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Publicado conjuntamente por el CCI, la OMC y la UNCTAD, este informe anual presenta las condiciones de acceso al mercado basadas en aranceles para mercancías impuestas por 164 miembros de la OMC y otros países. El informe contiene estadísticas agregadas de productos, aranceles impuestos y a...

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Publié conjointement par le CCI, l'OMC et la CNUCED, ce rapport annuel présente les conditions d'accès au marché des marchandises basées sur les droits de douane imposées par 164 membres de l'OMC et d'autres pays. Le rapport contient des statistiques agrégées sur les produits, les droits...

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De jeunes à jeunes : Se faire financer est possible !
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Le Forum du commerce s'est entretenu avec trois jeunes chercheurs de l'Institut de hautes études internationales et du développement à Genève pour connaître les défis auxquels les jeunes sont confrontés lorsqu'ils essaient d'obtenir un appui financier.

 

Dans le cadre de sa collaboration avec l'Institut, au travers du projet Capstone, l'ITC a demandé à des étudiants ce qu'ils suggéreraient aux décideurs politiques et aux investisseurs de faire différemment pour que les jeunes aient une chance.

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L'ITC vous a invité à mener une recherche sur l'accès au financement des jeunes entrepreneurs. Pourquoi ?

L'accès au financement est l'un des principaux obstacles auxquels les jeunes sont confrontés lorsqu'ils créent leur entreprise. Les prestataires financiers, tels que les banques, considèrent les start-up comme un investissement à haut risque. Pourtant, les jeunes entrepreneurs sont des moteurs essentiels de la croissance économique de tout pays. Il devrait être dans l'intérêt des gouvernements de promouvoir ces entreprises.

Le programme Jeunes et commerce de l'ITC relève ce défi. Sur la base des recherches et des données disponibles, son équipe nous a demandé de chercher des solutions qui pourraient aider les jeunes entrepreneurs, en mettant un accent particulier sur le Kenya, le Nigéria et les Philippines.

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Comment avez-vous abordé vos recherches ?

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Nous nous sommes penchés sur trois domaines d'intérêt : l'identification des besoins financiers des jeunes entrepreneurs ainsi que des défis que ces jeunes et les prestataires financiers doivent relever dans les pays cibles ; l'examen des politiques d'inclusion des jeunes dans les pays qui ont réussi à accroître leur accès au financement ; et l'identification des interventions gouvernementales qui seraient réalisables et dans le meilleur intérêt de toutes les parties prenantes dans les pays cibles.

Pour couvrir tous ces aspects de notre recherche, nous avons mené 12 entretiens semi-structurés avec des entrepreneurs, des organisations d'appui aux entreprises, des investisseurs, des représentants des pouvoirs publics, des analystes de risques et un expert en accès au financement. Nous avons également utilisé des données provenant d'enquêtes menées par l'ITC et la Banque mondiale, et mené une analyse documentaire approfondie.

Quelles ont été vos conclusions en ce qui concerne les défis auxquels les jeunes sont confrontés ?

Comme les jeunes n'ont pas d'antécédents en matière de crédit, ne disposent pas de garanties et ont une expérience limitée des affaires, les prestataires financiers les considèrent comme un risque élevé, d'où leur hésitation à investir.

Les jeunes manquent également d'informations sur les possibilités de financement alternatives, tandis que les investisseurs manquent de connaissances sur les profils des jeunes entrepreneurs, leur secteur d'activité et leurs chances de réussite.

Même si les jeunes ont accès à des formations, cela ne se traduit pas forcément par l'obtention d'un financement, car la qualité de ces formations varie dans l'enseignement des compétences exigées par les prestataires financiers.

Les politiques existantes qui produisent de bons résultats impliquent généralement à la fois un volet éducatif pour les jeunes entrepreneurs et un volet d'incitation et de dé-risque (allègements fiscaux, garanties de prêt, subventions de prêt) pour convaincre le secteur privé.

Que faut-il changer ?

Nous recommandons une solution sur trois axes : 1. diffuser l'information ; 2. identifier des formations et des programmes de mentorat de qualité ; et 3. dé-risquer et inciter à l'investissement.

Concrètement, il faudrait mener les actions suivantes :

1. Développer une plateforme d'information nationale, centralisée et à faible coût, à la disposition des entrepreneurs et des prestataires financiers. Cette plateforme servirait de base de données pour les possibilités de financement, et offrirait des possibilités de mentorat et de formation tout en recueillant des informations financières et commerciales essentielles sur l'entrepreneur. Cela permettrait de renforcer la crédibilité financière des jeunes entrepreneurs et d'accroître l'estime des prestataires financiers pour ces clients souvent parfaitement viables.

2. Établir un système de certification qui servirait de norme commune pour les programmes de formation et de mentorat afin d'aider les jeunes entrepreneurs et les prestataires de financement à identifier les formations de haute qualité. Ainsi, les prestataires de financement pourront être assurés que les jeunes ayant suivi ces programmes disposent bien des compétences adéquates.

3. Introduire des garanties de prêt pour les banques, des allègements fiscaux pour les investisseurs et des subventions de prêt pour les jeunes entrepreneurs afin d'encourager et de dé-risquer les investissements dans les entreprises de jeunes. Cela permettrait également d'attirer des fonds du secteur privé, ce qui est essentiel car son engagement joue un rôle crucial pour assurer la durabilité de cette stratégie.

Enfin, l'éligibilité au financement d'un jeune entrepreneur par les mécanismes de financement gouvernementaux serait conditionnée par ses résultats scolaires ou sa réussite dans les programmes de formation ou de mentorat certifiés. De même, l'éligibilité d'une banque à solliciter une garantie de prêt pourrait être conditionnée par le caractère du produit de prêt, selon s'il est favorable aux jeunes.

Pour toute question, n'hésitez pas à contacter les auteurs : %20aayushi.rawat [at] graduateinstitute.ch (Aayushi Rawat), %20franziska-sophie.heigel [at] graduateinstitute.ch (Franziska-Sophie Heigel) et %20ming.li [at] graduateinstitute.ch (Ming Li).

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Entretien avec Aayushi Rawat, Franziska-Sophie Heigel et Ming Li, de l'Institut de hautes études internationales et du développement de Genève
Jóvenes para jóvenes: el acceso a la financiación es posible
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Forum de Comercio conversó con tres jóvenes investigadores del Instituto de Altos Estudios Internacionales y de Desarrollo de Ginebra para averiguar cuáles son los retos a los que se enfrentan los jóvenes a la hora de intentar conseguir ayuda financiera. 

El ITC colabora con este instituto, en el marco de un proyecto llamado Proyecto Capstone. Descubra lo que estos jóvenes estudiantes sugieren que los encargados de formular políticas y los inversores deberían hacer de forma diferente: dar una oportunidad a los jóvenes.

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El ITC les pidió que realizaran una investigación sobre el «acceso a la financiación» de los jóvenes emprendedores. ¿Por qué?

El acceso a la financiación es uno de los principales obstáculos a los que se enfrentan los jóvenes a la hora de crear sus empresas ya que los proveedores financieros, como los bancos, consideran que las empresas emergentes son una inversión de alto riesgo. Sin embargo, los jóvenes emprendedores son unos motores cruciales del crecimiento económico de cualquier país, por lo que los gobiernos deberían tener interés en promover estas empresas.

El Programa Jóvenes y Comercio del ITC aborda este reto. El equipo nos pidió que encontráramos soluciones basadas en la investigación y los datos que pudieran ayudar a los jóvenes empresarios y que nos centráramos en Kenya, Nigeria y Filipinas.

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¿Cómo enfocaron su investigación?

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Nos centramos en tres áreas: la identificación de las necesidades y los retos financieros de los jóvenes emprendedores y de los proveedores financieros de los países objetivo; la revisión de las políticas de inclusión de los jóvenes en diferentes países que han tenido éxito a la hora de aumentar el acceso a la financiación; y el análisis de las intervenciones gubernamentales que serían factibles y redundarían en beneficio de todas las partes interesadas de los países objetivo.

Para cubrir todos los aspectos del enfoque de nuestra investigación, realizamos 12 entrevistas semiestructuradas con emprendedores, organizaciones de apoyo empresarial, inversores, representantes gubernamentales, analistas de riesgos y un experto en acceso a la financiación. También utilizamos datos provenientes de encuestas realizadas por el ITC y el Banco Mundial y realizamos una amplia revisión bibliográfica.

 

¿Cuáles fueron las conclusiones de los retos a los que se enfrentan los jóvenes?

Los jóvenes, al carecer de historial crediticio, no disponen de garantías y tienen una experiencia empresarial limitada. Los proveedores financieros los consideran por ello de alto riesgo, por lo que dudan en invertir en ellos.

Asimismo, los jóvenes carecen de información sobre las oportunidades de financiación alternativas disponibles, mientras que los inversores desconocen el perfil de los jóvenes emprendedores, los sectores en los que trabajan y sus probabilidades de éxito.    

Los jóvenes disponen de formación, pero no por ello obtienen financiación, ya que las formaciones varían en eficacia cuando se trata de desarrollar las habilidades que los proveedores financieros consideran necesarias.

Las políticas existentes que han tenido éxito suelen incluir tanto un componente educativo para los jóvenes empresarios como un componente de incentivación y de reducción de riesgos (desgravaciones fiscales, garantías de préstamos, subvenciones a los préstamos) para implicar al sector privado.

¿Qué debería cambiar?

Recomendamos una solución de tres módulos para, en primer lugar, difundir información; en segundo lugar, identificar programas de formación y tutoría de calidad; y, en tercer lugar, reducir el riesgo e incentivar la inversión.

De una forma más concreta, esto significaría lo siguiente:

1. Desarrollar una plataforma de información nacional, centralizada y de bajo coste que esté a disposición de los empresarios y los proveedores financieros. Esta plataforma actuaría como una base de datos con las diferentes posibilidades de financiación y ofrecería oportunidades de tutoría y formación, al tiempo que recopilaría información financiera y empresarial esencial sobre los emprendedores. Con ello se ayudaría a construir la credibilidad financiera de los jóvenes emprendedores y a aumentar su consideración como clientes viables para los proveedores financieros. 

2. Establecer un sistema de certificación que sirva de norma común para los programas de formación y tutoría con el fin de ayudar a los jóvenes empresarios y a los proveedores de financiación a identificar la formación de alta calidad. Una vez que los jóvenes empresarios hayan completado estos programas, los proveedores financieros podrán estar seguros de que sus habilidades son las adecuadas.

3. Introducir garantías de préstamo para los bancos, exenciones fiscales para los inversores y subvenciones de préstamo para los jóvenes empresarios a fin de incentivar y reducir el riesgo de la inversión en empresas de jóvenes. Esto también atraería la financiación del sector privado, cuyo compromiso desempeñaría un papel crucial para garantizar la sostenibilidad de esta estrategia.          

Por último, la elegibilidad para que un joven emprendedor recibiera financiación a través de los mecanismos de financiación gubernamentales estaría condicionada a los logros educativos o al cumplimiento de los planes de formación o mentoría certificados. Del mismo modo, la elegibilidad de un banco para solicitar una garantía de préstamo estaría condicionada a que el producto de préstamo fuera favorable para los jóvenes.

Si tiene alguna pregunta, no dude en ponerse en contacto con los autores %20aayushi.rawat [at] graduateinstitute.ch (Aayushi Rawat), %20franziska-sophie.heigel [at] graduateinstitute.ch (Franziska-Sophie Heigel) y %20ming.li [at] graduateinstitute.ch (Ming Li).

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Entrevista con Aayushi Rawat, Franziska-Sophie Heigel y Ming Li, del Instituto de Altos Estudios Internacionales y de Desarrollo de Ginebra
L'ITC et la Commission de l'UA signent un accord pour libérer le commerce intra-africain
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Le Centre du commerce international et la Commission de l'Union africaine ont signé un protocole d'accord visant à promouvoir le commerce inclusif, par l’intégration des petites entreprises dans les économies régionales d’Afrique pour qu’elles tirent parti du potentiel d'un commerce intra-africain accru, et à promouvoir le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés par le biais de l'Observatoire africain du commerce.

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(Addis-Abeba/Genève) – La Commission de l'Union africaine (UA) et le Centre du commerce international (ITC) ont signé un protocole d'accord au siège de l'Union africaine à Addis-Abeba, en Éthiopie, pour marquer le prochain chapitre d'un partenariat de longue haleine. En œuvrant de concert, ces organisations entendent favoriser le commerce inclusif en Afrique en intégrant les petites entreprises dans les économies régionales et en promouvant le partage d'informations commerciales et de renseignements sur les marchés à travers l'Afrique par le biais de l'Observatoire africain du commerce (ATO).

L'accord renouvelé répond aux changements de l'économie mondiale et au processus d'intégration régionale en cours en Afrique, dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Il réaffirme le dévouement, la vision commune et les efforts conjoints de l'Union africaine et de l'agence des Nations Unies dédiée au développement des petites entreprises.

Les principaux domaines mis en évidence dans ce cadre de coopération comprennent l'avancement de l'Observatoire africain du commerce, un outil en ligne développé par l'ITC qui fournit aux décideurs politiques et aux entreprises des données commerciales en temps réel ; la promotion des principales chaînes de valeur continentales en vue de renforcer le développement industriel ; l'intégration des petites entreprises dans les processus commerciaux régionaux afin de leur permettre de tirer parti de la ZLECAf ; et l'intégration de l'autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs pour un commerce inclusif.

S.E. l'Ambassadeur Albert Muchanga, Commissaire chargé du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM), a déclaré à cette occasion : « Ce protocole d'accord consolide les relations étroites qui existent déjà entre nos deux institutions. Il catalysera la mise en œuvre de la stratégie de l'Union africaine en faveur des PME, l'opérationnalisation de l'ATO, la protection de la propriété intellectuelle, ainsi que la promotion du développement du secteur privé en Afrique. »

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a pour sa part expliqué : « Avec ce nouvel accord, nos deux institutions intensifient leur collaboration pour concrétiser notre vision commune d'une Afrique interconnectée, industrielle et inclusive. Ensemble, nous continuerons à doter les petites entreprises des informations et des compétences dont elles ont besoin pour s'intégrer dans les chaînes de valeur régionales et continentales – et obtenir la visibilité indispensable grâce à un label Made in Africa – afin qu'elles puissent générer davantage de revenus et des emplois de qualité, et ainsi transformer les sociétés. »

L'Assemblée des chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine a établi l'Accélération de la mise en œuvre de la ZLECAf comme thème de l'année 2023. Cette année, la Commission de l'UA et l'ITC formeront les petites entreprises participant à la foire commerciale intra-africaine et au sommet de l'UA sur les femmes dans le secteur de la transformation – qui se tiendra au Caire, en Égypte, en novembre –, sur la manière d'être compétitives et de réaliser des transactions sur le marché africain. La base de données de l'ATO sera élargie et les entreprises recevront une formation sur la manière d'utiliser cet outil pour développer leurs activités. L'ITC appuiera également l'UA dans l'opérationnalisation complète de son Réseau des entreprises d'Afrique afin de renforcer l'écosystème commercial global du continent et de faciliter les échanges commerciaux entre les entreprises.

 

 

Note aux éditeurs

 

À propos de la Commission de l'Union africaine et de son Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM)

Le Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) est l'un des portefeuilles de la Commission de l'Union africaine qui doit contribuer à la réalisation de l'intégration économique de l'Afrique et faire du continent un partenaire industriel et commercial compétitif dans l'économie mondiale. Le DCIM est chargé de promouvoir le développement économique, la création d'emplois et l'industrialisation sur l'ensemble du continent africain. L'objectif principal du département est de développer des politiques, des stratégies et des programmes qui favorisent le commerce et les investissements intra-africains, et attirer les investissements étrangers directs.

Pour de plus amples informations, visitez son site internet : https://au.int/fr/commerce-et-industrie

À propos de l'ATO

L'Assemblée/AU/Dec.394 (XVIII) du 18 mai 2012 sur la dynamisation du commerce intra-africain et l'accélération de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) a adopté l'architecture de la ZLECAf et prévoit la création d'un Observatoire africain du commerce (ATO) au sein du Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux (DCIM) de la Commission de l'UA. L'ATO sera le principal dépositaire de données et d'informations qualitatives et quantitatives sur le commerce africain. Il fournira à la communauté des affaires et aux décideurs politiques des informations commerciales et des renseignements sur le marché.

Pour de plus amples informations, visitez son site dédié : https://ato.africa/fr

À propos du Centre du commerce international

Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. 

Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

À propos du programme One Trade Africa

Le programme One Trade Africa de l'ITC vise à permettre aux petites entreprises de tirer parti des opportunités commerciales transformatrices générées par la ZLECAf pour se développer, et en particulier pour que les jeunes et les femmes entrepreneurs puissent devenir économiquement autonomes. Son modèle de prestation en trois volets aide les petites entreprises africaines à renforcer leur compétitivité, à se connecter et à changer aux niveaux à la fois de l'entreprise, de l'écosystème commercial et de la politique. L'ITC offre des formations, des conseils et un accompagnement pour renforcer leurs capacités, les relier à de nouveaux marchés plus lucratifs, et leur permettre de créer des emplois.


Contacts médias

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique 
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Département du développement économique, du commerce, du tourisme, de l'industrie et des minéraux 
Commission de l'Union africaine
Courriel : Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Addis-Abeba | Éthiopie

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El ITC y la CUA firman un acuerdo para empoderar a las pequeñas empresas y desbloquear el comercio intraafricano
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El Centro de Comercio Internacional y la Comisión de la Unión Africana firmaron un memorando de entendimiento para promover el comercio inclusivo por medio de la integración de las pequeñas empresas en la economía regional africana y el aprovechamiento del potencial de un mayor comercio intraafricano, y para promover el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado a través del Observatorio del Comercio Africano.

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(Adís Abeba/Ginebra) - La Comisión de la Unión Africana (CUA) y el Centro de Comercio Internacional (ITC) firmaron un memorando de entendimiento en la sede de la Unión Africana en Adís Abeba, Etiopía, que marca el siguiente capítulo de su asociación. Ambas organizaciones fomentarán de forma conjunta el comercio inclusivo en África por medio de la incorporación de las pequeñas empresas a la economía regional, y promoverán el intercambio de información comercial y de inteligencia de mercado en toda África a través del Observatorio del Comercio Africano (OCA).

El acuerdo renovado responde a los cambios de la economía mundial y al proceso de integración regional en curso en África, respaldado por la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA). Además, reafirma la dedicación, la visión compartida y los esfuerzos conjuntos de la Unión Africana y la principal agencia de la ONU dedicada al desarrollo de las pequeñas empresas.

Entre las áreas clave destacadas del marco de cooperación destacan el avance del Observatorio del Comercio Africano, una herramienta en línea desarrollada por el ITC que proporciona datos comerciales en tiempo real a los encargados de formular políticas y a las empresas; la promoción de las cadenas de valor continentales clave para reforzar el desarrollo industrial; la integración de las pequeñas empresas en el proceso comercial regional para que puedan beneficiarse de la AfCFTA; y la integración del empoderamiento económico de las mujeres y los jóvenes emprendedores para un comercio inclusivo.

S.E. el Embajador Albert Muchanga, Comisario de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM), declaró: «El Memorando de Entendimiento consolida la sólida relación que ya existe entre las dos instituciones y catalizará la puesta en marcha de la Estrategia de la Unión Africana para las PYME, la puesta en marcha del OCA, la protección de la propiedad intelectual y la promoción del desarrollo del sector privado en África».

Pamela Coke-Hamilton, Directora Ejecutiva del ITC, declaró: «Con este nuevo acuerdo, nuestras dos instituciones intensifican su colaboración para hacer realidad nuestra visión común de una África interconectada, industrial e integradora. Juntos, seguiremos proporcionando a las pequeñas empresas la información y las competencias que necesitan para poder integrarse en las cadenas de valor regionales y continentales y obtener la visibilidad que necesitan a través de una etiqueta Made in Africa (Hecho en África), con el objetivo último de que puedan generar más beneficios, crear empleos de calidad y transformar las sociedades».

La Asamblea de Jefes de Estado y de Gobierno de la Unión Africana declaró la «Aceleración de la puesta en marcha de la AfCFTA» como el tema del año 2023. Este año, la CUA y el ITC formarán a las pequeñas empresas que asistan a la Feria Comercial Intraafricana y a la Cumbre de la UA sobre la Mujer en la Transformación, que se celebrará en El Cairo (Egipto) en noviembre, sobre cómo competir y realizar transacciones comerciales en el mercado africano. Se ampliará, además, la base de datos del OCA y se formará a las empresas en la utilización de esta herramienta para hacer crecer sus negocios. El ITC también apoyará a la UA para que pueda alcanzarse la plena operatividad de su Red Enterprise Africa y reforzar así el ecosistema empresarial general del continente, con el fin de facilitar el comercio para las empresas.

 

 

Notas para el editor:

Acerca de la Comisión de la Unión Africana y su Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM)

El Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) es una de las carteras de la Comisión de la Unión Africana que contribuye a la consecución de la integración económica de África y a convertir al continente en un socio industrial y comercial competitivo en la economía mundial. El ETTIM se encarga de promover el desarrollo económico, la creación de empleo y la industrialización en todo el continente africano. Su principal objetivo es el desarrollo de políticas, estrategias y programas que promuevan el comercio y las inversiones intraafricanas, así como la atracción de la inversión directa extranjera.

Para más información, visite https://au.int/en/ettim

Acerca del OCA

La Assembly/AU/Dec.394 (XVIII) del 18 de mayo de 2012 sobre el impulso del comercio intraafricano y la aceleración de la puesta en marcha de la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA) adoptó la arquitectura de la AfCFTA e incluyó la creación de un Observatorio del Comercio Africano en el Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales (ETTIM) de la CUA. El OCA servirá como el principal repositorio de información y datos cualitativos y cuantitativos sobre el comercio africano y proporcionará a la comunidad empresarial y a los encargados de formular políticas información comercial e inteligencia de mercado.

Para más información, visite https://ato.africa/en

Sobre el ITC

El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Para más información, visite www.intracen.org.

Siga al ITC en Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

Acerca de One Trade Africa

El programa del ITC One Trade Africa trabaja para capacitar, empoderar y mejorar a las pequeñas empresas africanas, a las mujeres y a los jóvenes emprendedores para que puedan acceder a las oportunidades empresariales transformadoras creadas por la AfCFTA. El programa adopta un modelo de ejecución triple que apoya a las pequeñas empresas africanas para que compitan, se conecten entre sí y cambien a nivel empresarial, de ecosistema empresarial y de políticas. El ITC ofrece formación, asesoramiento y orientación para desarrollar sus capacidades, conectarlas con mercados nuevos y más lucrativos y crear puestos de trabajo.

 

Contacto para los medios de comunicación

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
Correo electrónico: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org)
Teléfono: +41 22 730 0651

Meaza Tezera
Departamento de Desarrollo Económico, Comercio, Turismo, Industria y Minerales 
Comisión de la Unión Africana
Correo electrónico: Meazat [at] africa-union.org | www.au.int | Adís Abeba | Etiopía

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L'ITC dévoile les finalistes du concours mondial des jeunes écopreneurs
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(Genève/Oulan-Bator) – Trois start-up africaines et quatre asiatiques occuperont le devant de la scène lors de l'édition 2023 du Forum mondial pour le développement des exportations (WEDF), qui se tiendra du 26 au 29 juin à Oulan-Bator, en Mongolie. Le WEDF est l'événement phare annuel du Centre du commerce international (ITC), l'agence des Nations Unies entièrement dédiée aux petites entreprises.

Les entreprises sélectionnées présenteront leur activité devant un panel de juges et tenteront d'emporter les Prix 2023 des jeunes écopreneurs, dans l'une des deux catégories : Solutions commerciales vertes et Restauration des terres.

Les lauréats de chacune de ces catégories recevront en récompense un financement de démarrage et un coaching pour renforcer leurs capacités. Ces récompenses sont fournies par l'ITC, l'Initiative foncière mondiale du G20 mise en œuvre par la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification, l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), le programme Startups for Sustainable Development de Google et le cabinet d'avocats international Sidley Austin.

Les finalistes – originaires du Bangladesh, d'Égypte, du Ghana, d'Inde, d'Indonésie, de Madagascar et de Mongolie – ont été sélectionnés au terme d'un processus rigoureux mené par l'ITC en collaboration avec ses partenaires, notamment l'Initiative foncière mondiale du G20 et des conseillers du réseau mondial de jeunes entrepreneurs de l'ITC, la Communauté Ye!. Les finalistes ont été choisis sur la base de leurs efforts en faveur de la durabilité, de la circularité et de l'économie verte, en particulier s'agissant de la restauration des terres. Ils ont ainsi été soumis à un processus en deux étapes, passant d'abord par la constitution d'un dossier de candidature, puis suivi d'une présentation, montrant leurs efforts pour inciter au changement et aux pratiques durables.

Les sept finalistes sont : iPAGE (Bangladesh) ; Cupmena (Égypte) ; Sommalife (Ghana) ; Brown Reed Agri Waste Innovations (Inde); Liberty Society (Indonésie) ; Bôndy (Madagascar) ; et Airee (Mongolie).

Le jury qui évaluera les pitchs des candidats à Oulan-Bator est composé de Vedant Ghandi, lauréat du Prix 2021 des jeunes écopreneurs, de Paula Padrino Vilela de l'Initiative foncière mondiale du G20, de Diana Carballo Chanfon du cabinet Sidley Austin, d'Allan Majuru de ZimTrade, et d'Andrew Ong de l'OMPI.

La décision des juges se fondra sur la proposition de valeur de chacune des entreprises, leur impact environnemental, le potentiel du marché, la force de l'équipe, la durabilité et l'évolutivité du modèle d'entreprise.

Les Prix des jeunes écopreneurs de l'ITC visent à relier les jeunes entrepreneurs aux marchés et à appuyer l'esprit d'entreprise, en vue de contribuer efficacement à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pleins feux sur les finalistes

Finalistes de la catégorie Solutions commerciales vertes

Chirag M G, de l'entreprise indienne de gestion des déchets Brown Reed Agri Waste Innovations, convertit les déchets agricoles en innovations durables et évolutives tout en créant des emplois pour les femmes des zones rurales.

Abdulrhman Elhalafawy, de l'entreprise égyptienne Cupmena, réduit les déchets dans l'industrie du café et développe des solutions agricoles innovantes pour aider à lutter contre le dérèglement climatique.

Tamara Dewi Gondo Soerijo, de l'entreprise sociale indonésienne Liberty Society, travaille avec des femmes pour fabriquer des articles recyclés et des cadeaux, et mène des campagnes écologiques pour des entreprises et des marques socialement responsables.

Oyungerel Munkhbat, de l'entreprise mongole de fabrication de filtres à air Airee, réduit la pollution par les microplastiques grâce à des filtres en laine 100 % biodégradables.

Finalistes de la catégorie Restauration des terres

Max Fontaine, de l'entreprise de reboisement malgache Bôndy aide les communautés rurales à se développer par l'agroforesterie et la plantation de mangroves, et vise à générer un impact socio-économique et écologique.

Mashrur Hossain, de l'entreprise agri-tech bangladaise iPAGE, fournit des services de conseil numérique, axés spécifiquement sur les cultures, aux petits exploitants agricoles afin d'améliorer leur productivité.

Mawuse Christina Gyisun, de l'entreprise ghanéenne d'agrotechnologie Sommalife, préserve et restaure les arbres à karité et crée des opportunités d'accès au marché.

 

Ces finalistes ont été sélectionnés parmi 419 entreprises provenant de 63 pays.

Les entreprises présélectionnées dans la catégorie Solutions commerciales vertes étaient les suivantes : Givo Limited (Nigéria), Brown Reed Agri Waste Innovation (Inde), Cupmena (Égypte), Qubix Robotics (Malawi), ReciclApp (Mexique), Green Composting (République-Unie de Tanzanie), Saathi et Angirus (Inde), Liberty Society (Indonésie), Diapo Inc (Zimbabwe), ainsi que Nomadic PowerBox LLC et Airee Felt (Mongolie).

Les entreprises présélectionnées dans la catégorie Restauration des terres étaient les suivantes : Bôndy (Madagascar), Sommalife et Ecowillow (Ghana), Clauseph Enterprise et Viva Organica (Botswana), iPAGE (Bangladesh), Orda Wealth (Mongolie), Neoperk Technologies et Kimalaya Naturals (Inde), ainsi que Climtech Intelligence (Nigéria).

Il s'agit de la quatrième édition du concours de pitch pour jeunes entrepreneurs organisé dans le cadre du Forum mondial pour le développement des exportations. Lors de chacune des conférences précédentes, l'hôte national s'est vu offrir la possibilité de présenter des candidats indépendants dans le cadre du processus de compétition.

 

Se diversifier par le commerce vert et numérique

L'édition 2023 du Forum mondial pour le développement des exportations aura pour thème « Se diversifier par le commerce vert », et propose en ce sens d'explorer des solutions bio, numériques et durables à de multiples crises. Bien que le thème de la conférence soit global, l'accent sera mis sur les opportunités commerciales pour les pays en développement enclavés – la Mongolie est le deuxième plus grand pays enclavé au monde.

La conférence est organisée par le Gouvernement de Mongolie, sous la direction du Bureau du président, en partenariat étroit avec l'équipe de pays des Nations Unies pour la Mongolie.

 

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org. 

Suivez l'ITC sur Twitter | Facebook | LinkedIn | Instagram | Flickr

 

Contact média

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org
Tél. : +41 22 730 0651
Mob. : +41 79 667 4660

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Anuncio de los finalistas del concurso mundial de selección para jóvenes emprendedores
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(Ginebra/Ulán Bator) - Tres empresas emergentes africanas y cuatro asiáticas serán las protagonistas del Foro Mundial para el Desarrollo de las Exportaciones (WEDF) de este año, que se celebrará del 26 al 29 de junio en Ulán Bator, Mongolia. El WEDF es el evento anual insignia del Centro de Comercio Internacional, la principal agencia de la ONU especializada en el apoyo a las pequeñas empresas.

Las empresas seleccionadas presentarán sus negocios ante el jurado de los Premios Youth Ecopreneur del 2023. Hay dos categorías de premios: soluciones empresariales ecológicas y restauración de tierras

Los ganadores de los premios recibirán financiación inicial para sus negocios y participarán en diversas iniciativas para el desarrollo de sus capacidades. Los premios para los finalistas serán proporcionados por el ITC, la Iniciativa Global para Reducir la Degradación de la Tierra y Mejorar la Conservación de los Hábitats Terrestres del G20, la Organización Mundial de la Propiedad Intelectual (OMPI), el programa Startups for Sustainable Development de Google y el bufete multinacional de abogados Sidley Austin.

El ITC, junto con la iniciativa Global para Reducir la Degradación de la Tierra y Mejorar la Conservación de los Hábitats Terrestres del G20 y varios asesores de la red mundial de jóvenes emprendedores del ITC, la Ye! Community, fueron los encargados de seleccionar a los finalistas, provenientes de Bangladesh, Egipto, Ghana, la India, Indonesia, Madagascar y Mongolia. Los finalistas fueron elegidos en función de su labor de promoción de la sostenibilidad, la circularidad, la economía verde y la restauración de tierras. Los finalistas pasaron por un proceso de dos pasos, primero enviaron su solicitud por escrito y después realizaron una presentación en la que mostraban sus esfuerzos para impulsar el cambio y las prácticas sostenibles.

Los siete finalistas son iPAGE, de Bangladesh; Cupmena, de Egipto; Sommalife, de Ghana; Brown Reed Agri Waste Innovations, de la India; Liberty Society, de Indonesia; Bôndy, de Madagascar; y Airee, de Mongolia.

En Ulán Bator, los finalistas serán evaluados por un jurado compuesto por el ganador de los Premios Youth Ecopreneur de la edición de 2021, Vedant Ghandi; Paula Padrino Vilela, de la Iniciativa Global para Reducir la Degradación de la Tierra y Mejorar la Conservación de los Hábitats Terrestres del G20; Diana Carballo Chanfón, de Sidley Austin; Allan Majuru, de ZimTrade; y Andrew Ong, de la OMPI.

El jurado elegirá a los ganadores en base a la propuesta de valor de sus empresas, su impacto medioambiental, el potencial de mercado, la fortaleza del equipo, la sostenibilidad y la escalabilidad del modelo empresarial.

Los Premios Youth Ecopreneur del ITC aspiran a conectar a los jóvenes emprendedores con los mercados y a apoyar el emprendimiento, al tiempo que contribuyen a alcanzar los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Finalistas

Categoría Soluciones empresariales ecológicas:

Chirag M G, de Brown Reed Agri Waste Innovations, una empresa india de gestión de residuos que convierte los residuos agrícolas en innovaciones sostenibles y escalables y crea puestos de trabajo para las mujeres de las áreas rurales.

Abdulrhman Elhalafawy, de Cupmena, una empresa egipcia que reduce los residuos en la industria del café y desarrolla soluciones agrícolas innovadoras para ayudar a combatir el cambio climático.

Tamara Dewi Gondo Soerijo, de la empresa social de fabricación indonesia Liberty Society, que trabaja con mujeres para producir artículos reciclados, regalos y campañas ecológicas para empresas y marcas con conciencia social.

Oyungerel Munkhbat, del fabricante mongol de filtros de aire Airee, que reduce la contaminación por microplásticos gracias a sus filtros de lana 100 % biodegradables.

Categoría Restauración de tierras:

Max Fontaine, de la empresa malgache de reforestación Bôndy, que fomenta el desarrollo de las comunidades rurales mediante la agrosilvicultura y la plantación de manglares para generar un impacto socioeconómico y ecológico.

Mashrur Hossain, de la empresa de agrotecnología de Bangladesh iPAGE, que ofrece servicios de asesoramiento digital específicos para cada cultivo a los pequeños agricultores con el fin de mejorar su productividad.

Mawuse Christina Gyisun, de la empresa ghanesa de agrotecnología Sommalife, que conserva y restaura árboles de karité y crea oportunidades de acceso a los mercados.


Estos finalistas fueron seleccionados entre un total de 419 empresas de 63 países.

Las empresas preselecionadas para la categoría de Soluciones empresariales ecológicas fueron las siguientes: Givo Limited, de Nigeria; Brown Reed Agri Waste Innovation, de la India; Cupmena, de Egipto; Qubix Robotics, de Malawi; ReciclApp, de México; Green Composting, de la República Unida de Tanzanía; Saathi, de la India; Liberty Society, de Indonesia; Angirus, de la India y Diapo Inc, de Zimbabwe. Los candidatos de Mongolia fueron Nomadic PowerBox LLC y Airee Felt.

En la categoría de Restauración de tierras, las 10 empresas preseleccionadas, provenientes de 7 países, fueron las siguientes: Bôndy International, de Madagascar; Sommalife, de Ghana; Clauseph Enterprises, de Botsuana; iPAGE Bangladesh, de Bangladesh; Orda Wealth, de Mongolia; Neoperk Technologies, de la India; Kimalaya Naturals, de la India; Viva Organica, de Botswana; Ecowillow Ghana, de Ghana; y Climtech Intelligence, de Nigeria.

Este año se celebra la cuarta edición del concurso de selección para jóvenes emprendedores del Foro Mundial para el Desarrollo de las Exportaciones. En cada uno de los Foros anteriores, se ofreció al anfitrión nacional la oportunidad de presentar candidatos independientes en el proceso competitivo.

 

Diversificación a través del comercio ecológico y digital

La edición del Foro Mundial para el Desarrollo de las Exportaciones de 2023 tendrá como tema «Diversificar a través del comercio ecológico», y explorará soluciones orgánicas, digitales y sostenibles a múltiples crisis. Aunque el tema de la conferencia es global, se hace hincapié en las oportunidades comerciales para los países en desarrollo sin litoral. Mongolia es el segundo país más grande del mundo sin salida al mar.

El Foro está organizado por el Gobierno de Mongolia y dirigido por la Oficina del Presidente, en estrecha colaboración con el Equipo de las Naciones Unidas para Mongolia.

 

Sobre el Centro de Comercio Internacional - El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

Para obtener más información, visite www.intracen.org.

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Contacto para los medios de comunicación:

Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
Correo electrónico: pak [at] intracen.org
Teléfono: +41 22 730 0651
Teléfono celular: +41 79 667 4660

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ITC Noticias
Des start-up africaines brillent aux sommets technologiques
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Sept start-up africaines ont pu courtiser des investisseurs, développer leur réseau et briller par leurs produits lors des deux plus grands sommets technologiques mondiaux tenus en Europe.

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Pour une start-up technologique africaine, trouver des investisseurs revient à trouver l'entrée des espaces où se réunissent les représentants des sociétés de capital-risque.

C'est exactement l'offre faite à sept entreprises africaines invitées à participer à deux des plus grands rassemblements technologiques au monde : Web Summit à Lisbonne, et Slush à Helsinki.

Le premier, Web Summit, a réuni 70 000 participants entre le 1er et le 4 novembre 2022, dont des chefs d'entreprise, des fondateurs, des investisseurs, des médias, des politiciens et des figures de proue de la culture. Web Summit offre une occasion unique de rencontrer des personnes qui cherchent à remodeler le monde par la technologie.

Muchu Kaingu, Directeur technique de Lupiya, une société de micro-finance dont son épouse, Evelyn Kaingu, est la Directrice générale, s'est rendu au Web Summit avec un financement de start-up déjà en place. Lupiya avait déjà levé un million de dollars en 2020, mais le couple cherchait un nouveau cycle de financement pour développer l'entreprise et s'étendre sur des marchés au-delà de leur pays d'origine, la Zambie.

« Tandis que l'Afrique se numérise rapidement, nous assistons à un recours toujours plus large au commerce électronique. La demande pour des options de paiement en ligne a augmenté », a expliqué M. Kaingu. « Nous avons compris que nos clients avaient besoin d'une offre de services bancaires holistique, proposant à la fois des opportunités d'investissement à faible barrière à l'entrée, et la possibilité pour les clients d'effectuer facilement des transactions par des canaux en ligne. »

Dans le cadre du projet #FastTrackTech Africa de l'ITC, appuyé par l'initiative Switch ON, Lupiya et la plateforme zambienne de livraison de nourriture AfriOnline ont chacune pu tenir un stand pendant une journée. M. Kaingu a également pu profiter d'un créneau très convoité pour présenter rapidement (pitch) son entreprise sur scène devant près de 80 personnes.

« Nous sommes maintenant en discussion avec trois partenaires technologiques », a affirmé M. Kaingu. « Ce sont des partenaires sur lesquels nous pourrions nous appuyer pour continuer à développer notre plateforme. Nous discutons également avec un partenaire d'internationalisation pour enregistrer une société de portefeuille aux États-Unis, ce qui nous donnerait un meilleur accès à des capitaux. »

Ses rencontres avec ces investisseurs potentiels ont déjà permis de franchir des étapes concrètes. Lupiya a signé des accords de non-divulgation avec deux investisseurs, une première étape dans l'exploration d'une éventuelle levée de fonds pour développer leur marché à l'international.

Changer de vision et passer à l'échelle supérieure

À l'occasion de l'événement Slush, à Helsinki, les programmes NTF V et #FastTrackTech ont permis à cinq entreprises de faire le voyage. Slush a établi sa réputation sur son ratio élevé d'investisseurs/fondateurs de start-up et sur sa volonté d'être un événement « par des fondateurs pour des fondateurs ». Rassemblant près de 12 000 participants, il a offert aux cinq start-up africaines l'occasion d'établir des contacts et ainsi de développer leur réseau. Souleymane Gning représentait la compagnie d'assurance en ligne sénégalaise Assuraf ; Abdoulaye Maiga est allé présenter son application de covoiturage Teliman, qui permet aux utilisateurs de trouver des motos-taxis ; Tigabu Abriham a présenté Eshi Express, un service de livraison en ligne en Éthiopie ; Eric Nana Agyei représentait l'entreprise ougandaise MobiPay, qui fournit aux petits agriculteurs des solutions de paiement numérique ; et toujours dans le domaine de l'agritech, Jean-Delmas Ehui a présenté la firme ivoirienne ICT4Dev, qui utilise les données pour aider les petits agriculteurs à améliorer leurs récoltes.

Ils ont tous tenu des réunions avec d'autres fondateurs d'entreprises, ainsi qu'avec des partenaires et des investisseurs potentiels. Pour la plupart de ces entreprises africaines, Slush a élargi leur vision, en leur offrant de voir la manière de faire évoluer leur entreprise, souvent lancée sur fonds propres, pour apporter des services qui n'existaient pas auparavant dans leur pays.

Lorsque M. Maiga a lancé Teliman en 2018 à Bamako, la ville ne comptait aucune mot-taxi, et aucune application n'avait encore vu le jour pour mettre les clients en relation avec ce type de service.

« À présent, nous avons environ 500 chauffeurs inscrits sur la plateforme, et en moyenne, ils font 10 à 12 trajets par jour », a-t-il déclaré. L'avantage de participer à l'événement à Helsinki était de voir comment les entreprises technologiques du monde entier s'attaquent aux problèmes auxquels il est également confronté au Mali.

Parmi les retombées immédiates que M. Maiga a notées, il y a eu des rencontres avec des fournisseurs tiers qui pourraient aider à gérer les coûts des services internet critiques comme Google Cloud ou Amazon Web Services.

« Pour nous, c'était intéressant juste de voir les différentes réunions et les différentes présentations, parce que c'était très inspirant de voir ce qui se fait dans le monde », a-t-il confié. « Cela m'a donné une vision de la façon de passer à une taille plus grande. »
 

À propos du projet

Netherlands Trust Fund V (NTF V)

La phase V du programme Netherlands Trust Fund (NTF V) (juillet 2021 à juin 2025) repose sur un partenariat entre le Ministère des affaires étrangères des Pays-Bas et le Centre du commerce international (ITC). Le programme appuie les micro, petite et moyennes entreprises (MPME) dans les secteurs des technologies numériques et de l'agroalimentaire. Son ambition est double : contribuer à une transformation inclusive et durable des systèmes alimentaires, en partie grâce à des solutions numériques, et stimuler l'internationalisation des start-up technologiques et l'exportation d'entreprises informatiques d'externalisation des processus commerciaux dans certains pays d'Afrique subsaharienne sélectionnés.

FastTrackTech-Switch ON.

Le projet #FastTrackTech du Centre du commerce international exploite le pouvoir de transformation amené par l'économie numérique pour générer des emplois et contribuer à la croissance économique et à la productivité. Le projet est appuyé par l'initiative Switch ON. Cette initiative récente de l'ITC se concentre sur la connectivité numérique, donne la priorité aux investissements dans le secteur, et appelle les décideurs politiques à créer les conditions propices pour que les petites entreprises des pays en développement puissent profiter du commerce et de l'entrepreneuriat numériques. Switch ON se concentre également sur la fourniture de réseaux abordables et le déblocage de l'accès par l'éducation et la culture numérique.

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ITC Actualités
Innovadora. Sostenible. Duradera. La revolución de la energía solar.
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¿Cómo se mantiene la energía solar en funcionamiento una vez que se han instalado los paneles? «Sólo se necesita el mantenimiento adecuado», afirma el ingeniero civil Douglas Baguma, de Uganda. Su empresa Innovex ofrece soluciones IoT basadas en la nube que podrían impulsar el uso de la energía solar en el continente.

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A Douglas Baguma siempre le ha fascinado el enorme poder del sol. Cuando Uganda sufría apagones programados a lo largo de los años 90, el padre de Douglas utilizaba su batería solar para que la familia pudiera ver las noticias de la noche. 

Cuando Kampala se conectó a la red nacional después de 2001, Douglas, experto en tecnología, decidió seguir el camino de las energías renovables.

«Intenté encontrar un punto en común entre mis estudios de ingeniería civil y mi pasión por la ingeniería eléctrica y electrónica, que  son esenciales para la industria solar».

Y ese ha sido siempre el objetivo de Douglas.

Innovex Uganda
Nikissi Serumaga / ITC / Fairpicture

Energía solar desconectada

Tras recibir su diploma de postgrado, el Centre for Research in Energy and Energy Conservation le contrató como consultor en energías renovables. Conocido como experto en la creación de minirredes, Douglas trabajó como consultor para la agencia alemana de desarrollo GIZ.

Así fue como Douglas se encontró con decenas de sistemas solares que habían sido instalados en los centros de salud de las comunidades rurales de Uganda. El 90 % de ellos tenían la energía solar como la principal fuente de electricidad, ya que los pueblos no están conectados a la red nacional, pero para sorpresa de Douglas, la mayoría de estas instalaciones no funcionaba.

«Algunos trabajadores sanitarios atendían partos a la luz de las velas. A veces, incluso, no había agua caliente, que es fundamental para esterilizar el material quirúrgico».

Douglas no tardó en darse cuenta de que quienes habían instalado los paneles no sabían que habían dejado de funcionar: sin mantenimiento, las instalaciones vegetaban en lugar de producir energía. Muchos de los centros de salud disponían de equipamiento, pero nadie utilizaba los ordenadores porque no había electricidad.

 

¡Este viaje me abrió los ojos a la importancia del acceso a la energía!
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12 October 2022

La energía solar: un mercado sin explotar y una oportunidad para las inversiones

Los 45 millones de habitantes de este país sin salida al mar tienen dificultades para acceder a la electricidad: el 80 % de la población rural de Uganda no tiene acceso

El mismo panorama puede observarse en toda África: 500 millones de personas no tienen acceso a la electricidad. La energía solar es a veces la única solución, y eso es la realidad para muchas comunidades de Uganda.

La energía solar bien podría ser una solución ecológica y rentable a los problemas crónicos de suministro eléctrico a los que se enfrentan muchos países africanos, pero su potencial está en gran medida sin explotar en todo el continente, según el Financial Times. A diferencia de Europa y Norteamérica, que tienen una capacidad instalada considerable pero tasas medias de energía solar potencial más bajas, muchos países africanos se han visto acosados por los problemas relacionados con la red eléctrica, la regulación y la atracción de capitales.

Además, los sistemas solares necesitan un mantenimiento constante, y puede resultar bastante costoso para las comunidades pequeñas. Esto es lo que Douglas se propuso solucionar.

Innovex Uganda
Nikissi Serumaga / ITC / Fairpicture

Mentes creativas unidas: Innovex presenta Remot

«Gracias a mi experiencia con las tecnologías de la información, fui capaz de pensar de forma creativa y conectar otras ideas oportunas, aquí es donde empezó la idea de Remot».

El entonces joven de 26 años se puso en contacto con David, un amigo del instituto experto en robótica, y desarrolló un dispositivo único que se conectaba a una plataforma basada en la web: Remot.

El dispositivo puede conectarse a los sistemas fotovoltaicos para medir su rendimiento en tiempo real. Cuando está a punto de producirse algún fallo, el dispositivo envía un mensaje automatizado al responsable y le indica cuál es el problema.

Además, el dispositivo recoge datos, los mide y, a continuación, utiliza la conexión móvil para enviarlos en línea. A través de un teléfono inteligente o cualquier dispositivo con conexión a Internet, los ingenieros pueden observar el funcionamiento del sistema fotovoltaico desde cualquier lugar del mundo y en cualquier momento.

Innovex Uganda
Remot es el guardián de los sistemas fotovoltaicos.
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Innovex Uganda

Un arduo camino por delante

Douglas explica que sólo gracias a su red de contactos como consultor pudo vender los primeros prototipos en 2017 para mantener su idea en marcha, ya que la producción local de hardware estaba limitada debido a los elevados costes de los equipos de laboratorio y la investigación y el desarrollo asociados.

«El prototipo inicial era voluminoso y la estética no era la mejor».

Los productores de energía solar se enfrentaban a enormes pérdidas debidas al mantenimiento y la reparación, por lo que estaban dispuestos a pagar a la empresa emergente: el precio representaba sólo una pequeña fracción de sus pérdidas. Afortunadamente, Innovex recibió varias subvenciones por parte de diversos socios, como el Reino Unido a través del DFID, CISCO, los programas de apoyo de USAID o la fundación Ikea, que le permitieron adquirir el equipamiento necesario y contratar a empleados cualificados.

Lo que empezó como un negocio de dos amigos, es ahora un equipo formado por 22 personas con una inversión de capital del GAIA Impact Fund. Su modelo de negocio B2B implica que venden la herramienta directamente a los distribuidores solares. Cada vez que estos realizan una instalación para un nuevo cliente, deben instalar junto con él el contador inteligente de REMOT, lo que hace que se produzcan ventas repetidas.

Innovex Uganda
© Nikissi Serumaga / ITC / Fairpicture
Innovex Uganda
© Nikissi Serumaga / ITC / Fairpicture

La función de pago por uso, con unas cuotas más pequeñas, hace que las instalaciones sean más asequibles. Las empresas que distribuyen paneles solares de gran tamaño también utilizan esta este sistema para realizar un seguimiento de las facturas o los pagos.

Aunque el crecimiento de la industria solar se haya visto gravemente afectado por la pandemia de COVID-19, el futuro parece prometedor: la ampliación a nuevos mercados mediante la contratación de vendedores en Kenya y Nigeria podría dar a la empresa el impulso que está buscando. Con el desarrollo y la fabricación de las herramientas digitales básicas que el continente necesita para explotar la energía solar, Douglas espera llegar a los hogares de millones de africanos.

«Esta es el mejor momento para los empresarios africanos. Los inversores están dispuestos a asumir más riesgos porque las economías africanas son que más rápidamente están creciendo en el mundo y constituyen un mercado de cerca de 1000 millones de personas en continua expansión».

Innovex Uganda
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Recomendaciones de Douglas para otros empresarios africanos

1. No se desanimen

Es posible competir y poner en el mercado productos fabricados en África. Usted tiene mucha influencia como empresario y es la persona más indicada para desarrollar una solución, ya que entiende el problema y al cliente. Esto es lo que buscan los inversores.

 

2. Muchos empresarios se muestran escépticos a la hora de compartir sus ideas.

Pero una idea sólo empieza a crecer cuando se comparte con alguien, y nadie puede hacerla realidad mejor que uno mismo.

 

Innovex se benefició del programa del Fondo Fiduciario de los Países Bajos (NTF) del Centro de Comercio Internacional y de su red, financiado por los Países Bajos. El programa NTF IV apoya a las pequeñas empresas y a las empresas emergentes, como Innovex, en el sector de las TI para fomentar el desarrollo de su competitividad. Además, gracias a su idea innovadora, Douglas fue uno de los tres finalistas de los Youth Ecopreneur Awards 2022 del ITC, financiados por los programas Jóvenes y Comercio y GreenToCompete de la organización.

 

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Evelyn Seltier, Centro de Comercio Internacional
Innovante. Viable. Durable. La révolution de l'énergie solaire.
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Comment s'assurer que des panneaux solaires produisent encore de l'énergie bien après leur installation ? Une simple maintenance adaptée suffit, affirme l'ingénieur civil ougandais Douglas Baguma. Sa société Innovex exploite la technologie de l'Internet des objets pour proposer des solutions accessibles sur le cloud, ce qui pourrait stimuler l'utilisation de l'énergie solaire sur le continent africain.

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Douglas Baguma a toujours été fasciné par la puissance pure du soleil. Dans les années 90, lorsque l'Ouganda était confronté à des coupures de courant programmées, le père de Douglas utilisait une batterie fonctionnant à l'énergie solaire pour que la famille puisse regarder à la télévision les informations de fin de soirée.

Kampala a été connecté au réseau national en 2001, mais pour Douglas, féru de technologies, les énergies renouvelables étaient la voie qu'il se devait de suivre.


« J'ai voulu trouver une manière d'allier à la fois mes études en génie civil et ma passion pour le génie électrique et électronique. Ce sont là deux aspects essentiels de l'industrie solaire. »

Douglas n'a jamais dévié de cet objectif.

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Énergie solaire – hors fonction !

Avec son diplôme de troisième cycle en poche, Douglas a pu rejoindre le Centre de recherche et de conservation de l'énergie comme consultant en énergies renouvelables. Reconnu comme expert dans la mise en place de mini-réseaux, il a également travaillé comme consultant pour l'agence allemande de développement GIZ.

Dans ce cadre, Douglas a visité des dizaines d'installations de systèmes solaires dans les centres de santé des communautés rurales ougandaises. Les villages n'étant pas reliés au réseau électrique national, les centres de santé dépendent pour 90 % d'entre eux de l'énergie solaire comme principale source d'électricité. À la surprise de Douglas, la plupart des installations ne fonctionnaient pas.

« Certains accouchements se déroulaient à la lumière des bougies. Parfois, il n'y avait pas non plus d'eau chaude, ce qui est pourtant essentiel pour stériliser proprement le matériel chirurgical. »

Douglas s'est rapidement rendu compte que ceux qui avaient installé les panneaux solaires n'étaient même pas au courant qu'ils ne fonctionnaient plus. Sans services de maintenance, les installations s'encrassaient et ne produisaient plus d'énergie. De nombreux centres de santé avaient de bons équipements, mais personne n'utilisait les ordinateurs simplement parce qu'il n'y avait pas d'électricité.

Ce voyage m'a ouvert les yeux sur les réalités de l'accès à l'énergie !
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12 October 2022

Capter la puissance du solaire : Une opportunité de marché et d'investissement inexploitée

L'accès à l'électricité demeure problématique pour les 45 millions d'habitants de ce pays sans littoral – dans les zones rurales, 80 % de la population n'y a pas accès.

Le même constat peut être établi à travers le continent africain : un demi-milliard de personnes n'est pas connecté au réseau électrique. L'énergie solaire est souvent la seule solution, et c'est le cas pour de nombreuses communautés en Ouganda.

L'énergie solaire pourrait bien être une solution verte et rentable aux problèmes chroniques d'électricité auxquels sont confrontés de nombreux pays africains, mais selon le Financial Times, son potentiel est largement inexploité sur le continent. Contrairement à l'Europe et à l'Amérique du Nord, qui ont une capacité installée considérable mais des taux moyens d'énergie solaire potentielle plus faibles, de nombreux pays africains ont été assaillis par des problèmes sur le réseau électrique, ainsi qu'en matière de réglementation et d'attraction de capitaux.

Les systèmes solaires nécessitent toutefois une maintenance constante, ce qui peut s'avérer relativement coûteux pour les petites communautés. C'est sur ce point que Douglas s'est proposé d'intervenir.

 

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Lorsque des esprits créatifs se rencontrent : Innovex présente Remot

« Grâce à ma longue pratique de l'informatique, j'ai pu sortir des sentiers battus et relier certaines idées opportunes – de là est née le concept de Remot. »

Alors âgé de 26 ans, le jeune homme contacte son copain de lycée, David, devenu expert en robotique. Ensemble, ils développent un dispositif unique capable de se connecter à une plateforme internet, qu'ils baptisent Remot (remote : « à distance » en anglais).

Lorsque l'appareil est connecté à un système solaire, il peut en mesurer les performances en temps réel. Si une défaillance est sur le point de se produire, il envoie un message automatisé au point focal responsable, pour l'informer de la nature du problème.

Le dispositif collecte des données, les traite, puis utilise une connexion mobile pour envoyer les données finales obtenues sur la plateforme en ligne. En utilisant un smart phone, ou tout autre appareil compatible avec Internet, les ingénieurs peuvent ainsi observer les performances d'un système solaire donné, partout dans le monde et à tout moment.

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Remot est une sentinelle pour systèmes solaires.
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Innovex Ouganda

Une montée en puissance

Douglas explique que c'est uniquement grâce à son réseau de consultant qu'il a pu vendre les premiers prototypes en 2017. Cela a permis de garder l'idée en vie, car la possibilité de produire du matériel au niveau local est limitée en raison des coûts élevés pour les équipements de laboratoire, ainsi que la recherche et le développement associés.

« Le prototype initial était encombrant, avec l'esthétique en moins. »

Face aux énormes pertes financières dues aux opérations de maintenance et de réparation, les producteurs d'énergie solaire étaient disposés à financer le démarrage d'Innovex, qui ne leur facturait qu'une petite fraction de leurs pertes. Par chance, l'entreprise a également bénéficié de plusieurs subventions octroyées par différents partenaires, comme le Royaume-Uni par le biais son département du développement international, l'Agence américaine pour le développement international (USAID) au travers de ses programmes d'appui, l'entreprise CISCO et la fondation IKEA. Ces subventions ont permis d'acquérir les équipements nécessaires et d'embaucher des employés qualifiés.

Ce qui était au départ une start-up lancée par deux amis est devenue une solide entreprise de 22 salariés, avec une prise de participation du fonds d'investissement Gaia Impact fund. Son modèle commercial basé sur le B2B (interentreprises) signifie qu'Innovex vend son outil directement aux fournisseurs d'énergie solaire. Chaque fois que ces derniers réalisent une nouvelle installation pour un client, ils doivent également installer le compteur intelligent Remot, ce qui amène des ventes répétées pour Innovex.

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Innovex Uganda
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Le service de paiement à la prestation rend également les installations plus abordables, grâce à des paiements échelonnés moins importants. Les entreprises qui fournissent des panneaux solaires de grande taille utilisent également cette fonctionnalité pour le suivi des factures ou des paiements.

Même si la croissance de ce secteur a été lourdement affectée par la pandémie de COVID-19, l'avenir semble prometteur. L'expansion à de nouveaux marchés en embauchant des vendeurs au Kenya et au Nigéria pourrait fournir le coup de pouce supplémentaire dont l'entreprise a besoin. En concevant et en fabricant les outils numériques de base dont le continent a besoin pour exploiter l'énergie solaire, Douglas espère toucher des millions d'Africains.

« Vivre à notre époque est le meilleur moment pour les entrepreneurs africains. Les investisseurs sont prêts à prendre davantage de risques car les économies africaines connaissent la croissance la plus rapide au monde, grâce à un marché de près d'un milliard de personnes qui croît d'année en année. »

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Les bons conseils de Douglas aux autres entrepreneurs africains

1. Ne vous laissez par décourager.
Il est possible d'être compétitif et de mettre sur le marché des produits fabriqués en Afrique. En tant qu'entrepreneur, vous disposez de nombreux moyens de pression. Vous êtes la personne la mieux placée pour trouver et fabriquer les solutions, car vous comprenez à la fois le problème et le client. C'est ce que recherchent les investisseurs.

2. De nombreux entrepreneurs doutent de l'intérêt de partager leurs idées.
Pourtant, une idée ne germe et ne se développe que si elle est partagée avec autrui, et personne ne peut concrétiser l'idée mieux que vous.

Innovex a bénéficié du programme NTF mené par le Centre du commerce international et financé par les Pays-Bas, ainsi que de son réseau. Ce programme, actuellement dans sa phase IV, appuie les petites entreprises et les start-up comme Innovex dans le secteur de l'informatique et des services informatiques en vue de développer leur compétitivité. Par ailleurs, grâce à son idée innovante, Douglas a été l'un des trois finalistes des Prix des jeunes écopreneurs 2022 de l'ITC, financés par les programmes Jeunes et commerce et GreenToCompete (vert pour concurrencer) de l'organisation.

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Evelyn Seltier, Centre du commerce international
ITC, Google et ICC : Appui numérique aux MPME de l'ASEAN
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Le programme numérique d'aide à l'exportation DEEP pour les petites entreprises de l'ASEAN vise à renforcer les compétences numériques en matière d'exportation d'un millier d'entre elles.

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(Genève/Paris) Le Centre du commerce international (ITC), Google et la Chambre de commerce internationale (ICC) unissent leurs forces pour lancer le programme numérique d'aide à l'exportation (DEEP, Digital Export Enablement Programme) en faveur des petites entreprises de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) afin de leur donner les moyens de se développer à l'international grâce au commerce électronique.

Selon une récente étude menée par l'ICC et Google, les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) de l'ASEAN ne participent que de manière relativement faible au commerce régional par rapport à leur importance économique, et 60 % de ces entreprises ont tout intérêt à étendre leurs activités à de nouveaux marchés dans la région. Pour pouvoir tirer parti des opportunités régionales, plus de 75 % des MPME interrogées ont déclaré avoir besoin d'un appui sur mesure pour accroître leurs compétences et leurs capacités en matière de marketing numérique, ainsi que pour exploiter les outils et technologies numériques leur donnant accès aux informations de marché.

En réponse à ces besoins, le programme DEEP vise à renforcer les capacités numériques d'un millier de MPME réparties sur dix marchés de l'ASEAN, par le biais d'une série de formations en distanciel et en présentiel, d'un meilleur accès aux plateformes numériques et d'ateliers pratiques.

L'objectif est de guider les petites entreprises à travers un parcours entrepreneurial international, de l'identification et la comparaison des opportunités commerciales à la compréhension des conditions d'accès aux marchés. Elles auront aussi l'occasion d'explorer les options de financement du commerce et les conditions commerciales internationales régissant les contrats, d'affûter leurs compétences en marketing numérique et la croissance de leur activité par le biais des canaux du commerce électronique. Le programme est gratuit et les sessions de formation en présentiel seront dispensées dans les langues locales.

Les entreprises des pays de l'ASEAN intéressées par ce programme peuvent déposer leur candidature avant le 20 mars à minuit ici.

Les formateurs souhaitant participer au DEEP peuvent postuler ici, également avant le 20 mars à minuit.

Le secrétaire général de l'ICC, John W.H. Denton AO, explique : « Il s'agit d'un programme phare pour les centres d'entrepreneuriat de l'ICC en Asie-Pacifique, une ressource pratique qui permettra aux PME de passer au niveau supérieur. Il aidera les PME de la région de l'ASEAN à accroître leur présence dans le commerce régional et mondial grâce à l'utilisation d'outils numériques liés à l'exportation, mis à leur disposition par l'ICC CoE Jakarta, en partenariat avec Google et le Centre du commerce international (ITC). En lançant ce programme, nous aidons les propriétaires de PME, les familles et les communautés du Brunei, du Cambodge, de l'Indonésie, de la Malaisie, du Myanmar, des Philippines, de la République démocratique populaire lao, de Singapour, de la Thaïlande, du Timor oriental et du Viet Nam. »

Le vice-président des affaires gouvernementales et des politiques publiques de Google, Karan Bhatia, poursuit : « Les technologies numériques créent des opportunités pour les petites entreprises de commercer et d'atteindre les marchés internationaux d'une manière impossible à imaginer il y a une génération, mais ces opportunités ne sont pas toujours faciles à saisir. Google est enthousiaste à l'idée de collaborer avec l'ICC et l'ITC pour développer le programme de formation DEEP afin de contribuer à combler cette lacune au sein de l'ASEAN – et de permettre aux MPME de profiter pleinement de l'économie numérique en pleine croissance. »

La directrice exécutive de l'ITC, Pamela Coke-Hamilton, ajoute enfin : « Les petites entreprises d'Asie du Sud-Est ont besoin d'une formation ciblée pour identifier, comprendre et utiliser les outils numériques afin de se développer sur de nouveaux marchés dans la région – et cette collaboration avec Google et l'ICC est conçue à cet effet. La connectivité numérique est importante pour le développement, et il nous faut investir dans ce domaine si nous voulons réellement atteindre les objectifs de développement durable ».

Le programme sera mis en œuvre avec l'appui des centres mondiaux de l'entrepreneuriat de l'ICC en Asie du Sud-Est (pôle de Jakarta) et de l'Académie de l'ICC, ainsi que d'organisations partenaires d'appui aux entreprises et de ministères.

 

A propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

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A propos de la Chambre de commerce internationale – La Chambre de commerce internationale (ICC) est le représentant institutionnel de plus de 45 millions d'entreprises dans plus de 130 pays. La mission principale de l'ICC est de s'assurer que le commerce profite à tous, de tout temps, et partout. Grâce à une combinaison unique de défense des intérêts, de solutions et d'élaboration de normes, l'ICC encourage le commerce international, la conduite responsable des affaires et une approche globale de la réglementation, tout en fournissant des services de règlement des différends relatifs aux marchés. L'ICC compte parmi ses membres de nombreuses entreprises de premier plan dans le monde, des PME, des associations professionnelles et des chambres de commerce locales.

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Courriel : tom.eisenchteter [at] iccwbo.org (tom[dot]eisenchteter[at]iccwbo[dot]org)
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