a las empresas con las que trabajamos. Al analizar los datos de las transacciones realizadas a través de nuestra plataforma, podemos ayudar a las instituciones financieras a evaluar la solvencia de las empresas con las que trabajamos para concederles préstamos. Hasta la fecha, estas empresas han accedido a créditos por valor de más de 14 millones de dólares a través de nuestra plataforma.

ChapChap
Sparco

Sr. Chinyundu, ¿cuáles son los retos específicos a la hora de crear una empresa emergente tecnológica?

En primer lugar, la normativa para conseguir que el banco central apruebe las operaciones para el negocio. En segundo lugar, la búsqueda de talentos. Se necesitan personas dedicadas, y esto es difícil de encontrar.

El hecho de que no seamos una empresa emergente financiada también significa que es difícil retener al personal. Conseguimos jóvenes licenciados y los formamos, pero luego las grandes empresas se los llevan.

¿Qué les ayudó?

Nuestra resiliencia y el hecho de ser ingeniero informático. Cuando un desarrollador se va, puedo intervenir y seguir programando.

Sparco
ChapChap

¿Cuáles son sus planes para ChapChap, Sr. Emodek?

Tenemos previsto ampliar nuestra red móvil de agentes de dinero, principalmente por medio de la asociación con pequeñas empresas.

Además, tenemos la intención de expandirnos por África y colaborar con socios que ya realizan operaciones similares en otros países africanos. Creemos que esto nos permitirá superar los diversos obstáculos y complejidades reglamentarias que conlleva operar en el mercado africano.

 

¿Qué necesitaría para ello?

Talento técnico, software mejorado, financiación y asociaciones sólidas.

 

ChapChap
Sparco

 

Sr. Chinyundu, ¿cuál es su consejo para otras empresas emergentes tecnológicas?

Desarrolle productos que la gente quiera.

El dinero es una ventaja añadida, pero tenga en mente el objetivo de cambiar vidas y diseñar productos que la gente quiera. Así es como se consigue tracción.

Sparco y ChapChap están cambiando la industria tecnológica en África al resolver varios problemas sistémicos como la falta de acceso al scoring bancario, una gran población sin acceso a los bancos y una profunda brecha digital. 

Ambas empresas fueron seleccionadas para participar en la emblemática Pitch Battle para empresas de tecnofinanzas durante el Mobile World Congress, y compitieron con empresas emergentes austriacas y españolas. Al ganar el concurso, Sparco consiguió visibilidad y un puesto en la edición de 2024 y creó de redes de contacto con inversores. 

La participación de estas empresas emergentes en el Congreso ha sido posible gracias a los programas del Fondo Fiduciario de los Países Bajos V (NTF V) (de julio de 2021 a junio de 2025) y de FastTrackTech SwitchOn del Centro de Comercio Internacional, que apoyan a las pequeñas empresas de los sectores de las tecnologías digitales, la conectividad y la agroindustria. 

Los proyectos contribuyen a transformar de una forma inclusiva y sostenible los sistemas alimentarios a través de soluciones digitales; a que los encargados de formular políticas creen las condiciones adecuadas para que las pequeñas empresas de los países en desarrollo se beneficien del comercio digital y el emprendimiento; y a impulsar la internacionalización de las empresas emergentes tecnológicas y las empresas de TI y de externalización de procesos empresariales. 

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Haifa Ben Salem y Evelyn Seltier, Centro de Comercio Internacional
Changer l'industrie technologique en Afrique
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Le Forum du commerce s'est entretenu avec deux start-up technologiques africaines qui ont participé en février 2023 au salon Mobile World Congress de Barcelone grâce l'appui du Centre du commerce international et de l'association GSMA. Cet événement est le plus important au monde en matière de téléphonie mobile ; il a rassemblé plus de 88 500 opérateurs télécom, entrepreneurs, entreprises et institutions publiques.

 

Le salon a été l'occasion pour les jeunes entreprises de saisir des opportunités commerciales et de présenter la technologie africaine au-delà du continent. La technologie favorise l'inclusion financière et connecte les gens aux services numériques. C'est particulièrement le cas en Afrique, où une grande partie de la population n'a pas accès aux banques traditionnelles.

 

Emmanuel Emodek, Directeur général de ChapChap en Ouganda, et Bright Chinyundu, Fondateur de Sparco en Zambie, reviennent sur cette expérience mémorable.

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Interview Sparco

 

Bright, vous avez largement brillé à ce Congrès avec votre société Sparco en remportant le concours mondial de pitch ouvert aux entreprises de technologie financière.

Qu'est-ce que votre solution technologique apporte aux petites entreprises ?

Nous offrons des solutions bancaires numériques aux petites entreprises africaines et leur donnons accès aux marchés internationaux.

Nous leur fournissons les moyens d'accepter les paiements digitaux. La nature de ces entreprises est plutôt variée : il y a des boutiques de vêtements, des galeries d'art africain, des pâtisseries, des fleuristes, et d'autres encore.

Emmanuel, qu'est-ce que ChapChap ?

Nous sommes une fintech qui crée des profils financiers pour les petits commerces de détail grâce aux données collectées à partir des registres de transactions effectuées sur notre application. Nous créons ainsi des profils financiers pour des entreprises informelles, ce qui leur permet d'accéder à des prêts auprès d'institutions financières.

Comment connectez-vous ces petites entreprises aux solutions numériques ?

Nous établissons des partenariats avec des institutions financières, des entreprises télécom et des fintechs, et nous étendons la portée de leur offre de services par le biais des petites entreprises. Bon nombre de ces petites entreprises offrent déjà des services aux personnes à faible revenu qui viennent y acheter des produits d'épicerie ou d'autres petits articles ménagers. Avec ChapChap, les clients qui n'ont pas accès aux services bancaires traditionnels peuvent recharger leur portefeuille numérique ou retirer de l'argent, régler leurs factures aux services publics ou payer pour les frais de scolarité de leurs enfants. Les possibilités sont énormes.

ChapChap

Avez-vous déjà constaté un impact ?

ChapChap aide les propriétaires de petites entreprises à gagner de l'argent en fournissant des services digitaux à leurs clients, et pour chaque service vendu, le propriétaire perçoit un revenu sous la forme d'une commission. Jusqu'à présent, nous avons versé près de 2,2 millions de dollars de commissions aux entreprises avec lesquelles nous travaillons. En analysant les données transactionnelles générées par notre plateforme, nous pouvons aider les institutions financières à évaluer la solvabilité des entreprises et à leur accorder des prêts. À ce jour, les entreprises avec lesquelles nous travaillons ont obtenu plus de 14 millions de dollars de crédit grâce à notre plateforme.

ChapChap
Sparco

Bright, quels sont les défis spécifiques à la création d'une start-up technologique ?

La réglementation est le premier problème à résoudre, pour que la banque centrale approuve les opérations de l'entreprise. Ensuite, c'est la recherche de talents. Vous avez besoin de personnes dévouées, et ce n'est pas facile de les dénicher.

Le fait que nous ne soyons pas une start-up subventionnée se traduit aussi par la difficulté à retenir le personnel. Nous recrutons de jeunes diplômés, nous les formons, puis les grandes entreprises les séduisent et les débauchent.

Qu'est-ce qui vous a aidé ?

La résilience et le fait que je sois ingénieur en informatique. Je peux intervenir dans l'écriture des programmes en cas de départ d'un développeur.

Sparco
ChapChap

Quels sont vos projets pour ChapChap, Emmanuel ?

Nous prévoyons de développer notre réseau d'agents de monnaie mobile, principalement en établissant des partenariats avec des petites entreprises.

De plus, nous avons l'intention de nous étendre à toute l'Afrique en collaborant avec des partenaires qui mènent déjà des opérations similaires dans d'autres pays africains. Nous pensons que cela nous permettra de surmonter les divers obstacles réglementaires et les complexités qui découlent du fait d'opérer sur le marché africain.

De quoi auriez-vous besoin pour que cela se produise ?

Des talents techniques, des logiciels améliorés, des financements et des partenariats solides.

ChapChap
Sparco

 

Bright, quel est votre conseil aux autres start-up technologiques ?

Créez les produits que les gens réclament.

L'argent est un avantage supplémentaire, mais la bonne mentalité c'est de vouloir changer des vies et créer les produits que les gens veulent. C'est comme ça que vous mettez en route la mécanique.

Sparco et ChapChap sont en train de changer l'industrie technologique en Afrique en résolvant des problèmes systémiques tels que l'absence d'accès au crédit par manque d'évaluation de la solvabilité, la non intégration au système bancaire d'une large partie de la population, et une profonde fracture numérique.

Les deux entreprises ont été sélectionnées pour participer à la fameuse compétition Fintech Battle lors du Mobile World Congress, où elles ont affronté des start-up autrichiennes et espagnoles. C'est Sparco qui a remporté l'épreuve, ce qui s'est traduit par un gain considérable de visibilité, d'un accès à l'édition 2024, et d'une mise en réseau avec des investisseurs.

La participation de ces start-up au Congrès s'est faite grâce à deux initiatives du Centre du commerce international, les programmes Netherlands Trust Fund V (NTF V) et FastTrackTech-SwitchOn. Ces deux programmes ont pour objectif d'appuyer les petites entreprises dans les secteurs des technologies numériques, de la connectivité et de l'agroalimentaire.

À cet égard, les projets suivants sont menés : contribuer à la transformation inclusive et durable des systèmes alimentaires, en partie grâce à des solutions numériques ; aider les décideurs politiques à créer les conditions adéquates pour que les petites entreprises des pays en développement tirent parti du commerce numérique et de l'entrepreneuriat ; et stimuler l'internationalisation des start-up technologiques et l'exportation d'entreprises informatiques d'externalisation des processus commerciaux.

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Haïfa Ben Salem et Evelyn Seltier, Centre du commerce international

Jointly published by ITC, WTO and UNCTAD, this annual report presents tariff-based market access conditions for goods imposed by 164 WTO Members and other countries. The report contains aggregated product statistics; tariffs imposed and faced by each economy; and an overview of non-tariff...

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Conjointement publié par le CCI, l'OMC et la CNUCED, ce rapport annuel présente les conditions tarifaires d'accès aux marchés pour les marchandises telle qu’elles sont imposées par les 164 membres de l'OMC ainsi que par d'autres pays en 2016. Le rapport contient des statistiques agrégées...

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